Frank a écrit :Et ce soir, il se déroulera une autre conclusion, mais sur les plans spectacle et symbolique, par une cérémonie de clôture qui, si elle est à la hauteur de celle d'ouverture et de l'investissement global de la Russie au profit de cet événement, restera certainement dans les annales.
À+!
Ce matin je reviens du vélo et j'entends qui à la radio? Eh bien Jean-Claude Killy qui dresse un bilan plus qu'enthousiaste de ces jeux.
Un peu curieux de la part de quelqu'un qui fait souvent preuve de retenue, non?
Les histoires avec les pussy riots et les polémiques avant les jeux c'est déjà oublié ou quoi?
En tout cas s'il a kiffé tant mieux. Moi je sais pas je n'étais pas sur place.
Sotchi : Jean-Claude Killy dresse un bilan enthousiaste des JO
LE DIMANCHE 23 FÉVRIER 2014 À 13:16 Par Fabrice Rigobert
http://www.franceinfo.fr/monde/sotchi-j ... 2014-02-23
DOCUMENT FRANCE INFO | France Info a pu interroger Jean-Claude Killy, triple médaillé olympique aux Jeux de Grenoble en 1968, et membre du Comité international olympique, au sujet de l'organisation des Jeux olympiques à Sotchi. A quelques heures de la cérémonie d'ouverture, celui qui avait été nommé président du comité d'organisation de ces XXIIe JO dresse un portrait enthousiaste des Jeux et de cette "nouvelle Russie".
"Il n'y a pas eu une seule personne déçue par ces Jeux olympiques". Jean-Claude Killy ne fait pas dans la demi-mesure au moment de conclure cette édition russe des Jeux olympiques. Président du comité d'organisation au Comité international olympique (CIO), l'ancien champion de ski parle des Jeux "parmi les plus réussis" de l'histoire.
"C'est un bilan absolument extraordinaire" (Jean-Claude Killy)
Jean-Claude Killy n'a pas de mots assez forts pour définir ces Jeux olympiques, "exactement l'inverse de ce qui avait été prévu pendant six mois par ceux qui pensaient savoir ce que seraient ces JO". Plus que les Jeux olympiques, le membre du CIO veut saluer "l'accueil" réservé par les Russes, dans cette "nouvelle Russie" comme il le dit.
"Je crois qu'on les connaît (les Russes) un peu mieux aujourd'hui", assure-t-il.