
L'ACTUALITE DU CYCLISME
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
maintenant je pense qu'il se dope au big mac 

Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Alberto Contador a remporté l'étape-reine du Tour de San Luis. L'Espagnol a prouvé sa bonne forme, comme l'an passé dans un scénario similaire à celui de cette saison. Ce succès a réjouit le coureur de la Saxo-Tinkoff qui félicite avant tout ses équipiers. "Je suis très heureux, surtout pour mon équipe, qui a travaillé dur pour moi dans cette course. Il n' avait pas de garanties que je gagne. Je sais qu'ils sont à cent pour cent et je suis très heureux" a t-il déclaré sur biciciclismo.
Le lauréat de la Vuelta 2012 a débloqué son compteur, cette saison, ce qui va le mettre en confiance. "Je vais être un peu plus détendu. Je travaille très dur pour obtenir une bonne, bonne forme. Je suis encore un peu limité en montagne, mais je suis content parce que nous faisons un excellent travail pour les mois à venir". D'ailleurs, ses coéquipiers l'avaient quelque peu piqué dans son orgueil. "Je voulais gagner parce que tous les jours à dîner mes amis plaisantaient en disant : on a travaillé pour rien. Je leur ai dit, vous verrez demain, et à la fin cela s'est bien passé. Il est préférable d'avoir une ambiance extraordinaire".










Le lauréat de la Vuelta 2012 a débloqué son compteur, cette saison, ce qui va le mettre en confiance. "Je vais être un peu plus détendu. Je travaille très dur pour obtenir une bonne, bonne forme. Je suis encore un peu limité en montagne, mais je suis content parce que nous faisons un excellent travail pour les mois à venir". D'ailleurs, ses coéquipiers l'avaient quelque peu piqué dans son orgueil. "Je voulais gagner parce que tous les jours à dîner mes amis plaisantaient en disant : on a travaillé pour rien. Je leur ai dit, vous verrez demain, et à la fin cela s'est bien passé. Il est préférable d'avoir une ambiance extraordinaire".










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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Greipel conclut en beauté
La dernière étape du Tour Down Under n'est, traditionnellement, qu'une course assez rapide, souvent conclut par un sprinter. Tom Jelte Slagter (Blanco Pro Cycling) ayant fait la différence hier pour le classement général, il ne restait plus que du suspense pour savoir qui allait émerger lors de cette dernière journée longue de 90 km, disputée dans les rues d'Adelaide et répartie en 20 tours de 4,5 km. On pourrait dire que, sans surprise, Andre Greipel (Lotto-Belisol) a remporté le sprint du peloton et porte son total à 3 succès cette année sur cette belle épreuve australienne. Retour sur la course.
La dernière étape du Tour Down Under n'est, traditionnellement, qu'une course assez rapide, souvent conclut par un sprinter. Tom Jelte Slagter (Blanco Pro Cycling) ayant fait la différence hier pour le classement général, il ne restait plus que du suspense pour savoir qui allait émerger lors de cette dernière journée longue de 90 km, disputée dans les rues d'Adelaide et répartie en 20 tours de 4,5 km. On pourrait dire que, sans surprise, Andre Greipel (Lotto-Belisol) a remporté le sprint du peloton et porte son total à 3 succès cette année sur cette belle épreuve australienne. Retour sur la course.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Andy, simple coureur
Nouveau discours, nouveau programme, nouveau sourire : Andy Schleck fait tout pour devenir un nouveau coureur, jusqu’à reprendre sa saison cette semaine, sur le Tour Down Under, loin de ses temps de passage habituels. Après une année 2012 cauchemardesque, le Luxembourgeois a changé de philosophie. Mais pas d’objectifs.
Comme une deuxième naissance
Cela fait tellement longtemps qu’on ne l’a pas vu que c’est forcément un événement. Ce mardi, Andy Schleck a mis fin a sept mois sans compétition, une pige sur le Tour de Pékin mis à part, en courant la première étape du Tour Down Under. Voir le Luxembourgeois en Australie est incongru au vu du personnage, peu habitué à reprendre si tôt la compétition et à s’infliger ce genre de voyage « pour rien », puisque l’épreuve n’est ni un objectif, ni taillée pour lui. Mais depuis sa fracture de la hanche sur le Dauphiné, l’an dernier, Schleck n’était plus un coureur cycliste. En fait, ça remonte même au Tour de France 2011, car les six premiers mois de la saison dernière avaient été catastrophiques, entre méforme, abandons et errements. D’ailleurs, il n’a pas caché dans une interview accordée récemment au quotidien luxembourgeois L’Essentiel qu’il n’était « pas possible » pour lui d’oublier cette année noire : « J’essaie de ne pas trop y penser mais cela me reste toujours en tête. [...] Outre les blessures, j’ai pris un coup avec ce qui est arrivé à Frank (contrôlé positif à un diurétique, ndlr). Et il y a eu les histoires avec Bruyneel… Je n’étais pas dégoûté, mais ça rend triste et je ne voyais plus que la malchance et la merde… »
C’est pour mieux tourner la page qu’Andy a décidé de démarrer sa saison en janvier et aux antipodes. Presque devenu philosophe, il se réjouit de regoûter à la vie de coureur et semble en redécouvrir les plaisirs. « J’ai faim de compétition, assure-t-il. J’ai besoin de retrouver le rythme de la compétition, d’atteindre des objectifs et d’animer les courses que je dispute, comme j’ai pu le faire par le passé sur Liège-Bastogne-Liège ou le Tour quand j’avais décidé d’attaquer. C’est ce qui me manque le plus : prendre une décision qui change le visage de la course. Je vois que les autres sont fatigués, et moi j’ai encore les ressources pur attaquer. C’est la meilleure des sensations. » Mais, attention : on ne va pas découvrir un Andy Schleck boulimique, prêt à sauter sur tout ce qui bouge dès le Down Under pour autant. Et la première étape l’a confirmé puisque le Luxembourgeois n’a même pas fini dans le peloton. Il dit s’être senti nerveux. Il a probablement voulu, également, ne pas prendre de risques. Il était surtout en forme perfectible et avait prévenu : « Il va me falloir du temps pour revenir à un bon niveau. Mais je suis confiant. Dans deux, trois mois, ce sera OK. »
C’est là toute la différence entre Andy Schleck et Alberto Contador, deux coureurs souvent comparés depuis leurs passes d’armes sur le Tour de France, et dont les premières parties de saison sont généralement très différentes. Depuis lundi, le Pistolero est sur le Tour de San Luis et va probablement jouer la victoire, comme ce fut le cas l’an passé. Il a parfois gagné dès janvier, comme en 2005 au Tour Down Under, ou l’an dernier en Argentine. Il n’est que rarement resté sans victoire avant le printemps – la dernière fois en date en 2008. Tout le contraire d’Andy Schleck qui a pourtant les caractéristiques pour lever les bras rapidement vu ce que propose le calendrier de début de saison. À 80 % de ses possibilités, il pourrait s’imposer en haut d’un Mont Faron sur le Tour Med, voire même d’un Mont Willunga sur le Tour Down Under… C’est cette semaine, justement. Et pourtant, compte tenu surtout de la prestation du coureur de Radio Shack lors de l’étape de lundi, personne ne l’imaginera capable de l’emporter là-haut. Car le loustic veut se donner le temps…
« Impossible de faire pire qu’en 2012 ! »
« Deux, trois mois », donc. Au cours desquels le coureur de Radio Shack s’est concocté un programme très copieux – celui, effectivement, d’un mort de faim. Après l’Australie, Andy Schleck va enchaîner le Tour Med (6-10 février), le Tour du Haut-Var (16-17 février), le GP Nobili Rubinetterie (23 février), les Strade Bianche (3 mars), Tirreno-Adriatico (6-12 mars), le Critérium international (23-24 mars) et le Tour du Pays basque (1-6 avril). S’il le respecte à la lettre, il arrivera sur la semaine ardennaise avec pas moins de trente jours de course, ce qui ne lui est jusqu’ici jamais arrivé. Son record est pour l’instant de 25, en 2009 et 2011 ; et ce n’est évidemment pas un hasard, cela correspond à ses deux meilleures campagnes : victoire sur Liège et deuxième de la Flèche en 2009, troisième de Liège en 2011. Car le Luxembourgeois n’a pas seulement décidé de redevenir un coureur : il a aussi décidé de moins se focaliser sur le Tour au profit des Ardennaises, qu’il avait traversées dans l’anonymat le plus total au printemps dernier. « J’aime les classiques. Ce sera mon premier objectif en 2013. Je suis certain que cette saison sera meilleure que 2012 parce qu’en fait, ça semble impossible de faire pire ! Mais avant de courir les classiques, je dois beaucoup courir, et c’est bien ce que je compte faire. »
Mais Andy ne serait pas Andy si le Tour de France, même mis à la porte, ne revenait pas par la fenêtre. La grand-messe de juillet est toujours son rêve absolu, car même s’il est le vainqueur officiel de l’édition 2010, il lui manque encore le goût d’une victoire achevée. « Je veux gagner le Tour sur les Champs-Élysées, explique-t-il simplement. Je n’ai que 27 ans. Je sais que je dois retrouver mon niveau de 2011. » Dès cette année ? Il ne promet rien, mais se délecte du parcours. « Il favorise les attaquants comme moi, j’espère qu’on vivra un Tour plus ouvert et plus animé [que le précédent]. Sur le papier, j’adore ce parcours. » Les intentions ont changé, mais l’ambition reste la même. La saison du Luxembourgeois sera réussie si son Tour de France est réussi. On peut le regretter, mais ça fait longtemps que l’on ne s’en étonne plus. Pour l’heure, Andy Schleck est juste redevenu un coureur cycliste. Et c’est déjà bien.
A noter qu'Andy Schleck a abandonné, suite à une crevaison l'ayant empêché de suivre le peloton. 
Nouveau discours, nouveau programme, nouveau sourire : Andy Schleck fait tout pour devenir un nouveau coureur, jusqu’à reprendre sa saison cette semaine, sur le Tour Down Under, loin de ses temps de passage habituels. Après une année 2012 cauchemardesque, le Luxembourgeois a changé de philosophie. Mais pas d’objectifs.
Comme une deuxième naissance
Cela fait tellement longtemps qu’on ne l’a pas vu que c’est forcément un événement. Ce mardi, Andy Schleck a mis fin a sept mois sans compétition, une pige sur le Tour de Pékin mis à part, en courant la première étape du Tour Down Under. Voir le Luxembourgeois en Australie est incongru au vu du personnage, peu habitué à reprendre si tôt la compétition et à s’infliger ce genre de voyage « pour rien », puisque l’épreuve n’est ni un objectif, ni taillée pour lui. Mais depuis sa fracture de la hanche sur le Dauphiné, l’an dernier, Schleck n’était plus un coureur cycliste. En fait, ça remonte même au Tour de France 2011, car les six premiers mois de la saison dernière avaient été catastrophiques, entre méforme, abandons et errements. D’ailleurs, il n’a pas caché dans une interview accordée récemment au quotidien luxembourgeois L’Essentiel qu’il n’était « pas possible » pour lui d’oublier cette année noire : « J’essaie de ne pas trop y penser mais cela me reste toujours en tête. [...] Outre les blessures, j’ai pris un coup avec ce qui est arrivé à Frank (contrôlé positif à un diurétique, ndlr). Et il y a eu les histoires avec Bruyneel… Je n’étais pas dégoûté, mais ça rend triste et je ne voyais plus que la malchance et la merde… »
C’est pour mieux tourner la page qu’Andy a décidé de démarrer sa saison en janvier et aux antipodes. Presque devenu philosophe, il se réjouit de regoûter à la vie de coureur et semble en redécouvrir les plaisirs. « J’ai faim de compétition, assure-t-il. J’ai besoin de retrouver le rythme de la compétition, d’atteindre des objectifs et d’animer les courses que je dispute, comme j’ai pu le faire par le passé sur Liège-Bastogne-Liège ou le Tour quand j’avais décidé d’attaquer. C’est ce qui me manque le plus : prendre une décision qui change le visage de la course. Je vois que les autres sont fatigués, et moi j’ai encore les ressources pur attaquer. C’est la meilleure des sensations. » Mais, attention : on ne va pas découvrir un Andy Schleck boulimique, prêt à sauter sur tout ce qui bouge dès le Down Under pour autant. Et la première étape l’a confirmé puisque le Luxembourgeois n’a même pas fini dans le peloton. Il dit s’être senti nerveux. Il a probablement voulu, également, ne pas prendre de risques. Il était surtout en forme perfectible et avait prévenu : « Il va me falloir du temps pour revenir à un bon niveau. Mais je suis confiant. Dans deux, trois mois, ce sera OK. »
C’est là toute la différence entre Andy Schleck et Alberto Contador, deux coureurs souvent comparés depuis leurs passes d’armes sur le Tour de France, et dont les premières parties de saison sont généralement très différentes. Depuis lundi, le Pistolero est sur le Tour de San Luis et va probablement jouer la victoire, comme ce fut le cas l’an passé. Il a parfois gagné dès janvier, comme en 2005 au Tour Down Under, ou l’an dernier en Argentine. Il n’est que rarement resté sans victoire avant le printemps – la dernière fois en date en 2008. Tout le contraire d’Andy Schleck qui a pourtant les caractéristiques pour lever les bras rapidement vu ce que propose le calendrier de début de saison. À 80 % de ses possibilités, il pourrait s’imposer en haut d’un Mont Faron sur le Tour Med, voire même d’un Mont Willunga sur le Tour Down Under… C’est cette semaine, justement. Et pourtant, compte tenu surtout de la prestation du coureur de Radio Shack lors de l’étape de lundi, personne ne l’imaginera capable de l’emporter là-haut. Car le loustic veut se donner le temps…
« Impossible de faire pire qu’en 2012 ! »
« Deux, trois mois », donc. Au cours desquels le coureur de Radio Shack s’est concocté un programme très copieux – celui, effectivement, d’un mort de faim. Après l’Australie, Andy Schleck va enchaîner le Tour Med (6-10 février), le Tour du Haut-Var (16-17 février), le GP Nobili Rubinetterie (23 février), les Strade Bianche (3 mars), Tirreno-Adriatico (6-12 mars), le Critérium international (23-24 mars) et le Tour du Pays basque (1-6 avril). S’il le respecte à la lettre, il arrivera sur la semaine ardennaise avec pas moins de trente jours de course, ce qui ne lui est jusqu’ici jamais arrivé. Son record est pour l’instant de 25, en 2009 et 2011 ; et ce n’est évidemment pas un hasard, cela correspond à ses deux meilleures campagnes : victoire sur Liège et deuxième de la Flèche en 2009, troisième de Liège en 2011. Car le Luxembourgeois n’a pas seulement décidé de redevenir un coureur : il a aussi décidé de moins se focaliser sur le Tour au profit des Ardennaises, qu’il avait traversées dans l’anonymat le plus total au printemps dernier. « J’aime les classiques. Ce sera mon premier objectif en 2013. Je suis certain que cette saison sera meilleure que 2012 parce qu’en fait, ça semble impossible de faire pire ! Mais avant de courir les classiques, je dois beaucoup courir, et c’est bien ce que je compte faire. »
Mais Andy ne serait pas Andy si le Tour de France, même mis à la porte, ne revenait pas par la fenêtre. La grand-messe de juillet est toujours son rêve absolu, car même s’il est le vainqueur officiel de l’édition 2010, il lui manque encore le goût d’une victoire achevée. « Je veux gagner le Tour sur les Champs-Élysées, explique-t-il simplement. Je n’ai que 27 ans. Je sais que je dois retrouver mon niveau de 2011. » Dès cette année ? Il ne promet rien, mais se délecte du parcours. « Il favorise les attaquants comme moi, j’espère qu’on vivra un Tour plus ouvert et plus animé [que le précédent]. Sur le papier, j’adore ce parcours. » Les intentions ont changé, mais l’ambition reste la même. La saison du Luxembourgeois sera réussie si son Tour de France est réussi. On peut le regretter, mais ça fait longtemps que l’on ne s’en étonne plus. Pour l’heure, Andy Schleck est juste redevenu un coureur cycliste. Et c’est déjà bien.


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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Blanco (ex-Rabobank) enquête sur Sanchez

La direction de l'équipe cycliste néerlandaise Blanco (ex-Rabobank) a décidé d'enquêter sur une possible implication de son coureur espagnol Luis Leon Sanchez dans le travail lié au dopage du médecin espagnol Eufemiano Fuentes, révèle samedi le quotidien NRC Handelsblad.
Selon l'enquête de police menée à l'encontre de Fuentes, il apparaît que Sanchez était un patient de Fuentes en 2006. Il roulait à l'époque pour l'équipe espagnole Liberty Seguros.
La direction de Blanco s'est longuement entretenu avec le coureur lors du stage d'entraînement à Mojacar en Espagne et l'a confronté aux soupçons. Sanchez a nié être lié à une affaire de dopage lié à Fuentes, a fait savoir son manager.
Sanchez, 29 ans, compte notamment des victoires dans la Clasica San Sebastian (2010 et 2012), Paris-Nice (2009), le Tour Down Under (2005) et 4 étapes de tours. Il est aussi quadruple champion d'Espagne de contre-la-montre.


La direction de l'équipe cycliste néerlandaise Blanco (ex-Rabobank) a décidé d'enquêter sur une possible implication de son coureur espagnol Luis Leon Sanchez dans le travail lié au dopage du médecin espagnol Eufemiano Fuentes, révèle samedi le quotidien NRC Handelsblad.
Selon l'enquête de police menée à l'encontre de Fuentes, il apparaît que Sanchez était un patient de Fuentes en 2006. Il roulait à l'époque pour l'équipe espagnole Liberty Seguros.
La direction de Blanco s'est longuement entretenu avec le coureur lors du stage d'entraînement à Mojacar en Espagne et l'a confronté aux soupçons. Sanchez a nié être lié à une affaire de dopage lié à Fuentes, a fait savoir son manager.
Sanchez, 29 ans, compte notamment des victoires dans la Clasica San Sebastian (2010 et 2012), Paris-Nice (2009), le Tour Down Under (2005) et 4 étapes de tours. Il est aussi quadruple champion d'Espagne de contre-la-montre.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Grand Prix La Marseillaise : Les équipes engagées
Toutes les équipes françaises seront au départ parmi les 16 qui ont été retenues par les organisateurs.
Quatre formations WorldTour étrangères ont été invitées : Argos-Shimano, Euskaltel-Euskadi, Lotto-Belisol et Vacansoleil-DCM.
Le reste du peloton se composera d'équipes Pro Continentales ou Continentales belges : Accent Jobs-Wanty, An Post-Sean Kelly, Crelan-Euphony et Topsport Vlaanderen.
L'épreuve avait été enlevée l'an passé par Samuel Dumoulin (Cofidis). Depuis 2008, la victoire est toujours revenue à un coureur français.
La liste des équipes invitées :
Accent Jobs-Wanty
AG2R-La Mondiale
An Post-Sean Kelly
Argos-Shimano
BigMat-Auber 93
Bretagne-Séché Environnement
Cofidis
Euskaltel-Euskadi
FDJ
La Pomme Marseille
Crelan-Euphony
Lotto-Belisol
Roubaix-Lille Métropole
Sojasun
Team Europcar
Topsport Vlaanderen
Vacansoleil-DCM
Toutes les équipes françaises seront au départ parmi les 16 qui ont été retenues par les organisateurs.
Quatre formations WorldTour étrangères ont été invitées : Argos-Shimano, Euskaltel-Euskadi, Lotto-Belisol et Vacansoleil-DCM.
Le reste du peloton se composera d'équipes Pro Continentales ou Continentales belges : Accent Jobs-Wanty, An Post-Sean Kelly, Crelan-Euphony et Topsport Vlaanderen.
L'épreuve avait été enlevée l'an passé par Samuel Dumoulin (Cofidis). Depuis 2008, la victoire est toujours revenue à un coureur français.
La liste des équipes invitées :
Accent Jobs-Wanty
AG2R-La Mondiale
An Post-Sean Kelly
Argos-Shimano
BigMat-Auber 93
Bretagne-Séché Environnement
Cofidis
Euskaltel-Euskadi
FDJ
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Lotto-Belisol
Roubaix-Lille Métropole
Sojasun
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Topsport Vlaanderen
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Marseille, première étape

Le Grand Prix La Marseillaise lance, dimanche, la saison en Europe, avec trois des quatre professionnels lorrains du peloton (Steve Chainel, Anthony Roux et Matthieu Sprick). Nacer Bouhanni, lui, doit patienter.
Nacer Bouhanni (FDJ), 22 ans, professionnel depuis 2011. Si elle ne dérange pas les spécialistes de cyclo-cross, la neige qui a envahi la Lorraine a contraint Nacer Bouhanni à réviser ses plans. Le champion de France met le cap, aujourd’hui, sur Draguignan pour trouver des conditions d’entraînement plus clémentes avant de renouer avec la compétition au Tour du Qatar (du 3 au 8 février) et au Tour d’Oman (du 11 au 16 février). « J’ai hâte », avoue la perle du sprint hexagonal, qui se sait attendu au tournant cette saison après une année 2012 marquée par six victoires, dont ce titre national remporté à Saint-Amand-les-Eaux. « C’est normal, mais je ne mets pas plus de pression que ça », confie le Vosgien, qui a repris cet hiver une licence au SC Sarreguemines. En 2013, il n’a qu’une idée en tête : gagner le plus souvent possible. « Quand on est sprinter, on en a souvent l’occasion. » Il envisage également une première participation au Tour de France. « Mais avant, il y a cinq mois de compétition ! »
Steve Chainel (AG2R-La Mondiale), 29 ans, professionnel depuis 2007. Dans la foulée d’une saison de cyclo-cross conclue par une décevante dixième place au championnat de France, Steve Chainel s’apprête à débuter une nouvelle aventure sur la route au sein de l’équipe AG2R-La Mondiale, dirigée par Vincent Lavenu. L’ancien coureur de la FDJ, qui sera au départ du Grand Prix La Marseillaise dimanche, aura pour mission de tirer son épingle du jeu sur les classiques du printemps, en particulier les Flandriennes (Tour des Flandres, Gand-Wevelgem, Paris-Roubaix) qui lui tiennent tant à cœur. Le Tour du Qatar puis celui d’Oman, des épreuves qu’il va découvrir, vont lui donner l’occasion de monter en puissance avant de retrouver la Belgique pour le Circuit Het Nieuwsblad, le 23 février, et Kuurne-Bruxelles-Kuurne, le lendemain.
Anthony Roux (FDJ), 25 ans, professionnel depuis 2008. Le Grand Prix La Marseillaise, l’Étoile de Bessèges (du 30 janvier au 3 février), le Tour Méditerranéen (du 6 au 10 février) puis le Trophée Laigueglia (16 février) vont baliser le parcours d’Anthony Roux durant les premières semaines de la saison. Le spécialiste du contre-la-montre entend reprendre sa marche en avant au sortir d’une année blanche pendant laquelle il a dû se remettre d’une fracture de deux vertèbres, qui l’a encore obligé à repasser sur la table d’opération à l’automne, et d’un virus qui l’a particulièrement diminué pendant le premier semestre.
Matthieu Sprick (Argos-Shimano), 31 ans, professionnel depuis 2004. C’est sous le soleil de Benidorm (Espagne), sur les bords de la Méditerranée que Matthieu Sprick peaufine, cette semaine, sa préparation, qui a été perturbée par un virus. Le Sarregueminois a mis les bouchées doubles pour répondre présent, dimanche, au Grand Prix La Marseillaise. Une course dont il n’attend pas grand-chose, si ce n’est de remettre la machine en route. Le Mosellan, capitaine de route d’une équipe qui intègre en 2013 le World Tour, va se mettre au service des siens, qui comptent sur leurs sprinters allemands John Degenkolb et Marcel Kittel pour débloquer rapidement leur compteur. L’Etoile de Bessèges (du 30 janvier au 3 février), le Tour du Haut-Var (16 et 17 février), la Drôme Classic (23 février), la Classic Sud Ardèche (24 février) et Tirreno-Adriatico (du 6 au 12 mars) figurent au calendrier du vétéran lorrain du peloton professionnel.

Le Grand Prix La Marseillaise lance, dimanche, la saison en Europe, avec trois des quatre professionnels lorrains du peloton (Steve Chainel, Anthony Roux et Matthieu Sprick). Nacer Bouhanni, lui, doit patienter.




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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Le Velo de Matthew Goss


























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Le vélo de Geraint Thomas
















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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Lampre-Merida Scultura SL (Wilier c'est donc fini eh ben...
)













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Quelques photos du Tour Down Under










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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME

Wilier Triestina informe de la rupture de contrat par le Team Lampre-ISD, un an avant son échéance. Le Team Lampre a décidé de s’associer à une autre marque, rompant ainsi les accords signés avec Wilier Triestina.
Wilier Triestina ne sera donc plus sponsor technique de l’équipe. Une douche froide pour l’entreprise de Rossano Veneto qui avait déja planifié de lourds investissements publicitaires pour l’année 2013.
L’entreprise continue dans tous les cas à innover afin de maintenir une qualité de production haut de gamme et à consolider sa place sur le marché du cycle. Wilier Triestina s’emploiera en outre à donner vie à de nouveaux projets sportifs professionels, afin de maintenir (voire d’augmenter) la visibilité de la marque au niveau national et international.
Les chiffres du premier semestre 2012 confirment l’intéret de ce type d’investissements: l’entreprise a en effet augmenté le volume de ses ventes d’environ 15% par rapport à la meme période de l’année précédente. Des chiffres que Wilier Triestina saura sans doute maintenir et améliorer en 2013.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Cofidis veut rebondir en 2013
L'équipe Cofidis, qui a renouvelé près de la moitié de son effectif, entend rebondir en 2013, notamment avec Jérôme Coppel venu en tant qu'alter ego de l'Estonien Rein Taaramae dans les courses par étapes.
.
"L'équipe était quelque peu démotivée, une sorte de fatalisme s'était installé", a reconnu vendredi, lors de la présentation de son groupe à Paris, Yvon Sanquer, arrivé aux commandes en juin dernier juste avant le Tour de France.
L'ex-dirigeant de la Ligue nationale, qui a travaillé pour diverses équipes (Mutuelle de Seine-et-Marne, Festina, Astana), s'est donc attaché au recrutement pour justifier l'ambition de son parraineur, présent dans le peloton depuis 1997 et désireux de réintégrer la première division (WorldTour).
Coppel, qui avait assumé seul les responsablités de leader dans sa précédente équipe (Saur-Sojasun), s'est laissé convaincre, Christophe Le Mével (Garmin) aussi. Le grimpeur espagnol Daniel Navarro, l'un des lieutenants d'Alberto Contador dans la montagne, a rejoint aussi le groupe pour former le noyau dur de l'équipe dans les courses par étapes d'une semaine et les grands tours, à côté de Taaramae.
"La confiance renouvelée de Cofidis, qui est partant jusqu'à fin 2016, autorise un nouveau projet sportif", a estimé Sanquer, qui peut compter aussi sur des éléments d'avenir dans les courses d'un jour, tels Adrien Petit (médaillé d'argent du Championnat du monde espoirs 2011), qui vient de débuter victorieusement sa saison au Gabon, ou encore l'Espagnol Egoitz Garcia.
Edwig Cammaert, Jan Ghyselinck, Nico Sijmens et Romain Zingle, les quatre Belges de l'équipe, porteront toujours le maillot de Cofidis en 2013.
Nouvel état d'esprit
L'ambition avouée de retrouver la première division passe par des performances de haut niveau mais, a souligné le responsable de l'équipe, "le syndrôme du résultat suspect ne doit pas être une excuse, on voit gagner aujourd'hui des jeunes coureurs français, qui ne sont pas suspects".
Décidé à mettre en place un nouvel état d'esprit, Sanquer veut tourner le dos au passé, dans une équipe durablement traumatisée par l'affaire de dopage qui l'avait secouée en 2004 avant de connaître un bref soubresaut lors de l'épisode Di Grégorio, dans le Tour 2012. "Cela se terminera aux prudhommes", prévoit Yon Sanquer à propos du grimpeur marseillais, qui avait été interpellé l'an passé lors de la journée de repos de la Grande Boucle.
Thierry Vittu, président de Cofidis Compétition, s'est situé sur la même ligne que son manager. Il a prôné le changement, sauf pour le respect des valeurs éthiques, mais a rendu aussi un vibrant hommage à David Moncoutié, le seul coureur présent de la création de l'équipe (1997) à la saison dernière, "un modèle de fidélité et d'intégrité".
"2013 doit amorcer un nouveau cycle", a-t-il estimé en fixant les objectifs sportifs: "gagner une étape au Tour de France et à la Vuelta, prendre place dans les dix premiers du classement général, gagner une course par étapes et la Coupe de France."
L'effectif de l'équipe Cofidis, présenté vendredi à Paris, comprend 25 coureurs:
Restent: Yohan Bagot (Fra), Florent Barle (Fra), Edwig Cammaerts (Bel), Nicolas Edet (Fra), Julien Fouchard (Fra), Egoitz Garcia (Esp), Jan Ghyselinck (Bel), Arnaud Labbe (Fra), Luis Angel Mate (Esp), Rudy Molard (Fra), Adrien Petit (Fra), Nico Sijmens (Bel), Rein Taaramae (Est), Tristan Valentin (Fra), Romain Zingle (Bel)
Partent: Mickaël Buffaz (Fra), Jean-Eudes Demaret (Fra), Rémy Di Grégorio (Fra), Samuel Dumoulin (Fra), Leonardo Duque (Col), David Moncoutié (Fra), Damien Monier (Fra), Aleksejs Saramotins (Let), Nicolas Vogondy (Fra)
Arrivent: Jérémy Bescond (FRA), Cyril Bessy (FRA), Jérôme Coppel (FRA), Romain Hardy (FRA), Gert Joeaar (Est), Romain Lemarchand (FRA), Guillaume Levarlet (FRA), Christophe Le Mével (FRA), Daniel Navarro (Esp), Stéphane Poulhiès (FRA)
Manager général: Yvon Sanquer
Directeurs sportifs: Stéphane Augé, Alain Deloeil, Jean-Luc Jonrond et Didier Rous.
L'équipe Cofidis, qui a renouvelé près de la moitié de son effectif, entend rebondir en 2013, notamment avec Jérôme Coppel venu en tant qu'alter ego de l'Estonien Rein Taaramae dans les courses par étapes.
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"L'équipe était quelque peu démotivée, une sorte de fatalisme s'était installé", a reconnu vendredi, lors de la présentation de son groupe à Paris, Yvon Sanquer, arrivé aux commandes en juin dernier juste avant le Tour de France.
L'ex-dirigeant de la Ligue nationale, qui a travaillé pour diverses équipes (Mutuelle de Seine-et-Marne, Festina, Astana), s'est donc attaché au recrutement pour justifier l'ambition de son parraineur, présent dans le peloton depuis 1997 et désireux de réintégrer la première division (WorldTour).
Coppel, qui avait assumé seul les responsablités de leader dans sa précédente équipe (Saur-Sojasun), s'est laissé convaincre, Christophe Le Mével (Garmin) aussi. Le grimpeur espagnol Daniel Navarro, l'un des lieutenants d'Alberto Contador dans la montagne, a rejoint aussi le groupe pour former le noyau dur de l'équipe dans les courses par étapes d'une semaine et les grands tours, à côté de Taaramae.
"La confiance renouvelée de Cofidis, qui est partant jusqu'à fin 2016, autorise un nouveau projet sportif", a estimé Sanquer, qui peut compter aussi sur des éléments d'avenir dans les courses d'un jour, tels Adrien Petit (médaillé d'argent du Championnat du monde espoirs 2011), qui vient de débuter victorieusement sa saison au Gabon, ou encore l'Espagnol Egoitz Garcia.
Edwig Cammaert, Jan Ghyselinck, Nico Sijmens et Romain Zingle, les quatre Belges de l'équipe, porteront toujours le maillot de Cofidis en 2013.
Nouvel état d'esprit
L'ambition avouée de retrouver la première division passe par des performances de haut niveau mais, a souligné le responsable de l'équipe, "le syndrôme du résultat suspect ne doit pas être une excuse, on voit gagner aujourd'hui des jeunes coureurs français, qui ne sont pas suspects".
Décidé à mettre en place un nouvel état d'esprit, Sanquer veut tourner le dos au passé, dans une équipe durablement traumatisée par l'affaire de dopage qui l'avait secouée en 2004 avant de connaître un bref soubresaut lors de l'épisode Di Grégorio, dans le Tour 2012. "Cela se terminera aux prudhommes", prévoit Yon Sanquer à propos du grimpeur marseillais, qui avait été interpellé l'an passé lors de la journée de repos de la Grande Boucle.
Thierry Vittu, président de Cofidis Compétition, s'est situé sur la même ligne que son manager. Il a prôné le changement, sauf pour le respect des valeurs éthiques, mais a rendu aussi un vibrant hommage à David Moncoutié, le seul coureur présent de la création de l'équipe (1997) à la saison dernière, "un modèle de fidélité et d'intégrité".
"2013 doit amorcer un nouveau cycle", a-t-il estimé en fixant les objectifs sportifs: "gagner une étape au Tour de France et à la Vuelta, prendre place dans les dix premiers du classement général, gagner une course par étapes et la Coupe de France."
L'effectif de l'équipe Cofidis, présenté vendredi à Paris, comprend 25 coureurs:
Restent: Yohan Bagot (Fra), Florent Barle (Fra), Edwig Cammaerts (Bel), Nicolas Edet (Fra), Julien Fouchard (Fra), Egoitz Garcia (Esp), Jan Ghyselinck (Bel), Arnaud Labbe (Fra), Luis Angel Mate (Esp), Rudy Molard (Fra), Adrien Petit (Fra), Nico Sijmens (Bel), Rein Taaramae (Est), Tristan Valentin (Fra), Romain Zingle (Bel)
Partent: Mickaël Buffaz (Fra), Jean-Eudes Demaret (Fra), Rémy Di Grégorio (Fra), Samuel Dumoulin (Fra), Leonardo Duque (Col), David Moncoutié (Fra), Damien Monier (Fra), Aleksejs Saramotins (Let), Nicolas Vogondy (Fra)
Arrivent: Jérémy Bescond (FRA), Cyril Bessy (FRA), Jérôme Coppel (FRA), Romain Hardy (FRA), Gert Joeaar (Est), Romain Lemarchand (FRA), Guillaume Levarlet (FRA), Christophe Le Mével (FRA), Daniel Navarro (Esp), Stéphane Poulhiès (FRA)
Manager général: Yvon Sanquer
Directeurs sportifs: Stéphane Augé, Alain Deloeil, Jean-Luc Jonrond et Didier Rous.
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Le cyclisme, bouc émissaire de la lutte anti-dopage?

Le quintuple vainqueur du Tour de France Bernard Hinault a affirmé vendredi que Lance Armstrong n'est "pas le premier coureur" à avoir fait du mal au cyclisme, tout en regrettant que tous les sports ne soient pas traités de la même façon vis à vis du dopage.
"Lance Armstrong n'est pas le premier (coureur) à avoir fait du mal au cyclisme, a déclaré Hinault, qui s'exprimait à Adelaïde (Australie) à l'occasion du Tour Down Under. Nous devons nous battre contre ce problème".
Armstrong, déchu de ses 7 victoires au Tour de France, a reconnu la semaine dernière lors d'une interview qu'il s'était dopé au cours de sa carrière. "On parle beaucoup du cyclisme, mais pourquoi ne parle-t-on pas des autres sports?", s'est-il interrogé. "Le jour où tous les sports seront traités de la même façon, nous ne serons plus le mouton noir", a-t-il dit. "Il y a des problèmes dans chaque sport, mais c'est toujours le cyclisme que l'on égratigne", a ajouté l'ancien champion du monde (58 ans).
Hinault, qui continue à parcourir à vélo environ 200 km chaque semaine, a estimé que c'était aux autres fédérations internationales de s'assurer que leurs sports sont propres. "Les fédérations (internationales) devraient faire leur travail de la même façon en procédant à des contrôles, la même façon dans chaque sport".

Le quintuple vainqueur du Tour de France Bernard Hinault a affirmé vendredi que Lance Armstrong n'est "pas le premier coureur" à avoir fait du mal au cyclisme, tout en regrettant que tous les sports ne soient pas traités de la même façon vis à vis du dopage.
"Lance Armstrong n'est pas le premier (coureur) à avoir fait du mal au cyclisme, a déclaré Hinault, qui s'exprimait à Adelaïde (Australie) à l'occasion du Tour Down Under. Nous devons nous battre contre ce problème".
Armstrong, déchu de ses 7 victoires au Tour de France, a reconnu la semaine dernière lors d'une interview qu'il s'était dopé au cours de sa carrière. "On parle beaucoup du cyclisme, mais pourquoi ne parle-t-on pas des autres sports?", s'est-il interrogé. "Le jour où tous les sports seront traités de la même façon, nous ne serons plus le mouton noir", a-t-il dit. "Il y a des problèmes dans chaque sport, mais c'est toujours le cyclisme que l'on égratigne", a ajouté l'ancien champion du monde (58 ans).
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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
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