* Je lisais un article sur la rhabdomyolyse en CrossFit, (c'est quand on force tellement que la dégradation musculaire finit par polluer le sang). Cela m'a fait sourire de voir mentionner que les triathlètes s'essayant au CrossFit étaient "à risque" car très aptes à se pousser très loin dans des mouvements pour lesquels ils n'étaient pas préparés.
* Lors d'un stage Wim Hof, l'un des exercices consistait à se plonger dans un jacuzzi de glaçon et d'arriver au lâcher-prise. L'expérience du formateur (lui même ex-triathlète) était que les triathlètes étaient ceux qui restaient le plus longtemps dans l'eau mais en luttant au lieu de se relâcher

Clairement les images de Julie Moss ont eu une dramatique (mauvaise) influence sur notre discipline. Beaucoup y ont vu une source d'inspiration de la personne qui ne lâche rien face à l'adversité, alors que de son propre aveux elle était mal préparée, aurait du gagner mais s'est fait battre...
On change de sport en restant dans le multisport, mais ça m'avait frappé lors d'un intérieur sport sur Kevin Mayer (désolé je ne le retrouve plus en ligne

PEB a écrit : 03 févr. 2020, 09:09 J'ai repris avec le triathlon l'année dernière (exclusivement des half, voire un peu plus type l'Alpe d'Huez) avec pour règle de ne jamais rentrer détruit (en gros je continue à m'entrainer la veille et le lendemain de l'épreuve, même si, bien sûr je ne ferai pas de gros fractionné ces jour-là). La compétition n'est ainsi conçue que comme une "étape" sur le "chemin", qui met un peu de piment, mais dans une logique de "force mentale" à long terme, profitable pour le corps et l'esprit [...]
amen

T.