ERIC D
Re: ERIC D
les power2 max son en promo a 569 euros
Re: ERIC D
Merci beaucoup pour les liens. Très intéressant.xophe a écrit : http://www.endurancecorner.com/Alan_Cou ... mal_pacing
Repris par Joe Friel dans The Powermeter Handbook:
Je vais donc revoir ma stratégie pour la prochaine fois

Re: ERIC D
c'est moi qui me plante ou il dit justement le contraire ?xophe a écrit :Silver a raison. Les Watts dépensés à haute vitesse sont en grande partie perdus pour vaincre la résistance aérodynamique.Silver0l a écrit :il vaut mieux forcer dans les montées et contre le vent, et se relâcher dans les descentes et le vent dans le dos[/url]
Re: ERIC D
C'est toi qui te plante.patapouf a écrit :c'est moi qui me plante ou il dit justement le contraire ?xophe a écrit :Silver a raison. Les Watts dépensés à haute vitesse sont en grande partie perdus pour vaincre la résistance aérodynamique.Silver0l a écrit :il vaut mieux forcer dans les montées et contre le vent, et se relâcher dans les descentes et le vent dans le dos[/url]
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Re: ERIC D
avec un cardio frequence metre tu fais la chose et c'est beaucoup moins chereric d a écrit :les power2 max son en promo a 569 euros

Re: ERIC D
Il n'y a pas de confusion possible.jul56 a écrit :En fait, c'est un peu le problème de ce topic.
Il y a plein de théorie mais après pour la mise en pratique sur le terrain, ca se complique.![]()
La théorie le dit très clairement: il faut produire plus de puissance que sa puissance moyenne cible quand on monte ou qu'on a le vent de face.
Voir http://silberblog.graphz.fr/lutter-contre-le-vent/
Et c'est confirmé par les relevés de puissance de tous les champions: ils appuient plus fort quand ça monte.
Et c'est bien ce que confirme l'analyse de Couzens (d'ailleurs cité par Joe Friel cité par xophe)
http://www.power2max.com/northamerica/i ... -bertrand/
Billard a essayé de garder une puissance trop constante en Afrique du Sud, et c'est pour ça que BB a mis 15min de plus sur le vélo que Nils F, alors que BB a produit en moyenne PLUS de puissance que Nils F, avec pourtant un poids et un équipement équivalent. Nils F a su intelligemment faire varier sa puissance, et et appuyer quand ça payait (quand ça monte):
Mais bien sûr c'est le contraire qu'il faut faire puisqu'un sub 9 l'a dit à jul56We also see Nils’s higher variability in how he rode the course – he pushed harder on the steep climbs and took the foot off the pedal during the fast sections, but still held very good speed.
Nils’s tactic of pushing on the climbs was very successful.

Bien sûr, à la base le triathlon est un sport de boeufs, et en gros plus tu pédales fort, plus tu avances vite, mais une stratégie un peu subtile d'allocation de puissance, à la manière d'Eric avec sa feuille Excel et sa segmentation du parcours de Nice, permet de gagner pas mal de temps pour un potentiel physiologique donné. Elle peut faire la différence entre une victoire et un podium, ou entre une qualif et une non-qualif.
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Re: ERIC D
Je te comprends pas bien là.Silver0l a écrit : Mais bien sûr c'est le contraire qu'il faut faire puisqu'un sub 9 l'a dit à jul56![]()
Bien sûr, à la base le triathlon est un sport de boeufs, et en gros plus tu pédales fort, plus tu avances vite, mais une stratégie un peu subtile d'allocation de puissance, à la manière d'Eric avec sa feuille Excel et sa segmentation du parcours de Nice, permet de gagner pas mal de temps pour un potentiel physiologique donné. Elle peut faire la différence entre une victoire et un podium, ou entre une qualif et une non-qualif.

Justement, mon pote me disait vas-y plus soft en montée pour garder de la puissance pour la suite. Je vois pas trop ou c'est "boeuf".
Ca me semblait même plutot sensé que de pas faire tout peter dans les cotes pour après se retrouver sec. Mais apparement, les 2 liens donnés montrent donc, qu'il faut pousser plus en montée. Et bien, c'est noté.
Après, je confirme, le problème de ce topic, c'est la mise en pratique sur le terrain de la théorie car tu as beau avoir une feuille excel, si tu ne t'entraines, ca sert à rien.
Tu peux éventuellement te qualifier en t'entrainant beaucoup sans la feuille excel, le contraire n'est malheureusement pas vrai.

Re: ERIC D
J'ai pas dit que ton pote était un boeuf, j'ai dit que le triathlon est un sport de boeuf.jul56 a écrit :Je te comprends pas bien là.Silver0l a écrit : Mais bien sûr c'est le contraire qu'il faut faire puisqu'un sub 9 l'a dit à jul56![]()
Bien sûr, à la base le triathlon est un sport de boeufs, et en gros plus tu pédales fort, plus tu avances vite, mais une stratégie un peu subtile d'allocation de puissance, à la manière d'Eric avec sa feuille Excel et sa segmentation du parcours de Nice, permet de gagner pas mal de temps pour un potentiel physiologique donné. Elle peut faire la différence entre une victoire et un podium, ou entre une qualif et une non-qualif.![]()
Justement, mon pote me disait vas-y plus soft en montée pour garder de la puissance pour la suite. Je vois pas trop ou c'est "boeuf".
Ce que je veux dire par là: tu as beau faire tous les calculs et toutes les optimisations possibles, si t'as pas les jambes, t'as pas les jambes, et il y a rien que tu puisses faire contre ça à part t'entraîner. C'est pas du bridge ou des échecs.
Par contre, une fois réglés les points essentiels (avoir les jambes, avoir de l'endurance, gérer son hydratation et sa nutrition), au second ordre, tu peux optimiser les choses avec une stratégie de course mûrement réfléchie, par exemple en optimisant ton allocation de puissance en vélo pendant les montées et les descentes. Ça te fera gagner des minutes, pas des heures, mais dans certains cas ça peut faire la différence.
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Re: ERIC D
On est parfaitement d'accord.Silver0l a écrit : Ce que je veux dire par là: tu as beau faire tous les calculs et toutes les optimisations possibles, si t'as pas les jambes, t'as pas les jambes, et il y a rien que tu puisses faire contre ça à part t'entraîner. C'est pas du bridge ou des échecs.
Par contre, une fois réglés les points essentiels (avoir les jambes, avoir de l'endurance, gérer son hydratation et sa nutrition), au second ordre, tu peux optimiser les choses avec une stratégie de course mûrement réfléchie, par exemple en optimisant ton allocation de puissance en vélo pendant les montées et les descentes. Ça te fera gagner des minutes, pas des heures, mais dans certains cas ça peut faire la différence.
C'est pour cela que je dis que ce qui est dommage sur ce topic, c'est que Eric fait plein de calculs (théorie) mais la pratique, ce n'est pas ca au vu de ses résultats...
Est-ce qu'il fait vraiment les choses dans l'ordre ?
Entrainement (beaucoup) et ensuite et seulement ensuite, Optimisation....
Si il s'entraine 10 a 20 heures par semaine comme le font la plupart des gars préparant sérieusement un IM, alors, il y a un problème et ses résultats ne sont pas en ligne avec son investissement...
De même, il ne fait aucune course préparatoire. Pourquoi ? Il y a pleins de M et half pas cher en Bretagne, pas loin de chez lui.
Re: ERIC D
Pas cher si ta une licence de triathlon. Et puis je suis pas en Bretagne , je travaille sur Paris pour rattraper les vacance d.aout et embrun et pouvoir m.inscrire pour Nice a temps. Deux journée de travaille à Paris me permet de vivre un mois en Tunisie voyage compris.
Re: ERIC D
La théorie de Silver est valable "uniquement" si tu utilise un capteur de puissance ou si tes sensations sont exceptionnellement bien corrélées à ta puissance réel.Silver0l a écrit :Il n'y a pas de confusion possible.jul56 a écrit :En fait, c'est un peu le problème de ce topic.
Il y a plein de théorie mais après pour la mise en pratique sur le terrain, ca se complique.![]()
La théorie le dit très clairement: il faut produire plus de puissance que sa puissance moyenne cible quand on monte ou qu'on a le vent de face.
Voir http://silberblog.graphz.fr/lutter-contre-le-vent/
Et c'est confirmé par les relevés de puissance de tous les champions: ils appuient plus fort quand ça monte.
Et c'est bien ce que confirme l'analyse de Couzens (d'ailleurs cité par Joe Friel cité par xophe)
http://www.power2max.com/northamerica/i ... -bertrand/
Billard a essayé de garder une puissance trop constante en Afrique du Sud, et c'est pour ça que BB a mis 15min de plus sur le vélo que Nils F, alors que BB a produit en moyenne PLUS de puissance que Nils F, avec pourtant un poids et un équipement équivalent. Nils F a su intelligemment faire varier sa puissance, et et appuyer quand ça payait (quand ça monte):
Mais bien sûr c'est le contraire qu'il faut faire puisqu'un sub 9 l'a dit à jul56We also see Nils’s higher variability in how he rode the course – he pushed harder on the steep climbs and took the foot off the pedal during the fast sections, but still held very good speed.
Nils’s tactic of pushing on the climbs was very successful.![]()
Bien sûr, à la base le triathlon est un sport de boeufs, et en gros plus tu pédales fort, plus tu avances vite, mais une stratégie un peu subtile d'allocation de puissance, à la manière d'Eric avec sa feuille Excel et sa segmentation du parcours de Nice, permet de gagner pas mal de temps pour un potentiel physiologique donné. Elle peut faire la différence entre une victoire et un podium, ou entre une qualif et une non-qualif.
Si tu travail sans capteur de puissance et donc à la sensation, la théorie de jul56 prend tout son sens.
L'engagement physique et mentale nécessaire pour sortir des Watts proche ou supérieurs à FTP est largement supérieur sur le plat par rapport à un col/bosse.
85% de FTP dans les 15/20 1eres minutes d'un col c'est quasiment de la promenade, je suis obligé de me freiner, pour les mêmes sensations je suis plutôt à 75% de FTP sur le plat, et à 85% sur le plat c'est un effort très intense.
Donc cool dans les bosses c'est la traduction "sensation" de plus de puissance "pour un utilisateur de PM" ça permet de pas se griller, ce qui est très facile en bosse.
et appuyer plus fort sur le plat, c'est la traduction "sensation" de réduire sa puissance "pour un utilisateur de PM" même si ça parait dur, ya moins de Watts qui sortent.
Think like a Bumblebee, Train like a Racehorse
Re: ERIC D
Tu sais, il existe aussi des triathlons en région parisienne
et puis, tu dois bien pouvoir économiser trois francs six sous pour t'y inscrire. je viens de regarder, cette année, l'inscription au sprint de versailles, c'était 26 euros....et 31 pour les non licenciés.
Tu arrives bien à aller faire Nice et Embrun la même année et avoir un power meter

Tu arrives bien à aller faire Nice et Embrun la même année et avoir un power meter

Re: ERIC D
OK, donc en fait quand je pense être cool en bosse, en vérité je force plus que prévu, et quand je pense forcer sur le plat, en fait je dépense pas tant de watts que ça.damy74 a écrit :La théorie de Silver est valable "uniquement" si tu utilise un capteur de puissance ou si tes sensations sont exceptionnellement bien corrélées à ta puissance réel.
Si tu travail sans capteur de puissance et donc à la sensation, la théorie de jul56 prend tout son sens.
L'engagement physique et mentale nécessaire pour sortir des Watts proche ou supérieurs à FTP est largement supérieur sur le plat par rapport à un col/bosse.
85% de FTP dans les 15/20 1eres minutes d'un col c'est quasiment de la promenade, je suis obligé de me freiner, pour les mêmes sensations je suis plutôt à 75% de FTP sur le plat, et à 85% sur le plat c'est un effort très intense.
Donc cool dans les bosses c'est la traduction "sensation" de plus de puissance "pour un utilisateur de PM" ça permet de pas se griller, ce qui est très facile en bosse.
et appuyer plus fort sur le plat, c'est la traduction "sensation" de réduire sa puissance "pour un utilisateur de PM" même si ça parait dur, ya moins de Watts qui sortent.

Re: ERIC D
cest pas quune question dargent mais de temps, lire le reglement, sinscrire et etre la au bon moment prend du temps que je prefere consacrer pour le moment a autre chose.jul56 a écrit :Tu sais, il existe aussi des triathlons en région parisienneet puis, tu dois bien pouvoir économiser trois francs six sous pour t'y inscrire. je viens de regarder, cette année, l'inscription au sprint de versailles, c'était 26 euros....et 31 pour les non licenciés.
Tu arrives bien à aller faire Nice et Embrun la même année et avoir un power meter
Re: ERIC D
jul56 a écrit :Je te comprends pas bien là.Silver0l a écrit : Mais bien sûr c'est le contraire qu'il faut faire puisqu'un sub 9 l'a dit à jul56![]()
Bien sûr, à la base le triathlon est un sport de boeufs, et en gros plus tu pédales fort, plus tu avances vite, mais une stratégie un peu subtile d'allocation de puissance, à la manière d'Eric avec sa feuille Excel et sa segmentation du parcours de Nice, permet de gagner pas mal de temps pour un potentiel physiologique donné. Elle peut faire la différence entre une victoire et un podium, ou entre une qualif et une non-qualif.![]()
Justement, mon pote me disait vas-y plus soft en montée pour garder de la puissance pour la suite. Je vois pas trop ou c'est "boeuf".
Ca me semblait même plutot sensé que de pas faire tout peter dans les cotes pour après se retrouver sec. Mais apparement, les 2 liens donnés montrent donc, qu'il faut pousser plus en montée. Et bien, c'est noté.
Après, je confirme, le problème de ce topic, c'est la mise en pratique sur le terrain de la théorie car tu as beau avoir une feuille excel, si tu ne t'entraines, ca sert à rien.
Tu peux éventuellement te qualifier en t'entrainant beaucoup sans la feuille excel, le contraire n'est malheureusement pas vrai.
Globalement, ce que Friel reprend c'est que lorsque tu vas moins vite que ta vitesse moyenne ciblée, tu as le droit d'appuyer un peu plus, et quand tu vas plus vite que ta vitesse moyenne ciblée, tu peux appuyer un peu moins et en profiter pour récupérer.
Dit comme cela ca parait simple, et intuitif.
Mais en fait, cela demande une sacré connaissance de soi. Il faut savoir quelle vitesse moyenne cible l'on vise, quelle puissance moyenne l'on est capable de faire sur la distance et ceci de manière concordante entre vitesse et puissance.
Et si Eric applique effectivement bien cette approche dans sa théorie et son fameux fichier Excel, là où il pêche c'est qu'il utilise des données théoriques complètement décorélées de ses vitesses et puissance pratiques. Ce qui fait que cette belle théorie ne lui sert plus du tout en course.
Le seul moyen d'arriver à relier les 2 est de pratiquer. Et pratiquer en compétition. Ce qui permettrait à Eric d'unifier théorie et pratique et surement commencer à récolter les fruits de ses bonnes intuitions.
En théorie, la pratique est identique à la théorie. En pratique, ça ne l'est pas.