Libération casse le triathlon
un journaliste quelque soit le sujet, choisi "un angle" pour developper un sujet. or pour un journaliste qui doit ecrire sur un sport d endurance et qui y connait rien, la solution de facilité aujourd hui c est l'angle du dopage.
par contre, ou je suis étonné, c est qu 'elle aborde "l'affaire du colis" de Marceau,
les gens de la fede ne serait pas assez ........ pour en parler volontairement a une journaliste de libe ?
par contre, ou je suis étonné, c est qu 'elle aborde "l'affaire du colis" de Marceau,
les gens de la fede ne serait pas assez ........ pour en parler volontairement a une journaliste de libe ?
TRI THE BEST, FUCK THE REST
Et oui... c'est Liberation!
Comment voulez-vous qu'une redaction "bourgeois-boheme" puisse apprecier le triple effort... C'est plus facile de denigrer, et de faire des amalgames plus "cafe du commerce" que reflexions journalistiques.
Ainsi, il me parait tres critiquable de comparer l'effort d'un triathlon de JO et les triathlons pour les enfants qui se veulent et sont ludiques: etant enfant je nageais, je foncais sur mon velo (y compris quand j'avais encore les trois roues a l'arriere) et je courrais plus facilement que maintenant.
Aussi, je n'ai pas trop compris le lien entre les soupcons de trafic d'EPO portant sur Olivier Marceau et le fait qu'il ait choisi la nationalite suisse. Je savais que la Suisse est un paradis fiscal, mais pas que c'etait un paradis pour EPO... (si quelqu'un veut m'expliquer ce passage de l'article, je suis preneur).
Tant pis pour Liberation...et rejouissons nous qu'une chaine publique ait diffuse les triathlons feminins et masculins des JO en integralite (a quand un direct de Kona?).
Comment voulez-vous qu'une redaction "bourgeois-boheme" puisse apprecier le triple effort... C'est plus facile de denigrer, et de faire des amalgames plus "cafe du commerce" que reflexions journalistiques.
Ainsi, il me parait tres critiquable de comparer l'effort d'un triathlon de JO et les triathlons pour les enfants qui se veulent et sont ludiques: etant enfant je nageais, je foncais sur mon velo (y compris quand j'avais encore les trois roues a l'arriere) et je courrais plus facilement que maintenant.
Aussi, je n'ai pas trop compris le lien entre les soupcons de trafic d'EPO portant sur Olivier Marceau et le fait qu'il ait choisi la nationalite suisse. Je savais que la Suisse est un paradis fiscal, mais pas que c'etait un paradis pour EPO... (si quelqu'un veut m'expliquer ce passage de l'article, je suis preneur).
Tant pis pour Liberation...et rejouissons nous qu'une chaine publique ait diffuse les triathlons feminins et masculins des JO en integralite (a quand un direct de Kona?).
Ca c'est le seul truc que j'ai compris, par contre.JMA a écrit :[...]
Aussi, je n'ai pas trop compris le lien entre les soupcons de trafic d'EPO portant sur Olivier Marceau et le fait qu'il ait choisi la nationalite suisse. Je savais que la Suisse est un paradis fiscal, mais pas que c'etait un paradis pour EPO... (si quelqu'un veut m'expliquer ce passage de l'article, je suis preneur).[...]
Mais effectivement : je vois pas trop l'intéret de l'article pour le reste !!
Complétement a chier en fait !!! c'est juste pour remuer un peu la merde en fait.
Dernière modification par sylvain le 01 sept. 2004, 13:10, modifié 1 fois.
Allez, on se fait un plaisir, allez sur le lien et cliquez sur "réagir à l'article".
On va montrer à cette journaliste que ce pseudo-sport de dopés et de gueux (gonflée la minette !) c'est aussi un sport de passionnés !
Un nouveau record à battre pour les posteurs d'Onlinetri : le nombre de réaction à un article online de Libé
On your mark ! Ready ? Goooooooooooooooo !
On va montrer à cette journaliste que ce pseudo-sport de dopés et de gueux (gonflée la minette !) c'est aussi un sport de passionnés !
Un nouveau record à battre pour les posteurs d'Onlinetri : le nombre de réaction à un article online de Libé
On your mark ! Ready ? Goooooooooooooooo !
je me demande qui elle est pour définir le triathlon comme étant un sport de gueux.
surtout quand on y connait rien.
voila ce que je lui ai écrit :
Le triathlon est un sport peu répandu, du fait de sa dureté.
Si en plus vous en donnez un image aussi négative, ce sport ne se démocratisera jamais.
Le terme "gueux" est vraiment trop négatif et je me demande à quelle catégorie sociale vous appartenez pour définir les sports de "gueux" ou bien ceux qui ont plus de valeur "monétaire".
Quant au dopage, le triathlon est un des sports les plus contrôlé contrairement à certains de vos sports plus nobles où on laisse la part belle au dopage.
Enfin pour votre gouverne Mme.HENNION les shorts et autres vêtements techniques de triathlon ont un séchage ultra rapide qui permet de rouler au sec dans des délais les plus brefs.
voila j'espère qu'elle en aura appris un peu.
surtout quand on y connait rien.
voila ce que je lui ai écrit :
Le triathlon est un sport peu répandu, du fait de sa dureté.
Si en plus vous en donnez un image aussi négative, ce sport ne se démocratisera jamais.
Le terme "gueux" est vraiment trop négatif et je me demande à quelle catégorie sociale vous appartenez pour définir les sports de "gueux" ou bien ceux qui ont plus de valeur "monétaire".
Quant au dopage, le triathlon est un des sports les plus contrôlé contrairement à certains de vos sports plus nobles où on laisse la part belle au dopage.
Enfin pour votre gouverne Mme.HENNION les shorts et autres vêtements techniques de triathlon ont un séchage ultra rapide qui permet de rouler au sec dans des délais les plus brefs.
voila j'espère qu'elle en aura appris un peu.
I <3 SCAT
Hallucination du matin ?? Je file cliquer sur réagir à cet article !!! Scandale !
FK
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http://trilulu.canalblog.com/
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Cet article, c'est de la pure diffamation
Il y a une loi contre ca
Il y a une loi contre ca
La diffamation
C'est la loi du 29 juillet 1881 qui protège les personnes et les institutions publiques ou privées contre les informations et commentaires qui leur ont porté préjudice, à charge pour elles d'en demander réparation.
Est considérée comme diffamation "toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé" (article 29 de la loi du 29 juillet 1881).
Pour qu'il y ait diffamation il n'est pas nécessaire que la personne, l'institution ou le groupe social soient expressément nommés, il suffit qu'ils puissent être clairement identifiables.
Dans le cas de la diffamation, l'intention coupable est présumée et il appartient à l'auteur de la "diffamation" d'apporter la preuve de sa "bonne foi".
- lucianovitch
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- Inscription : 10 juin 2004, 13:49
- Localisation : La Suisse, c'est fini...maintenant c'est Annecy
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Voilà ce que j'ai répondu, pour ma part....
Très chère Madame Hennion,
J'ai découvert avec effroi votre article sur le triathlon. Vous pouvez m'estimer gentil de parler d'article, en des jours moins ensoleillés et donc de moins bonne humeur, je vous aurais parlé de misérable torchon.
Malgré cette apparente bonne humeur, je ne vais pas me censurer et je m'en vais vous faire part de ma réaction.
Tout d'abord, chère Madame, je ne vous permet pas de me traiter de gueux. Premièrement parce qu'aucun statut ne vous y autorise et d'autre part parce que réduire une activité physique exigeante à "un sport de gueux" me laisse dubitatif quant à vos talents de journaliste.
Le vélo fait mal au derrière? Bien moins chère Madame que de se faire sodomiser..... Je reste poli, chère Madame, car le gueux que je suis a reçu de ses parents une certaine éducation. Et remerciez-les, c'est grâce à leur éducation que je ne vous traite pas d'enc....ée!!!
Vous vous permettez de réduire quelques 20000 personnes à des gueux, dopés et vraisemblablement dans votre esprit sportifs sans cervelle.
Avant d'aborder un sujet, on se renseigne, on se documente.
Vous savez, chère Madame, le racourci "sport-dopage" est en général l'appanage des classes populaires. Il tranche un peu avec le ton petit bourgeois que vous souhaitez donner.
D'autre part, vos attaques au sujet du dopage sont gratuites. Je n'irai pas jusqu'à dire sans fondement, car dans le triathlon comme dans foule d'autre disciplines, le dopage existe.
Mais ce n'est pas une fatalité. Je pratique ce sport, je ne me dope pas. J'ai une hygiène de vie saine.
Si vous souhaitez vraiment connaitre le triathlon, je vous engage à essayer et vous verrez, on y prend vite gout.
Très chère Madame Hennion,
J'ai découvert avec effroi votre article sur le triathlon. Vous pouvez m'estimer gentil de parler d'article, en des jours moins ensoleillés et donc de moins bonne humeur, je vous aurais parlé de misérable torchon.
Malgré cette apparente bonne humeur, je ne vais pas me censurer et je m'en vais vous faire part de ma réaction.
Tout d'abord, chère Madame, je ne vous permet pas de me traiter de gueux. Premièrement parce qu'aucun statut ne vous y autorise et d'autre part parce que réduire une activité physique exigeante à "un sport de gueux" me laisse dubitatif quant à vos talents de journaliste.
Le vélo fait mal au derrière? Bien moins chère Madame que de se faire sodomiser..... Je reste poli, chère Madame, car le gueux que je suis a reçu de ses parents une certaine éducation. Et remerciez-les, c'est grâce à leur éducation que je ne vous traite pas d'enc....ée!!!
Vous vous permettez de réduire quelques 20000 personnes à des gueux, dopés et vraisemblablement dans votre esprit sportifs sans cervelle.
Avant d'aborder un sujet, on se renseigne, on se documente.
Vous savez, chère Madame, le racourci "sport-dopage" est en général l'appanage des classes populaires. Il tranche un peu avec le ton petit bourgeois que vous souhaitez donner.
D'autre part, vos attaques au sujet du dopage sont gratuites. Je n'irai pas jusqu'à dire sans fondement, car dans le triathlon comme dans foule d'autre disciplines, le dopage existe.
Mais ce n'est pas une fatalité. Je pratique ce sport, je ne me dope pas. J'ai une hygiène de vie saine.
Si vous souhaitez vraiment connaitre le triathlon, je vous engage à essayer et vous verrez, on y prend vite gout.
Allez on se fait plaisir !
Postons tous le message que nous avons envoyé à la DaDamme !
Encore un concours, un !
Madame,
C’est avec grand plaisir que j’ai découvert votre papier ce matin.
En effet, le degré zéro du journalisme de votre torchon m’a suscité une bonne poussée d’adrénaline. Hors, sachez-le, l’adrénaline et l’endomorphine sont les deux dopants les plus utilisés par les triathlètes. Le hic par rapport à votre article, c’est que ces substances sont endogènes. Mais peut-être ne pouvez-vous pas appréhender ces paramètres. Vous auriez pu alors faire votre travail de journaliste et découvrir que la Fédération Française de Triathlon est la PREMIERE fédération française à avoir institué les contrôles longitudinaux. Peut-être la portée de cet engagement est encore trop subtile pour vous. Pourquoi alors ne pas vous être renseignée sur le ration nombre de contrôles / nombre de pratiquants. Ou encore nombre de contrôle positifs / nombre total de contrôles. C’est assez maigre comme matière pour étayer un avis mais c’est toujours mieux que le zéro absolu !
Savez-vous pourquoi le triathlon ne se développera jamais de façon considérable en France ?
La première raison c’est que depuis presque 25 ans que le triathlon se développe en France (premier triathlon d’envergure à Nice en 1982), les journalistes ont systématiquement employés le même angle pour aborder le sujet : « souffrance », « stakhanovistes », « forçats »,…remarquez pas encore « gueux », c’est déjà pas mal ! Peut-être cette « norme » est-elle la réalité du sport me direz-vous ? Non, c’est la réalité d’une indigence journalistique, d’un manque de moyen / intérêt sérieux pour ce sport. Je comprends les impératifs économiques qui régissent cet état de fait, mais je pensais que l’idéal journalistique pourrait s’affranchir du carcan capitalistique. Pour preuve, votre confrère « L’Equipe », que je n’estime par particulièrement, après des années d’âneries sur le triathlon, a dernièrement confié la rubrique à un journaliste qui a pris la peine de s’immerger un peu dans notre microcosme. Depuis, plus aucun papier n’utilise l’angle « forçat » car, pour votre gouverne, il existe beaucoup d’autres richesses dans le triathlon, bien plus « accrocheuse » (et mois éculée) que la difficulté.
La deuxième raison au non développement du triathlon est sa difficulté. CQFD me direz-vous ! Pas du tout, le triathlon est un sport difficile, mais parce qu’il demande un investissement personnel important. Investissement en temps (entraînement + déplacement sur les compétitions), investissement financier (ce n’est pas l’équitation non plus !) et surtout investissement en motivation.
L’évolution de la société vers un consumérisme à tout va ne correspond pas à des valeurs de persévérance, d’investissement personnel que demande le triathlon.
Un sport difficile en décalage avec son temps me direz-vous ? Certes. Mais une des richesses de ce sport est la PASSION de ses pratiquants. L’ampleur de cette passion n’a pas de commune mesure dans d’autres sports. Sans grand risque de me tromper, je suis certain que votre article va susciter pas mal de remarque de la part des pratiquants (au regard de notre « faible » nombre bien entendu !). Nulle part ailleurs vous ne trouverez de sport ou d’activité avec autant de passion et d’engagement.
Je ne pense pas pouvoir vous convertir au triathlon (votre prochain papier parlerait alors de secte ou de prosélytisme !) mais apporter un éclairage différent de ce que vous avez pu comprendre de notre sport. J’ai pris la peine de faire une recherche sur vos écrits, il est évident que vous cherchez le sensationnel à défaut du bien instruit, pourquoi pas, c’est probablement par là que vous prenez votre dose d’adrénaline ! J’ai été journaliste il y à quelques années, et ce milieu me semblait bien coutumier du dopage : cigarette, alcool, et plus si affinité. Mais bon, c’est normal, c’est un boulot de forçat !
Rien d’insultant mais vous m’avez fortement rappelé un sketch de Coluche. « … Et alors moi je dis que quand un mec, sur une information, il en connait pas plus que ça, il a qu'a fermer sa gueule ! ».
Au plaisir de vous lire dans un prochain pamphlet…
Cyril Deblois
Postons tous le message que nous avons envoyé à la DaDamme !
Encore un concours, un !
Madame,
C’est avec grand plaisir que j’ai découvert votre papier ce matin.
En effet, le degré zéro du journalisme de votre torchon m’a suscité une bonne poussée d’adrénaline. Hors, sachez-le, l’adrénaline et l’endomorphine sont les deux dopants les plus utilisés par les triathlètes. Le hic par rapport à votre article, c’est que ces substances sont endogènes. Mais peut-être ne pouvez-vous pas appréhender ces paramètres. Vous auriez pu alors faire votre travail de journaliste et découvrir que la Fédération Française de Triathlon est la PREMIERE fédération française à avoir institué les contrôles longitudinaux. Peut-être la portée de cet engagement est encore trop subtile pour vous. Pourquoi alors ne pas vous être renseignée sur le ration nombre de contrôles / nombre de pratiquants. Ou encore nombre de contrôle positifs / nombre total de contrôles. C’est assez maigre comme matière pour étayer un avis mais c’est toujours mieux que le zéro absolu !
Savez-vous pourquoi le triathlon ne se développera jamais de façon considérable en France ?
La première raison c’est que depuis presque 25 ans que le triathlon se développe en France (premier triathlon d’envergure à Nice en 1982), les journalistes ont systématiquement employés le même angle pour aborder le sujet : « souffrance », « stakhanovistes », « forçats »,…remarquez pas encore « gueux », c’est déjà pas mal ! Peut-être cette « norme » est-elle la réalité du sport me direz-vous ? Non, c’est la réalité d’une indigence journalistique, d’un manque de moyen / intérêt sérieux pour ce sport. Je comprends les impératifs économiques qui régissent cet état de fait, mais je pensais que l’idéal journalistique pourrait s’affranchir du carcan capitalistique. Pour preuve, votre confrère « L’Equipe », que je n’estime par particulièrement, après des années d’âneries sur le triathlon, a dernièrement confié la rubrique à un journaliste qui a pris la peine de s’immerger un peu dans notre microcosme. Depuis, plus aucun papier n’utilise l’angle « forçat » car, pour votre gouverne, il existe beaucoup d’autres richesses dans le triathlon, bien plus « accrocheuse » (et mois éculée) que la difficulté.
La deuxième raison au non développement du triathlon est sa difficulté. CQFD me direz-vous ! Pas du tout, le triathlon est un sport difficile, mais parce qu’il demande un investissement personnel important. Investissement en temps (entraînement + déplacement sur les compétitions), investissement financier (ce n’est pas l’équitation non plus !) et surtout investissement en motivation.
L’évolution de la société vers un consumérisme à tout va ne correspond pas à des valeurs de persévérance, d’investissement personnel que demande le triathlon.
Un sport difficile en décalage avec son temps me direz-vous ? Certes. Mais une des richesses de ce sport est la PASSION de ses pratiquants. L’ampleur de cette passion n’a pas de commune mesure dans d’autres sports. Sans grand risque de me tromper, je suis certain que votre article va susciter pas mal de remarque de la part des pratiquants (au regard de notre « faible » nombre bien entendu !). Nulle part ailleurs vous ne trouverez de sport ou d’activité avec autant de passion et d’engagement.
Je ne pense pas pouvoir vous convertir au triathlon (votre prochain papier parlerait alors de secte ou de prosélytisme !) mais apporter un éclairage différent de ce que vous avez pu comprendre de notre sport. J’ai pris la peine de faire une recherche sur vos écrits, il est évident que vous cherchez le sensationnel à défaut du bien instruit, pourquoi pas, c’est probablement par là que vous prenez votre dose d’adrénaline ! J’ai été journaliste il y à quelques années, et ce milieu me semblait bien coutumier du dopage : cigarette, alcool, et plus si affinité. Mais bon, c’est normal, c’est un boulot de forçat !
Rien d’insultant mais vous m’avez fortement rappelé un sketch de Coluche. « … Et alors moi je dis que quand un mec, sur une information, il en connait pas plus que ça, il a qu'a fermer sa gueule ! ».
Au plaisir de vous lire dans un prochain pamphlet…
Cyril Deblois