Bah pour l’instant, le virus c’est peut être bien la faute de la Chine. Ce pays n’a absolument pas envie que l’on vienne fouiller dans ses affaires concernant ce virus et quand tu manques de transparence à ce point, c’est que tu as des choses à cacher.Silver0l a écrit : 31 déc. 2020, 08:24Je crois que tu n'as pas bien lu l'article. Le lien avec le sentiment antivax est clairement expliqué, il n'y a qu'à lire la conclusionZ__orglub a écrit : 30 déc. 2020, 23:43mais il y qq chose qui cloche, et le lien avec le sentiment anti-vaccin n'est pas expliqué dans l'article, où alors je ne le comprends pas.Silver0l a écrit : 30 déc. 2020, 23:23
Non, le stockage à -80, tout le monde doit le gérer, et la France ne le gère pas plus mal que les autres, ce n'est pas ça qui explique que l'on va plus lentement. C'est vraiment le vaccino-scepticisme record des français (qui ne date pas du COVID, et que l'on voit bien sur ce forum) qui oblige à marcher sur des œufs et à y aller très prudemment:
https://www.europe1.fr/societe/une-vacc ... nt-4015077
Pour Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d'immunologie à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, cette prudence est nécessaire dans un pays où la défiance vaccinale est aussi forte. "Il ne s'agit pas de braquer la population contre un vaccin que l'on estime essentiel. Il est important pour la communauté scientifique, et sans doute également pour le gouvernement, que les choses se fassent dans les meilleures conditions possibles et que l'on n'ait pas l'impression que l'on vaccine les gens contre leur volonté"
Un chiffre donne la mesure de l'isolement français par rapport à l'acceptation vaccinale : au Royaume-Uni, 90% des jeunes filles sont vaccinées contre le virus responsable du cancer du col de l'utérus, tandis qu'elles sont moins de 20% en France. Selon une enquête réalisée par BVA pour Le Journal du Dimanche, seuls 44% des Français envisagent de se faire vacciner contre le Covid-19.
Il ne faudra donc pas s'étonner des chiffres très faibles de la vaccination en France dans les prochaines semaines, en recul par rapport à certains de nos voisins. "Pour bien réussir cette campagne, il est urgent de ne pas se presser", nous confie un autre spécialiste des vaccins.
Ce qui me gêne dans tes explications, c'est cette volonté systématique de rejeter la faute sur le gouvernement. Et surtout de mettre en avant la notion de "faute". Il y a des catastrophes naturelles, des virus, qui ne sont la faute de personne, et cette propension à toujours vouloir trouver un coupable expiatoire à tout ce qui nous arrive pour se passer les nerfs, au lieu d’œuvrer à s'unir pour combattre le mal, est la marque d'une frustration et d'une haine latente contre-productive et proprement détestable.Z__orglub a écrit : 30 déc. 2020, 23:43 Ce qui me gène dans cette explication c'est cette volonté systématique de rejeter la faute sur le peuple.
Les mesures prises représentent le meilleur compromis possible (compte tenu de ce que 'on sait au moment où on les prend) entre l'impact sanitaire, l'impact économique et social, les contraintes logistiques et notre culture et notre habitus de gaulois. De fait, la propagation de l'épidémie dépend essentiellement de facteurs géographiques, épidémiologiques et sociaux, mais aussi de comportements individuels qui ne peuvent et ne doivent pas être régis par la loi: se laver les mains, garder ses distances, ne pas se faire la bise, éviter de se rassembler à trop de personnes à la maison, s'isoler dès que l'on présente des symptômes, se faire vacciner... tous les couvre-feux, confinements, fermeture de magasin, fermetures de spectacles etc sont très secondaires dans leurs effets par rapport aux comportements individuels, et ne sont là que pour essayer de limiter les dégâts à un taux acceptable avec le moins d'impacts négatifs possibles sur notre société.
Pour le reste, tu nous sers toujours la même soupe pro gouvernemental, c’est fatigant.