L'OM est à vendre...

Bonne humeur de rigueur, pour les sujets ne concernant pas le monde sportif merci de poster dans "...et plus si affinité".
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Richie
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L'OM est à vendre...

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Hum,

:sm11: RLD est mort :sm11:

Sacré bordel en perspective.... :arrow:
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Pat76
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Re: L'OM est à vendre...

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:?:
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Richie
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Re: L'OM est à vendre...

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Pat76 a écrit ::?:
Robert Louis DREYFUS.

C'est là que les supporters de L'OM qui le critiquaient vont regretter ses millions...des larmes, mais pas pour de bonnes raisons...
Incroyable que ce ne soit pas sur la page d'accueil de l'Equipe.fr :?: :?: :?: :?:
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Pat76
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Re: L'OM est à vendre...

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il est mort d'une leucemie ? et personne le savait ?

ça sent le fake ce truc
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Richie
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Re: L'OM est à vendre...

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Pat76 a écrit :il est mort d'une leucemie ? et personne le savait ?

ça sent le fake ce truc
Il suffit de s'informer correctement, pour le savoir.
Officiellement, leucémie, effctivement : 63 ans, c'est jeune :!:
Kamehameha
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Re: L'OM est à vendre...

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Incroyable que ce ne soit pas sur la page d'accueil de l'Equipe.fr :?: :?: :?: :?:[/quote]
Maintenant si :sm11:
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Shuby
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Re: L'OM est à vendre...

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Malgré une gestion parfois approximative, c'est quelqu'un qui a compté pour le club et qui a investi (autant sur le plan humain que financier) énormément dedans. Je pense qu'il aimait vraiment l'OM et le foot !
Christophe Bouchet :
C’était un grand industriel mais par ailleurs, un tout petit enfant quand il parlait de sport. Je me souviendrais toujours de lui quand il rentrait dans un vestiaire à l’Olympique de Marseille, ce n’était pas le propriétaire qui rentrait, c’était le jeune homme, le petit garçon ébahi par les sportifs. Il avait vraiment un amour du sport qui était immense. »
Source : http://www.rmc.fr/edito/sport/82916/bou ... -de-sport/


Je me souviens encore de sa joie lors de la victoire en Intertoto contre La Corogne. Dommage que le club n'ai jamais gagné de titre, lorsqu'il était là ! :(

RIP :(
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Re: L'OM est à vendre...

Message non lu par jmboma »

Pat76 a écrit :il est mort d'une leucemie ? et personne le savait ?

ça sent le fake ce truc
Delperrier sur Europe 1 avait revélé qui RLD était gravement malade il y a qq semaines déjà et que ca avait pas aidé dans sa prise de décision concernant Pape Diouf.
Ca promet une jolie pagaille...
Récits de courses :
http://jmbomablog.unblog.fr/
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Re: L'OM est à vendre...

Message non lu par Badd »

le Monsieur était malade depuis la fin des années 90
toujours la même maladie avec remissions et rechutes
c'est triste mais inéluctable
depuis quelques semaines déjà son entourage sentait que c'était foutu
maintenant en effet ça va être le bordel à l'OM et ça c'est accessoire pour le groupe LD mais va devenir vite pathétique pour les fans de l'OM
il faut espérer que les clans qui vont se déchirer auront la dignité de ne pas salir RLD
je ne fais pas du triathlon, je compense ...
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Re: L'OM est à vendre...

Message non lu par braziou »

Tapie de retour?
il veut revenir dans le Foot et a de nouveau du fric
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Richie
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Re: L'OM est à vendre...

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braziou a écrit :Tapie de retour?
il veut revenir dans le Foot et a de nouveau du fric
TAPIE : empêtré avec le Club Med : il a acheté 1 % du capital (échec de sa volonté de renverser Giscard...) dans une boîte dont il a dénigré la gestion, bref, il est dans la merde...avec des poursuites aux fesses pour manipulations de cours, donc risques de grosses amendes.
TAPIE : il ne met pas "son argent" dans ses affaires....à la différence de RLD.
Même des fois, dans ses montages, il a été trop loin, notamment avec le Phocéa qu'il a voulu faire passer comme navire de commerce, chose pas admise par les fiscaux.
Donc TAPIE devrait faire venir avec lui de gentils investisseurs avec un carnet de chèques et à part des "amis" qu'ils pourrait solliciter par pression amicale (si tu ne m'aides pas, je lance que ...), impossible vues les casseroles qu'il traîne.

Par contre, M6 = Girondins de Bordeaux / DASSIER = TF1 = implications possibles de la chaîne, or TAPIE et Bouygues = vieux copains...
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Richie
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Re: L'OM est à vendre...

Message non lu par Richie »

braziou a écrit :Tapie de retour?
il veut revenir dans le Foot et a de nouveau du fric
Sortez vos pneumatiques et Kite-Surf après les subprimes, les LBO boomerang, montages affectionnés par Nanard :

"La crainte d'un nouveau tsunami financier prend de l'ampleur. Il ne trouvera pas ses origines dans des prêts immobiliers attribués à des particuliers insolvables, comme ce fut le cas avec les "subprime" américains, mais dans les prêts accordés aux fonds d'investissements pour racheter des entreprises. En Europe, 150 milliards d'euros de crédit pourraient se traduire par des pertes sèches pour les banques. Il s'agit de la fameuse dette LBO (leveraged buy out) du nom de la technique qui permet d'acquérir une entreprise avec effet de levier: peu de capital initial mais beaucoup d'endettement.
Depuis le début des années 2000 et jusqu'à l'année dernière, les fonds spécialisés dans les LBO ont levé des capitaux en masse et obtenu des banques tous les prêts qu'ils désiraient à des taux avantageux assortis de clauses de moins en moins restrictives. A la belle époque, les banquiers se précipitaient pour être retenus parmi les prêteurs. Il aurait été du dernier ringard de ne pas être admis dans le cercle des élus. Les fonds d'investissement spécialisés dans les LBO ont fort bien vécu. En revendant les entreprises 4 ou 5 ans après leur acquisition, ils réalisaient de confortables plus-values qui permettaient de rembourser l'endettement et de rémunérer les investisseurs entre 15 et 20% par an, parfois davantage. Sur le plan financier tout le monde y trouvait son compte. Les perspectives de gains étaient si attrayantes que les fonds d'investissement ont élargi leur champ d'intervention des sociétés non cotées aux entreprises cotées en Bourse. Pour nombre d'experts, les fonds LBO ont permis au capital-investissement d'accéder au rang des acteurs incontournables du financement des entreprises des plus petites aux plus grandes.

La crise financière et la récession économique qu'elle a provoqué donnent aujourd'hui de sueurs froides aux princes des LBO et surtout aux banquiers, leurs pourvoyeurs de fonds. Car les prévisions sont de plus en plus pessimistes. L'agence de notation Fitch estime que les taux de défaut pourraient passer de 10% à 15% d'ici 12 à 18 mois. Mais le plus dur reste à venir. Selon Fitch, 50% des 250 milliards d'euros de dette notée par ses soins sont en risque de défaillance. En France à la fin de l'année dernière, les banques avaient inscrits à leur bilan environ 60 milliards d'euros de dette dont 28 milliards recèlent des pertes potentielles d'après les experts. BNP Paribas a prêté 8,4 milliards d'euros et la Société Générale 5,4 milliards.

Comme d'habitude les banquiers se veulent rassurants. Baudouin Prot le directeur général de BNP Paribas affirmait récemment que le portefeuille LBO de sa banque était de bonne qualité. L'heure est donc à la sérénité. Une voix s'est pourtant élevée la semaine dernière pour mettre en garde les banquiers contre "le syndrome du retour à la normale". En s'exprimant ainsi, Christian Noyer le gouverneur de la Banque de France est sorti de sa prudence de chat devenue légendaire. Il a insisté sur les risques de "second tour" de la crise en particulier sur les dérivés de crédit et les financements à effet de levier. La dette LBO fait partie de cette dernière catégorie.Jusqu'à présent les banques ont tout fait pour ne pas afficher de pertes sur les financements LBO. Lorsque les entreprises éprouvent des difficultés à rembourser la dette, les banquiers proposent des rééchelonnements. Si la situation devient plus grave les banquiers acceptent de transformer de la dette en capital et d'injecter des capitaux. Le fabricant de toitures Monier, qui était propriété du fonds PAI vient d'être sauvé par un pool bancaire et un consortium de fonds. Il croulait sous 1,8 milliard d'euro de dette et était dans l'incapacité de rembourser. Materis, fabricant de matériaux pour la construction, filiale de la société d'investissement Wendel va bénéficier d'un rééchelonnement de sa dette qui avait atteint la somme astronomique de 2 milliards d'euros... Pour le moment les banques passent à travers les gouttes, mais pour combien de temps? Elles ne pourront multiplier à l'infini les restructurations de dettes ni la transformation de dette en capital. Un jour ou l'autre elles devront bien passer par pertes et profits certaines de leurs créances. Les fonds spécialisés dans le rachat d'entreprises en difficulté ayant fait l'objet d'un LBO, qualifiés aussi de fonds de retournement sont à l'affut. Ils espèrent réaliser de bonnes affaires car ils rachètent les entreprises en demandant aux banques d'abandonner 50% de la dette et de convertir le reste en capital. Mais cette technique entraine fatalement des pertes pour les créanciers. Les banques françaises ont évoqué en France, l'idée d'une "bad bank" ou banque poubelle qui aurait repris les dettes à effet de levier mais le projet n' a pas abouti.

Une chose est sûre la sphère financière redoute que la dette LBO ne mette sur le flan des banques que l'on croyait revigorées ou carrément sorties d'affaire. S'il y a vraiment péril en la demeure, pourquoi les gouvernants, les régulateurs et les dirigeants de banques ne prennent-ils pas les devants pour trouver les moyens d'amortir le choc? Il ne suffit pas de faire la politique de l'autruche ou de miser sur une reprise de la croissance économique plus rapide que prévu pour éviter les risques.
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