La course des filles est relativement plus simple que celle des hommes compte tenu de la moindre homogénéité du plateau. Mais le pestacle est tout aussi beau
Il reste que l'on observe des schémas tactiques similaires avec, par exemple, une E.Patou de feu (on pourrait dire une SPINETTE

) dans le rôle de la locomotive.
Pour la gagne, à l'exception de Poissy qui a trois équipières de haut niveau, les autres clubs du top 6 doivent composer avec un "maillon faible" (tou est relatif) qui fait s'incrémenter le compteur points. (Regardez le classement par équipes).
Ensuite on a une deuxième compétition entre clubs (à partir de la septième place) ne disposant pas de "leader" capable d'entrer dans le top 10 en individuels. La problématique devient alors de s'appprocher au max de la barrière des 60 points avec trois équipières "régionales" dans les 20-25 (ou de recruter une pigiste ponctuellement).
J'ajoute que certains clubs luttant pour le podium ferait peut être bien de "renforcer" leur troisième ligne pour éviter d'incrémenter le compteur en cas de pb d'une équipière top.
PS: le débat européen a beaucoup mentionné le "plombier Polonais" mais il aurait pu citer la triathlète australienne, tchèque, belge, américaine, etc...
