une bien bonne vue ce matin sur le site de l'équipe:
01/08/2005
Base-ball - Dopage : Palmeiro suspendu dix jours
Un joueur des Orioles de Baltimore, le Cubain Rafael Palmeiro, contrôlé positif aux stéroïdes, a écopé lundi d'une suspension de dix jours pour avoir violé la nouvelle politique antidopage de la Ligue nord-américaine.
Palmeiro, qui en mars dernier avait déclaré devant un comité de la Chambre des représentants enquêtant sur le dopage dans le sport professionnel qu'il n'avait jamais pris des stéroïdes, est le septième joueur, mais aussi la première star du base-ball, à être sanctionné.
«Je veux dire clairement que je n'ai jamais pris intentionnellement des stéroïdes», a déclaré lundi Palmeiro, après avoir reçu sa sanction. Une commission d'arbitrage ayant refusé l'appel de l'association des joueurs, la suspension était effective dès lundi.
10 jours de suspension!!! bientôt ils auront des punitions, copier 200 fois "je ne dois pas prendre de produits dopants c'est bien".
enfin chacun fait ce qu'il veut de sa santé.
bonne journée!
la lutte à 2 vitesses
Les Américains n'en sont pas à ça près : voilà le pire (j'ai gardé un seul des sujets.
Lamentable. Les dopés d'outre atlantique n'ont pas grand soucis à se faire. Il n'y a qu'à payer pour continuer.
Le problème du dopage n'est pas tecnhique (la soi-disant avance des dopés n'existe pas en fait), mais juridique. Les produits sont tous archi connus, mais il faut des méthodes de dosage qui fassent preuve, des procédures qui résistent aux grands cabinets d'avocats texans, plus d'argent que l'organisation qui soutient le dopé, etc... Il devient de plus en plus difficile de sanctionner.
Finalement, parmi les dopés, ceux qui acceptent les sanctions sont ceux qui ont encore un peu de respect pour eux-mêmes et de dignité.
MaRcO
En gros, ça veut dire que la justice américaine ne soutient absolument pas la lutte contre le dopage, et traite ça comme une banale affaire de trafic de cigarettes...MONTREAL, 29 juil (AFP) - Le président de l'Agence mondiale antidopage (AMA), Dick Pound, installé à Montréal et donc spectateur des Championnats du monde de natation, profite de l'occasion pour faire le tour des sujets « chauds » du moment dans le domaine de la lutte antidopage, comme l'affaire du laboratoire californien BALCO .
Q : L'affaire BALCO vient de connaître un tournant judiciaire avec les accords à l'amiable des quatre inculpés, accords qui devraient empêcher les athlètes mis en cause de témoigner. Qu'en pensez-vous?
R : C'est un jugement des autorités judiciaires.Même si le processus conduisait un verdict de culpabilité, il y aurait un problème à mettre un homme de 72 ans en prison. Mais le plus important est de divulguer les noms des tricheurs, mais je n'ai pas grand espoir. Tant que les accords ne sont pas définitivement signés par le juge (signature prévue le 18 octobre San Francisco), il peut y avoir des changements.Mais si le juge signe les accords trouvés entre les avocats alors ce sera la fin de cette histoire et on ne connaîtra jamais les coupables, sauf s'il y a des aveux.
Q : N'est-ce pas un gâchis?
R : Je suis déçu car ce n'était pas de petits avocats de San Francisco qui traitaient l'affaire mais le procureur général des Etats-Unis.Et après deux ans, il y a un verdict possible de quatre mois ferme et pas de noms. Maintenant, il faut voir si l'USADA (agence américaine antidopage) a assez d'infos pour prendre des sanctions.
Lamentable. Les dopés d'outre atlantique n'ont pas grand soucis à se faire. Il n'y a qu'à payer pour continuer.
Le problème du dopage n'est pas tecnhique (la soi-disant avance des dopés n'existe pas en fait), mais juridique. Les produits sont tous archi connus, mais il faut des méthodes de dosage qui fassent preuve, des procédures qui résistent aux grands cabinets d'avocats texans, plus d'argent que l'organisation qui soutient le dopé, etc... Il devient de plus en plus difficile de sanctionner.
Finalement, parmi les dopés, ceux qui acceptent les sanctions sont ceux qui ont encore un peu de respect pour eux-mêmes et de dignité.
MaRcO
