Le consultant pour le cas c'est l'ademe. Mais je suis d'accord une étude présente toujours une vision stéréotypée. Encore une fois ces études je les prends pour mesurer un impacte. Combien de courrier un banquier recevait-il il ya 15 ans, combien de mail recoit-il aujourd'hui dans une même journée ?Leonick a écrit :j'aime beaucoup ce type d'études, démagogiques au possible. C'est bien beau de dire qu'envoyer des mails ça a des répercussions sur les émissions carbones. Mais si au lieu d'envoyer 1 mail à 10 personnes, imprimait notre document et qu'on faisait appel à un coursier pour chacune des 10 personnes (dossier à transmettre en urgence), quel serait le bilan carbone dans ce cas.janotri a écrit :"Bref, ceux qui s'imaginent que le mail, de par sa nature dématérialisée, possède des vertus écologiques tomberont sans doute de haut en explorant cette étude qui évoque également le bilan carbone d'une requête sur un moteur de recherche – estimé à 10 grammes de CO² par recherche – ou encore celui d'un transfert de données sur une clé USB – 100 grammes de CO² pour un fichier de 200 pages déplacé sur une clé de 512 Mo. On apprend ainsi que le transfert d'un tel fichier sur 100 clés USB – une démarche courante dans les colloques et réunions – équivaut à 10 kg de CO², « soit l'équivalent d'environ 75 km parcourus en voiture ».
Si, au lieu d'effectuer des recherches via internet on devait se rendre dans une bibliothèque, quel serait le déficit carbone ?
ce type d'étude, ça sert juste le greenwashing (pour que les entreprises puissent montrer leur côté "vert", il faut faire appel à des consultants qui vont la rendre plus verte, et ces consultants, pour justifier leur rôle, sortent de telles "analyses"![]()
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donc appeler de tels documents "analyse comparée", ça me parait exagéré
L 'étude de l'adem justement ca ne fait pas les beaux jours du greenwashing il me semble.