HYDRATATION en course, quelques billes...
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Retour d'expérience ici aussi.
Sortie vélo dimanche seul de 150km (plat) faite en 4h30. Température: 16-18 degrés.
J'avais pris 2 bidons de 750ml de poudremachin, 3 barres énergétiques et 2 gels.
Résultat des courses:
bu: 600ml
mangé: 2 barres...
Aucun manque et aucune perte d'énergie durant la sortie.
J'aurais pu enchainer par une sortie cap mais avais des obligations familiales.
Pour info, j'avais pris mon petit déjeuner habituel 30min avant de partir, ce qui est évidemment pas possible sur un triathlon.
Je me serais mal vu boire sans avoir soif dès la première heure et continuer ainsi.
Mais bon, on est tous différent...
Sortie vélo dimanche seul de 150km (plat) faite en 4h30. Température: 16-18 degrés.
J'avais pris 2 bidons de 750ml de poudremachin, 3 barres énergétiques et 2 gels.
Résultat des courses:
bu: 600ml
mangé: 2 barres...
Aucun manque et aucune perte d'énergie durant la sortie.
J'aurais pu enchainer par une sortie cap mais avais des obligations familiales.
Pour info, j'avais pris mon petit déjeuner habituel 30min avant de partir, ce qui est évidemment pas possible sur un triathlon.
Je me serais mal vu boire sans avoir soif dès la première heure et continuer ainsi.
Mais bon, on est tous différent...
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Comment fais tu pour emporter assez de liquide pour 220km? Combien de litres pour combien de temps?alex a écrit :petit retour d'expérience
j'ai fais samedi la cyclo des 3 ballons 220km plus de 4000M D+
liquide recette lapopy 70/15/15 (malto/glc/fru) dosée à 70g/l pas plus car je voulais garder du solide, une gorgée toute les 6-7 min
solide 3 barres différentes suivant recette A.Roche( fructo amande, salée, flocon avoine) coupée en morceau de 10g prise alternée toute les 20 min
résultats aucun coup de bambou, de l'energie jusqu'a l'arrivée
cyclo faite en entrainement pour embrun et qui me permet de valider l'alimentation
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Comme tu dis, on est tous différent. A cette température, cela ne me paraît être une consommation normale. Je ne suis pas non plus adepte de la trop-bouffe mais le contexte fait que tu aurais pris cher si tu avais tenté un marathon derrière (sans non plus avoir nagé avant).
La boisson la 1ère heure, pense que tu auras nagé avant et que tu en auras besoin et envie !!!
Difficile d'évaluer ca sur une épreuve unique. Exemple à la con : moi j'ai bien réussi à courir pendant 3h30 à jeun
La boisson la 1ère heure, pense que tu auras nagé avant et que tu en auras besoin et envie !!!
Difficile d'évaluer ca sur une épreuve unique. Exemple à la con : moi j'ai bien réussi à courir pendant 3h30 à jeun
Faîtes de la douleur une amie et vous ne serez plus jamais seul
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
1) par exemple jus d'orangeChristian Robin a écrit :Bonjour, Tri 49tri49 a écrit :je me suis tout le temps posé une question donc excusez moi si vous la trouvez idiote ^^'
pour quoi ne pas boire du jus de fruit pendant l'effort? est-ce du aux apports limité de sucre?
1) Qu'appelles tu "du jus de fruit" exactement ?
2) je te retourne la question à la jésuite: Pourquoi boire du jus de fruit ? Qu'est ce que cela t'apporterait par rapport à une boisson à la fois dosée en apports glucidique, et à l'osmolarité compatible ?
2) je n'ai pas vraiment d'idée par rapport à ça mais je vois que de plus en plus de gens utilisent des boissons énergisantes et j'en suis arrivé a me poser la question : ces produits ont ils une réelle utilité ou alors est-ce que des produits "basiques" ne feraient pas l'affaire? en gros est-ce qu'on ne se complique pas la vie a acheter/ faire des boissons ...
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
réponse a batard
la poudre est stockée dans des petits sachets style clou et vis de magasins de brico
35g par sachet donc 1 sachet pour un bidon de 500ml et 2 pour bidon de 950 ml
pour l'eau il y a des ravitos sur les cyclos bien que sur les 3 ballons c'est limite au niveau organisation et diversité mais comme je n'avais besoin que d'eau il fallait jouer des coudes perte de 12' pour 4 ravitos mais le dernier express 30'' mais le premier à belfahy environ 6 robinets pour 4000 cyclos c'etait un peu plus chaud
au total cela doit faire 6 l de boisson pour 8h30 de course
pour etre complet pause pipi avt le départ, vers le 100ème km et à l'arrivée je pense que l'assimilation à été plutot bonne
le lendemain pas spécialement fatigué 1h nat +1 h cap (13-14 km/h)
la poudre est stockée dans des petits sachets style clou et vis de magasins de brico
35g par sachet donc 1 sachet pour un bidon de 500ml et 2 pour bidon de 950 ml
pour l'eau il y a des ravitos sur les cyclos bien que sur les 3 ballons c'est limite au niveau organisation et diversité mais comme je n'avais besoin que d'eau il fallait jouer des coudes perte de 12' pour 4 ravitos mais le dernier express 30'' mais le premier à belfahy environ 6 robinets pour 4000 cyclos c'etait un peu plus chaud
au total cela doit faire 6 l de boisson pour 8h30 de course
pour etre complet pause pipi avt le départ, vers le 100ème km et à l'arrivée je pense que l'assimilation à été plutot bonne
le lendemain pas spécialement fatigué 1h nat +1 h cap (13-14 km/h)
- Christian Robin
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- Inscription : 10 juin 2005, 12:13
- Localisation : V7 Triathlon Côte d'Amour /La Turballe
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
1) Jus d'orange pressé ? boisson à l'orange ? comment gérer ton ravito ....?tri49 a écrit :1) par exemple jus d'orangeChristian Robin a écrit :Bonjour, Tri 49tri49 a écrit :je me suis tout le temps posé une question donc excusez moi si vous la trouvez idiote ^^'
pour quoi ne pas boire du jus de fruit pendant l'effort? est-ce du aux apports limité de sucre?
1) Qu'appelles tu "du jus de fruit" exactement ?
2) je te retourne la question à la jésuite: Pourquoi boire du jus de fruit ? Qu'est ce que cela t'apporterait par rapport à une boisson à la fois dosée en apports glucidique, et à l'osmolarité compatible ?
2) je n'ai pas vraiment d'idée par rapport à ça mais je vois que de plus en plus de gens utilisent des boissons énergisantes et j'en suis arrivé a me poser la question : ces produits ont ils une réelle utilité ou alors est-ce que des produits "basiques" ne feraient pas l'affaire? en gros est-ce qu'on ne se complique pas la vie a acheter/ faire des boissons ...
2) Que serait un produit "basique": je n'en connais qu'un: l'eau.
3) On est parti d'un idée très simple: les besoins physiologiques constatés, en sucres, en eau, en osmolarité. Tableau donc à 3 entrées
Quitte à radoter:
Besoins en sucre à l'effort: 90/110 grammes à l'heure. Si possible, sucres mélangés, meilleure assimilation.
Besoins en eau: selon l'effort, la température: de 0.7 à 1 litre à l'heure
Osmolarité: un peu inférieure à celle du plasma ( référence: 280/300 mosmol/litre)
C'est donc relativement "mathématique"
Ton doute est fort mal venu, comme si tu disais " mettre du gas oil dans ma bagnole, est ce que ça a une "réelle utilité" ? ou bien "un 34*28 a t'il "une utilité réelle" pour grimper le Ventoux ?
Tout est possible ! un collègue a nous l'a grimpé mercredi dernier en 34*19....Guillaumat a traversé la Cordillère des Andes sans bouffer, en buvant de la neige ( "ce que j'ai fait, aucune bête ne l'aurait fait")...mais bon
Alors, fais une chose: repère toi un circuit de 150 km, fais-le une fois au jus d'orange, une fois avec une boisson énergétique ( maison, ou du commerce) ( et non énergisante; je ne veux pas d'histoire avec Nicolas Aubineau), et tires en les conclusions que tu voudras
Cordialement
le husky
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Tout à fait d'accord avoir toi.100km a écrit :Comme tu dis, on est tous différent. A cette température, cela ne me paraît être une consommation normale. Je ne suis pas non plus adepte de la trop-bouffe mais le contexte fait que tu aurais pris cher si tu avais tenté un marathon derrière (sans non plus avoir nagé avant).
La boisson la 1ère heure, pense que tu auras nagé avant et que tu en auras besoin et envie !!!
Difficile d'évaluer ca sur une épreuve unique. Exemple à la con : moi j'ai bien réussi à courir pendant 3h30 à jeun
Si après la 3,8km de nat, j'ai besoin de boire un bidon dans la première heure, je le ferai évidemment.
Mon point est que je ne veux pas tomber dans "l'esclavage" nutritionnel pendant la course en me disant que je doive absolument boire tant de ml par heure, manger ça ou ça...
Je partirai avec mes 2 bidons pleins et quand j'en aurai fini un, j'en prendrai un nouveau au prochain ravitaillement et les consommerai au besoin/envie.
Pour le marathon, vu la quantité et la diversité des produits/boissons proposés, il est difficile de manquer de quelque-chose (je participe à un "Challenge"...).
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Ta stratégie d’hydratation est exactement celle que préconise Tim Noakes dans Waterlogged (à savoir boire quand on a soif). Evidemment cela ne veut pas dire que ce soit la bonne mais au moins il y a un docteur qui a écrit un pavé avec tout un tas de références qui est d’accord avec toi…
Juste un commentaire : tu parles de nutrition. Or s’il y a débat sur l’hydratation je ne pense pas qu’il y ait débat sur la nutrition. Si tu attends le coup de fringale pour t’alimenter tu risques de perdre beaucoup de temps...
Juste un commentaire : tu parles de nutrition. Or s’il y a débat sur l’hydratation je ne pense pas qu’il y ait débat sur la nutrition. Si tu attends le coup de fringale pour t’alimenter tu risques de perdre beaucoup de temps...
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
S'il n'y a pas débat sur la nutrition, c'est parce que SilverOl ne sait pas encore attaqué au sujet...FVI70 a écrit :Ta stratégie d’hydratation est exactement celle que préconise Tim Noakes dans Waterlogged (à savoir boire quand on a soif). Evidemment cela ne veut pas dire que ce soit la bonne mais au moins il y a un docteur qui a écrit un pavé avec tout un tas de références qui est d’accord avec toi…
Juste un commentaire : tu parles de nutrition. Or s’il y a débat sur l’hydratation je ne pense pas qu’il y ait débat sur la nutrition. Si tu attends le coup de fringale pour t’alimenter tu risques de perdre beaucoup de temps...
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Mercialex a écrit :réponse a batard
la poudre est stockée dans des petits sachets style clou et vis de magasins de brico
35g par sachet donc 1 sachet pour un bidon de 500ml et 2 pour bidon de 950 ml
pour l'eau il y a des ravitos sur les cyclos bien que sur les 3 ballons c'est limite au niveau organisation et diversité mais comme je n'avais besoin que d'eau il fallait jouer des coudes perte de 12' pour 4 ravitos mais le dernier express 30'' mais le premier à belfahy environ 6 robinets pour 4000 cyclos c'etait un peu plus chaud
au total cela doit faire 6 l de boisson pour 8h30 de course
pour etre complet pause pipi avt le départ, vers le 100ème km et à l'arrivée je pense que l'assimilation à été plutot bonne
le lendemain pas spécialement fatigué 1h nat +1 h cap (13-14 km/h)
6 robinets pour 4000 purée le bordel !
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Bon... Mon cher FVI70, avec la technique du machage de boisson, nous sommes plusieurs à n'avoir bu que "quand on en avait envie" CAD pas beaucoup indépendemment de notre volonté.FVI70 a écrit :Ta stratégie d’hydratation est exactement celle que préconise Tim Noakes dans Waterlogged (à savoir boire quand on a soif). Evidemment cela ne veut pas dire que ce soit la bonne mais au moins il y a un docteur qui a écrit un pavé avec tout un tas de références qui est d’accord avec toi…
Juste un commentaire : tu parles de nutrition. Or s’il y a débat sur l’hydratation je ne pense pas qu’il y ait débat sur la nutrition. Si tu attends le coup de fringale pour t’alimenter tu risques de perdre beaucoup de temps...
Sur du 30/40 kms cela a marché mais avec une volémie très faible et des signes d'hypotension important (moins qu'à l'accoutumée pour moi, mais plus grand chez d'autres).
D'ailleurs autant j'étais seul avec mon hypotension lors d'IM fini déshydraté malgré un litrage important, autant je n'ai eu qu'une seule alerte vite calmée par diverses prises de Cola ou d'eau minérale en douceur par prise multiples de quelques centilitres pour éviter syphon... Il y a aussi sur le parallèle du sujet un article sport et vie intéressant sur la chassedotologie, gestion de la fatigue et hydratation,alimentation...
Le but est de tromper le cerveau et de répondre à ses capteurs, jusqu'ou ?
Jusqu'ou ces capteurs, standarisé pour un sédentaire, vont ils se mettre au niveau pour un sportif d'ultra ?
Jusqu'ou les laisser nous guider sans réfléchir à l'adaptation à leur place ?
Si on laissait faire les capteurs, ne crois tu pas que l'évolution de l'homme serait brimé, ou que les courses serait réduite au minimum ?
Pourquoi ne boire que lorsque l'on a soif et ne pas s'arreter de courir à la première douleur ?
Pourquoi ecouter son corps dans le premier cas et pas le second ?
L'Papy_interrogatif_?
La Népalaise
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Ah… je suis désolé de ne pas approuver les yeux fermés la voix du Maitre mais le sujet est vraiment intéressant!
Tu vas me dire: oui mais comment cela se fait-il que parfois justement on dépasse les limites ? C’est en tout cas la question que je me pose.
On peut quand même reconnaître que dans 99,9xxx des cas, cela se passe bien donc apparemment il y a un mécanisme qui fonctionne.
Et sur ce sujet je renvoie au travaux très intéressant de Noakes sur le Central Governor.
Et histoire de bien gonfler avec Noakes et de continuer à me faire l’avocat du diable… j’ai noté que tu mentionnes souvent pour les cas de déshydratation l’hypotension et des cas de rhabdo. Ok mais il semblerait que cela ne soit pas toujours l’explication :
"Athletes who collapse after exercise are dehydrated/heat exhausted
o At the end of marathons/triathlons, most collapsing athletes are suffering from Exercise Associated Postural Hypotension. They collapse because they can not sufficiently regulate their blood pressure upon cessation of exercise. Blood pools in the legs and does not reach the brain, causing a syncopal episode.
· Dehydration causes rhabdomyolysis
o Not true, even people with EAH can develop Rhabdo. Rhabdo is caused purely by the amount of muscle damage incurred during exercise. If the byproducts of damaged muscle reach sufficient concentration to result in damage to the kidneys, then Rhabdo becomes dangerous. It is unclear whether dehydration compounds this effect (Noakes did not discuss this very much) but the fact that people can have both EAH and Rhabdo indicates that dehydration is not a necessary causal agent."
http://www.bouldersportsmedicine.org/blog/109313/8218/
Je ne veux pas réanimer un vieux débat entre Silver et le Husky mais je serais tenté de dire que l’homme a passé plus de temps à chasser la gazelle (la vraie ) ou à travailler dans les champs de 6h à 18h que devant son ordinateur. Donc si nous avons des « capteurs » il me semblerait assez logique d’en avoir aussi pour les exercices endurants. Et d’ailleurs pourquoi diable avons-nous décidé que nos capteurs ne fonctionneraient plus quand on fait du sport ?lopapy a écrit : Jusqu'ou ces capteurs, standarisé pour un sédentaire, vont ils se mettre au niveau pour un sportif d'ultra ?
Oui je suis d’accord : il est nécessaire de réfléchir et voir si on peut améliorer « la machine » mais je pense qu’il serait bon également de revenir régulièrement aux bases pour re-étalonner tout le bazar. Tiens un exemple : je suis en train de me documenter sur le régime paleo et je lis des choses très très surprenantes. Tim Olesen par exemple a gagné la Western States Endurance en ne prenant que 1400 kcal… (le troisième de la course était d’ailleurs également un adepte du régime paleo). Ca serait un comble quand même si tout cela se confirmait dans les années à venir, à savoir qu’avec un métabolisme adapté quelques olives et trois fois rien comme glucose suffisent pour effectuer un ultra dans de très bonnes conditions. Et on fait quoi nous avec nos PowerPachin, nos malto et Cie. Bon tu vas dire que je délire mais qui sait…lopapy a écrit : Jusqu'ou les laisser nous guider sans réfléchir à l'adaptation à leur place ?
Oui sûrement. En tout cas Ben Johnson n’aurait pas gagné devant le grand Carl et Pantani n’aurait pas gagné un paquet d’étapes (d’autres non plus d’ailleurs).lopapy a écrit : Si on laissait faire les capteurs, ne crois tu pas que l'évolution de l'homme serait brimé, ou que les courses serait réduite au minimum ?
Ben… peut-être tout simplement parce que le cerveau sait pertinemment que cette petite douleur est sans aucune conséquence sur l’organisme alors que l'hydratation est importante . Je ne vois pas trop de contradiction sur ce coup-là.lopapy a écrit : Pourquoi ne boire que lorsque l'on a soif et ne pas s'arreter de courir à la première douleur ?
Pourquoi ecouter son corps dans le premier cas et pas le second ?
Tu vas me dire: oui mais comment cela se fait-il que parfois justement on dépasse les limites ? C’est en tout cas la question que je me pose.
On peut quand même reconnaître que dans 99,9xxx des cas, cela se passe bien donc apparemment il y a un mécanisme qui fonctionne.
Et sur ce sujet je renvoie au travaux très intéressant de Noakes sur le Central Governor.
Et histoire de bien gonfler avec Noakes et de continuer à me faire l’avocat du diable… j’ai noté que tu mentionnes souvent pour les cas de déshydratation l’hypotension et des cas de rhabdo. Ok mais il semblerait que cela ne soit pas toujours l’explication :
"Athletes who collapse after exercise are dehydrated/heat exhausted
o At the end of marathons/triathlons, most collapsing athletes are suffering from Exercise Associated Postural Hypotension. They collapse because they can not sufficiently regulate their blood pressure upon cessation of exercise. Blood pools in the legs and does not reach the brain, causing a syncopal episode.
· Dehydration causes rhabdomyolysis
o Not true, even people with EAH can develop Rhabdo. Rhabdo is caused purely by the amount of muscle damage incurred during exercise. If the byproducts of damaged muscle reach sufficient concentration to result in damage to the kidneys, then Rhabdo becomes dangerous. It is unclear whether dehydration compounds this effect (Noakes did not discuss this very much) but the fact that people can have both EAH and Rhabdo indicates that dehydration is not a necessary causal agent."
http://www.bouldersportsmedicine.org/blog/109313/8218/
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Bonjour, très intéressant tous ces débats.
Participant au Chtriman dans 8 jours, j'avoue encore hésiter à la stratégie hydratation sur le marathon.
Soit emmener une ceinture avec un bidon et des "recharges" de poudre, soit faire confiance aux boissons de l'organisateur (Isostar à priori).
Je sais que partir avec la ceinture et bidon va alourdir la charge mais au final, en cas de mauvaise surprise (non adaptation aux boissons de l'organisation...), les minutes perdues seront surement plus élevées que le celles générées par le lest de la ceinture.
Qu'en pensez vous ??
Participant au Chtriman dans 8 jours, j'avoue encore hésiter à la stratégie hydratation sur le marathon.
Soit emmener une ceinture avec un bidon et des "recharges" de poudre, soit faire confiance aux boissons de l'organisateur (Isostar à priori).
Je sais que partir avec la ceinture et bidon va alourdir la charge mais au final, en cas de mauvaise surprise (non adaptation aux boissons de l'organisation...), les minutes perdues seront surement plus élevées que le celles générées par le lest de la ceinture.
Qu'en pensez vous ??
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Si tel est ton choix, réalise toutes tes sorties restantes en CAP d'ici le Chtriman, avec ta ceinture. Elle risque de te gêner, de t'énerver, de réaliser des frottements, etcMath81 a écrit :les minutes perdues seront surement plus élevées que le celles générées par le lest de la ceinture.
Qu'en pensez vous ??
Re: HYDRATATION en course, quelques billes...
Bonjour, concernant son utilisation je l'ai déjà testé plusieurs fois en trails, aucun souci de frottement ou d'utilisation.
La seule interrogation concerne juste le fait d'embarquer un "lest" qui peut peser surtout après les heures d'effort accumulées avant.
Mais je pense jouer la sécurité en la prenant.
La seule interrogation concerne juste le fait d'embarquer un "lest" qui peut peser surtout après les heures d'effort accumulées avant.
Mais je pense jouer la sécurité en la prenant.