ce n'est pas du qu'à Jalabert mais c'est un élément moteur maintenant si tu penses que c'est l'effet JO , ou les bonnes actions de la fédé qui expliquent ce +10% , libre à toiCommanaman a écrit :Et donc Braziou , cette augmentation des licences est forcément due à Jalabert , c'est mathématiques c'est ça![]()
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Il est bien sûr impossible d'après toi que quelqu'un ait eu envie de faire du triathlon parce que un de ses potes en fait ? Je n'ai pas de statistiques aussi sûres et générales que les tiennes mais tous les nouveaux licenciés de mon club , et même des gars qui font du cyclisme , me disent tous qu'ils ont envie de s'y mettre à cause d'un ami ou d'un collègue qui fait déjà du triathlon.
et Jalabert est de loin le triathlète le + connu , c'est dire si les autres sont peu connus...
meme Sarko sait qu'il fait du Tri , par contre il connait surement pas Vernay ou Belaubre
interview dans Ouest France:
Parrain du 1er Triathlon Brittany Ferries à Roscoff, dimanche, vous auriez pu vous aligner au départ, également ?
On me l’a proposé, mais ça n’aurait pas été raisonnable. Je suis en pleine récupération. Jeudi, j’ai fait douze heures de trekking en montagne. Je ne sens plus mes genoux… J’ai besoin de récupérer, car j’espère refaire la même chose la semaine prochaine avant de m’attaquer à ce défi de la Diagonale.
Votre carrière s’est achevée en 2002, mais depuis vous n’avez pas cessé de vous lancer des challenges. Pourquoi ?
C’est d’abord pour le plaisir et pour suivre des amis. Cela avait commencé avec le marathon (2 h 45’) puis je me suis mis au triathlon et là je vais découvrir un trail ultra. Mais ce n’est pas la compétition qui m’intéresse. C’est le combat contre soi. Quand on prend le départ d’un marathon, sur la ligne, tout le monde a son propre objectif chronométrique. C’est comme ça que ça marche. Mon but à la Réunion c’est d’aller au bout. Ce qui me plaît, c’est l’idée du défi, pour repousser mes limites. Mais je n’ai plus de démarche haut-niveau. Même si j’ai un potentiel, grâce à mon passé de cycliste, je reste à ma place. À l’ironman de Nice, je termine 12e, mais je suis à 40 minutes de vainqueur, qui n’est pas le meilleur du monde. Donc, il ne faut pas confondre. Je suis au maximum. On peut garder un bon niveau en sport d’endurance, longtemps, mais le haut-niveau c’est autre chose.
Lance Armstrong est convaincu du contraire ?
Je ne comprends pas pourquoi il revient. Moi, quand j’ai dit stop c’était stop et je n’ai jamais regretté d’avoir arrêté ma carrière. Je pense qu’il a plus à perdre qu’à gagner. Car un huitième Tour ne lui apporterait pas grand-chose. Mais c’est son choix, et je le respecte.
Vous le pensez capable de gagner en juillet 2009 ?
Je ne crois pas. Ce sera trop juste, car il est arrêté depuis trois ans. L’organisme a oublié les efforts et ça ne peut pas revenir aussi vite. Il faudra du temps pour retrouver le rythme de la compétition. S’il gagnait, cela défierait toutes les règles et il s’agirait d’une surprise.
C’est une bonne ou une mauvaise nouvelle ?
Beaucoup de médias vont s’intéresser au Tour, s’il vient, mais pour le cyclisme ce ne serait pas une excellente nouvelle. C’est comme Jeannie Longo toujours capable d’être au championnat du monde à 50 ans. Ce n’est pas bon pour le cyclisme féminin.
Avez-vous été sollicité pour succéder à Frédéric Moncasssin comme sélectionneur de l’équipe de France ?
Pas du tout. C’est une rumeur. Si la question se pose, je réfléchirais, pour savoir si cette activité est conciliable avec mes fonctions de consultant.