Merci. Top ton article !Mathdok a écrit : 08 sept. 2021, 12:41il est certain que la présence d'équipes pro nationales du moyen orient et de la transposition médiatico-sportive du conflit diplomatique qui s'opère dans cette région, prête largement à questions. Dommage d'ailleurs que les observateurs du cyclisme ne soient pas suffisamment formés à la géopolitique pour en dénoncer les conflits et intérêts sous-jacents.geraud a écrit : 08 sept. 2021, 06:51 Nasser ben Hamed Al Khalifa. Un triathlete que la presse de son pays annonce comme étant champion du monde d Ironman quand il est en fait finisher a Konamais qui par contre est réellement connu à l international pour des actes de torture sur des opposants https://www.courrierinternational.com/a ... -doperette
Deja ca donne une idée de la ou la direction peut poser la ligne rouge de ce qui est éthique ou pas.
https://www.latribune.fr/opinions/tribu ... 57489.html
Je trouve ça bien qu'ils parlent des 4 équipes, et pas seulement des 2 équipes du moyen orient, voir des 3 avec Astana. On évoque beaucoup plus rarement Israel, mais il n'empêche que, même si les motivations ne sont pas forcément les mêmes d'un pays à l'autre, cela relève bien de la même démarche géopolitique.
C'est très nouveau dans le cyclisme, mais cela prend de l'ampleur. Et le jour où (car ces Etats peuvent mettre bien plus d'argent qu'une marque, donc ca arrivera probablement) un coureur d'Israel sera à la lutte avec un coureur d'UAE pour gagner le Tour, pour peu que cela intervienne à un moment de tensions politiques, l'enjeu sportif ne sera que secondaire.