dopage par anabolisant

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rulyoo
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dopage par anabolisant

Message non lu par rulyoo »

Salut à tous , je dois faire un exposé oral et ecrit sur le sujet : dopage par anabolisant
Je voudrais savoir si vous avez des documents sur le sujet
merci
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SimonL
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J'aime bien cosmics

Message non lu par SimonL »

Salut à tous, je dois présenter un sujet à l'oral et à l'écrit pour jeudi prochain: La reproduction des hermaphrodites
Je voulais savoir si vous aviez des expériences sur le sujet
merci
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benj' de kouk
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Message non lu par benj' de kouk »

:sm15: simon :wink: ,le "chercheur" pour tes nanabolisants va sur un forum de site de muscu ou fitness ,voilà :wink:
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Del-pepe
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Message non lu par Del-pepe »

et chez les triathete c'est bien connu 0 dopage :?
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sylvain
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Message non lu par sylvain »

1 témoignage :
Les jambes perdues de Bob Hazelton

L'histoire de Bob Hazelton est l'une des plus stupéfiantes qui soient. Ce boxeur américain s'est nourri pendant des années aux anabolisants. De très graves problèmes d'artérite lui ont valu d'être amputé d'une jambe. Puis de l'autre. Et pendant toute cette période, il n'a pas trouvé la force de raccrocher. Par ce témoignage, on comprend que l'accoutumance aux anabolisants est aussi terrible qu'aux autres drogues.
Vous avez été boxeur pendant les années 70. Pourquoi ? Etait-ce par passion ou seulement pour l'argent ?
C'était pour le sport. J'ai toujours eu besoin d'action, de contact, de bagarres. Je venais d'un milieu très difficile dans le mauvais quartiers de Philadelphie. J'ai quitté la maison très jeune. Grâce aux "scholarships" en foot et en basket, j'ai pu suivre des études. J'aurais même pu aller à l'université. Mais à ce moment-là, j'ai choisi la boxe. Oh, je ne le regrette pas. J'ai gagné pas mal de fric avec ce sport. Moins que ce que j'aurais pu avoir aujourd'hui, mais enfin, ce n'était pas mal pour l'époque. Puis, j'ai voyagé. J'ai été en Europe, je me suis installé en Floride, etc. C'était des années un peu folles. Aujourd'hui, je suis plus peinard dans le Minnesota.

Quel type de boxeur étiez-vous ?

Je n'étais pas un grand champion, mais je ne me défendais pas mal : 26 victoires (dont 25 par K.O.) et seulement 5 défaites. A une époque, j'ai même été classé au onzième rang mondial chez les lourds. J'ai eu des matches intéressants contre Bob Foster ou George Foreman.

Vous avez combattu "big george" ?
Pendant une minute et 22 secondes très exactement ! Puis, j'ai été mis knock-out. Le match est passé en direct à la télévision. A l'époque, "big george" n'était pas aussi gros qu'aujourd'hui. Mais il faisait tout de même plus de 104 kilos. C'était 21 kilos de plus que moi. D'ailleurs, cela a toujours été mon problème. Je suis trop maigre pour ma taille : 83 kilos pour 1,98 m. Contre Foreman, cela ne pardonne pas.

Vous l'avez revu depuis ?
Oui, oui. George est un chouette type. Nous nous sommes encore parlé, il y a quelques années, quand il a repris la boxe...

Que s'est-il passé après cette défaite ?
Après cette correction, vous voulez dire ? Eh bien, je suis parti pour poursuivre ma carrière en Angleterre. Puis, quand je suis rentré aux Etats-Unis, mon entraîneur m'a proposé de prendre des pilules pour gagner du poids. Il m'a dit qu'il s'agissait de vitamines très fortes.

Et vous l'avez cru ?
A ce moment-là, oui. Je ne savais rien des stéroides. Et j'étais très jeune. Je lui faisais confiance. Les adultes peuvent faire croire n'importe quoi à des gosses. Et évidemment, moi, je pensais avant tout à ma carrière.

Cela vous a fait de l'effet ?
Oui. Formidable. J'ai pris 14 kilos de muscle d'un seul coup. Je suis alors entré dans la plus belle période de ma carrière, avec quatorze victoires d'affilée par KO ; notamment en 1978, j'ai mis fin à la carrière de l'ex-champion du monde des mi-lourds, Bob Foster. Mais tous ces succès, je les dois aux stéroides. Aujourd'hui, évidemment, je me dis qu'il aurait mieux valu que je reste un boxeur médiocre mais que je puisse marcher sur mes deux jambes.

Vous avez pris des stéroïdes tout au long de votre carrière ?
De plus en plus. Comme les pilules ne suffisaient plus, je suis passé aux injections. Là, évidemment, je savais qu'il ne s'agissait plus de vitamines !

Comment vous procuriez-vous tout cela ?
Au début, je recevais des prescriptions de médecins. Plus tard, quand c'est devenu illégal (1982 je crois), je me procurais les produits au marché noir. J'ai dépensé beaucoup d'argent à cela : environ 500 ou 600 dollars par semaine. Je prenais des pilules chaque jour et des injections environ deux ou trois fois par semaine.

A l'époque, vous ne subissiez pas de tests anti-dopage ?

Oui, mais ils ne décelaient pas les stéroïdes. Même aujourd'hui, d'ailleurs, les tests ne sont pas vraiment au point. C'est pour cela que beaucoup d'athlètes passent à travers les mailles du filet.

Combien de temps cela vous a-t-il pris pour réaliser le danger que vous couriez ?
Six ans. Quand j'ai commencé à avoir mal à une de mes jambes, j'ai été voir un médecin. Il m'a demandé si je suivais un traitement. J'ai dit non. Puis, j'ai pensé à toutes les pilules que je prenais. Je lui ai montré les boîtes. Il a fait une tête ! Il m'a dit : "Bob, te rends-tu compte de ce que tu fais ? Tu te fous la santé en l'air". C'était la première fois qu'un médecin me parlait comme cela. Au début, je ne voulais pas le croire. Malheureusement, il avait raison. Les douleurs sont revenues de plus en plus fortes. Et bientôt, je ne pouvais plus vivre normalement.

Vous étiez encore boxeur à l'époque ?
Non. En 1980, j'avais laissé tombé la boxe et je m'étais mis au body-building. Avec les injections de stéroïdes, je suis monté jusqu'à 145 kilos. Ensuite, j'ai travaillé comme garde du corps pour des groupes de hard rock, comme Van Halen ou Def Leppard. Mais j'ai dû laisser tomber à cause de mes jambes.

Vous êtes retourné voir votre médecin ?
Oui, le docteur Karl Meisenheimer à Las Vegas. C'est devenu un ami aujourd'hui. C'est le seul qui n'a jamais voulu me donner de stéroïdes. Et ce n'est pas faute d'avoir demandé...

Mais pourquoi vouliez-vous encore vous doper alors que votre carrière sportive était terminée et que les douleurs aux jambes vous paralysaient ?
J'en étais arrivé au point où je ne voulais plus redevenir mince. J'avais vraiment peur de perdre mes muscles. Ce n'était plus un problème mental. C'est comme une anorexie, mais à l'envers. Vos ressentez le besoin d'être de plus en plus lourd, de plus en plus fort. Il y avait une image de moi, mince, que je ne voulais pas revoir.

Les stéroïdes vous apportaient cette confiance ?
Oui, j'en avais vraiment besoin pour vivre. sans eux, je me sentais faible, vulnérable. Les stéroïdes guidaient ma vie. Dans un mauvais sens. Alors, j'ai pensé au suicide. J'ai d'ailleurs fait une tentative... J'ai failli réussir. C'était avant l'opération. Je voulais changer et je n'y arrivais pas.

Qu'est-ce qui vous a finalement décidé à abandonner les stéroïdes ?
La dernière fois que je me suis fais une injection, c'était en septembre 1987, alors que c'était l'année précédente, en 1986, que suite à des infections répétées et à des problèmes de circulation, j'avais dû être amputé de la jambe gauche !

Quoi ? Même après avoir perdu une jambe, vous continuiez à en prendre ?
Oui, aussi incroyable que cette histoire puisse paraître. C'est vrai. Les stéroïdes avaient ruiné ma vie mais je pouvais pas me résoudre à les laisser tomber. Puis, j'ai été amputé de l'autre jambe. Mon système artériel est complètement délabré. Le docteur Meisenheimer me disait que j'avais le coeur usé comme une personne de 80 ans. Il ne m'a jamais caché la vérité, vous voyez. Mais je sais qu'il a raison. A cinquante ans, j'ai déjà eu trois attaques cardiaques. Je ne crois pas que je vivrai très vieux. C'est pourquoi je prends chaque jour comme une bénédiction.

Est-ce que cela a été dur de laisser tomber ?
Horrible. J'ai tenu deux ans. Mais j'étais irascible. Puis j'ai fait une dépression terrible. Ma vie n'avait plus de sens. J'avais l'impression que l'avenir ne me réservait plus aucune chance de pouvoir être un autre homme. Les stéroïdes c'est vraiment une saloperie...

Vous allez aussi parler aux enfants dans les écoles. Mais ils ne doivent pas se sentir vraiment concernés lorsqu'on leur parle de stéroïdes anabolisants...
Détrompez-vous. Aux Etats-Unis, il y a des tas de jeunes de 13, 14, 15 ans qui prennent des stéroïdes pour gagner des muscles ! On en trouve très facilement. Je sais qu'en Europe, vous n'êtes pas encore vraiment confronté au problème. Même ici, peu d'adultes mesurent vraiment l'ampleur du phénomène. Les enfants, eux, savent au contraire très bien de quoi on parle. Et je pense que lorsqu'ils me voient venir avec mes moignons et mon histoire à faire pleurer, cela les fait réfléchir. Quand on me voit, on ne peut pas l'oublier. Et comme ça, je sers à quelque chose.

Peu de sportifs acceptent de parler aussi crûment du problème.
C'est vrai. Même à la fin de leur carrière, ils refusent de prendre la parole. Ils ont peur d'avouer au public que leurs exploits n'étaient pas seulement dus à leurs qualités propres, mais à la drogue. C'est difficile à dire. Et également difficile à croire pour le public qui les admirait tant.

Quel accueil recevez-vous de la part des médias.
Les journalistes non plus n'aiment pas aborder le sujet, surtout aux Etats-Unis. Il y a trop de boue à remuer. Quand je parle, cela jette un trouble. Car je connais trop bien le sujet. Je peux distinguer au premier coup d'oeil un athlète qui prend des stéroïdes d'un autre qui n'en prend pas. On rencontre des athlètes gonflés aux anabolisants dans tous les sports. C'est une drogue vraiment dangereuse qui provoque des accès de colère. On devient presque caractériel.

Quels sont les champions que vous admirez aujourd'hui ?
Aucun. A mon époque, j'admirais Muhammed Ali. Je l'admire d'ailleurs toujours. Pas spécialement pour ce qu'il a fait en boxe, mais simplement parce que c'est quelqu'un de bien. Mais, globalement, je n'ai plus de respect pour le sport aujourd'hui.

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Propos recueillis par Gilles Goetghebuer
http://arthur73.chez-alice.fr/

Gilles Goetghebuer est nutrisionniste et réadacteur en chef de Sport et Vie
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Del-pepe
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Message non lu par Del-pepe »

et bah voila il est fait ton exposé :wink:
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MarcoTri
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Message non lu par MarcoTri »

il y a aussi sur le site de l'AMA la règle très précise concernant les interdictions sur les anabolisants. Le texte est disponible sous format pdf. Il est sans doute plus argumenté que les pratiques magiques des culturistes.

Pour un exposé, la première chose à faire est de vérifier ses sources !

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Message non lu par MarcoTri »

sylvain a écrit :1 témoignage :
Les jambes perdues de Bob Hazelton


Propos recueillis par Gilles Goetghebuer
http://arthur73.chez-alice.fr/

Gilles Goetghebuer est nutrisionniste et réadacteur en chef de Sport et Vie
La seule chose inexacte c'est que les contrôles dépistent à peu près tout, y compris ce qui n'est pas encore "connu".

Mais ce qui pose problème c'est les organisations qu'il y a derrière les fournisseurs et qui placent le problème sur un plan exclusivement juridique. Dépister un anabolisant est très facile (y compris ceux de Balco, comme on l'a constaté récemment !), gagner un procès contre la Mafia du dopage, et produire et fournir des tests qui soient validés dans un procès est beaucoup plus difficile.

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sylvain
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Message non lu par sylvain »

MarcoTri a écrit :[...]Dépister un anabolisant est très facile (y compris ceux de Balco, comme on l'a constaté récemment !)[...]
Mmmoui... facile facile...tout est relatif !
Je ne crois pas que l'exemple de Balco soit un exemple très judiscieux ici. Marco, tu peux me contredire si je me trompe, mais il me semble fort que la THG n'a pu être détectable seulement depuis que les autorités aient eu vent de son existence (et grace notamment à une série d'investigation au sein de la mafia Balco). La mise au point du test de dépistage de la THG a été réalisé en dehors de toute publicité médiatique et c'est seulement quand le test a été parfaitement validé, que le public a appris par voie de presse l'existence de cette nouvelle molécule a visée dopante (stéroïde indétectable par les méthodes classiques) et par la même, l'existence du test permettant de lé détecter. Ce qui a permis en outre de faire vaiciller lègèrement l'athlétisme US en 2004.
Sans ces investigations, la THG serait encore aujourd'hui utilisée le plus impunément du monde, puisque cette molécule n'existerait pas au yeux des autorités. Cette molécule ayant été créée uniquement dans un but de dopage, afin de déjouer les tests de dépistage des stéroïdes traditionnels.
marcotri a écrit :La seule chose inexacte c'est que les contrôles dépistent à peu près tout, y compris ce qui n'est pas encore "connu".
Je pense, Marco, que les guillements de part et d'autre de "connu" ne sont pas si innocemment placés.... :wink:
Après il y a la reproductibilité, sensibilité et spécificité analytique et clinique des tests qui peuvent toujours être remis en question (cf affaire BEKE et test EPO...)
Ceci dit, multiplier les enquête sur les labo obscures qui développent fournissent produits et substances est la seule solution pour que la lutte antidoping et le dopage joue dans la même cour... sinon, en comptant que sur les témoignage de repentis ou les perquisitions chez VDB, les tricheurs auront forcément toujours une longueur d'avance... :wink: :wink:
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Message non lu par MarcoTri »

Tout à fait Sylvain !

On peut constater que pour Balco on y est arrivé. Pour avoir fait un peu d'endocrinologie, la prise d'un anabo déséquilibre tout le reste de ce qui est systématiquement testé, et donne une signature indirecte. A partir de là c'est tout une enquête, un processus qui se met en place. Le LNDD ne se contente pas de faire des tests à la chaine : ils analysent toutes les anomalies et quand il y a des choses pas claires, ils creusent.

D'ailleurs de temps en temps il y a des fuites. Tant mieux ?

Je suis bien d'accord et même je proclame que les contrôles ne sont qu'un des éléments du dispositif. Le reste est indispensable.

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sylvain
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Message non lu par sylvain »

MarcoTri a écrit :[...]la prise d'un anabo déséquilibre tout le reste de ce qui est systématiquement testé, et donne une signature indirecte. A partir de là c'est tout une enquête, un processus qui se met en place. Le LNDD ne se contente pas de faire des tests à la chaine : ils analysent toutes les anomalies et quand il y a des choses pas claires, ils creusent.
[...]
ca me permet de rebondir sur le thème suivant : oui, quand est-il du point de vue juridique (disciplinaire) des suivis longitudinaux qui présentent des résultats pouvant faire suspecter un fort déséquilibrage du à une pratique dopante (les tests pouvant se révéler négatif) ? Je crois qu'on est pas encore dans une politique de sanction, mais seulement dans un "arrêt de travail sur une période déterminée" (?)

:?:
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Message non lu par MarcoTri »

sylvain a écrit :ca me permet de rebondir sur le thème suivant : oui, quand est-il du point de vue juridique (disciplinaire) des suivis longitudinaux qui présentent des résultats pouvant faire suspecter un fort déséquilibrage du à une pratique dopante (les tests pouvant se révéler négatif) ? Je crois qu'on est pas encore dans une politique de sanction, mais seulement dans un "arrêt de travail sur une période déterminée" (?)
Le suivi longitudinal est soumis au secret médical. A ce niveau là c'est le médecin qui agit. S'il est un vrai médecin, il fait en sorte que cela cesse, aide le dopé-drogué à s'en sortir. S'il est complice, il est responsable du problème... Donc il fait en sorte de camoufler !

D'où l'idée de AFT, qui est que les athlètes eux mêmes mettent les résultats en ligne.

Les arrêts de travail ne se conçoivent que dans le sport ayant un véritable statut professionnel (Foot, cyclisme). C'est en effet la seul échappatoire pour un médecin honnête qui veut faire quelque chose contre le dopage sans perdre sa place de médecin d'équipe... Mais... ne rêvons pas !

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dem
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MarcoTri a écrit :Les arrêts de travail ne se conçoivent que dans le sport ayant un véritable statut professionnel (Foot, cyclisme). C'est en effet la seul échappatoire pour un médecin honnête qui veut faire quelque
Le suivi longitudinal n'est-il pas réalisé par un médecin indépendant ?
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dem a écrit :
MarcoTri a écrit :Les arrêts de travail ne se conçoivent que dans le sport ayant un véritable statut professionnel (Foot, cyclisme). C'est en effet la seul échappatoire pour un médecin honnête qui veut faire quelque
Le suivi longitudinal n'est-il pas réalisé par un médecin indépendant ?
Absolument Madame Piment. D'ailleurs j'ai rédigé avec deux paragraphes, séparés par une autre proposition, pour bien marquer que le suivi loingitudinal relève des fédérations, et les arrêts de travail d'autres médecins, dont des médecins d'équipe je suppose.

Voila

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