en effet, le fait d'instaurer un climat de compétition (motivation extrinsèque) mène facilement au surentraînement. J'en ai déjà fait les frais.
Toutefois, il faut aussi être conscient que la démotivation n'est pas systématiquement un indicateur de surentraînement. Les pros vont souvent à l'entraînement à contre coeur, non?
La libido est un moyen radical, mais je ne pense pas que les athlètes se confient très facilement à ce propos. Pour ma part, je suis quand même resté quelques mois sans erection


La déplétion en glucide dû au régime "haricot vert"' est radical. Surtout lorsque l'on s'entraîne à intensité élevé. C'est pourquoi je ne suis pas exigeant concernant le poids de forme.
En revanche, pour faire du long, l'idéal me semble le régime riche en lipides et faibles en glucides. Cela fait parti de l'adaptatation de l'organisme.