bédéhème a écrit :Ca a déjà dû être dit, mais finalement, la question du titre du post "A quoi on reconnaît un pimpim du tri ?" aurait dû être "A quoi on reconnaît un triathlète ?"
Car,
si chacun est honnête avec lui-même, on est tous, d'une façon ou d'une autre, le pimpim de quelqu'un (et sans doute ravi de l'être !!!

).
Tout à fait, tu as certainement entièrement raison...
Quel triathlète ne s'est jamais trouvé devant cette joie personnelle d'avoir été finisher, surtout d'un IM, à fortiori Embrun, et ce, quelle que soit la difficulté de la course... ?...
A un moment, il est évident que cela transparaît dans le comportement, la vie de tous les jours et, comme évoqué ci dessus, bien évidemment sur les sites dédiés à ça, en l’occurrence à Embrun... !
Je pense à mon 1er, justement Embrun, un défi personnel considéré énorme, annoncé à tous mes proches*, eh bien après avoir passé la ligne d'arrivée et dans les heures et jours qui ont suivis, j'étais sur une autre planète et je me remémore m'entendre me (et) dire, putain, ce que je considérais "hors normes", c'est vrai, ça y est, je l'ai fait... ! Donc, sûr que cela devait transparaître dans mon comportement... ! Et quoi de plus naturel en somme dans la nature humaine... ?...
Que celui qui ne s'est jamais trouvé dans cette situation, vis à vis de lui même et/ou vis à vis de ses proches jette la première pierre sur le forum... On devrait pouvoir remblayer le tunnel sous la manche...

!
* 2003, 48 ans, je n'étais ni nageur, ni rouleur, ni coureur... (basket pendant 35 ans)...
