GIRO 2011

[nestriman]

Des paysages de montagne sublimes.... sur ce tour d'Italie...vraiment ils ont de belles contrées...et de belles ascensions...à faire...., si l'an prochain je me fais un stage je sais où je vais..en plus le soir on bouffe bien..en Italie

[Kenzo]

J'en parlais justement hier à ma petite femme que ça serait sympa de passer quelques vacances en Italie quand je vois les photos (Moi j'ai fait Venise et Milan et ma petite femme Rome et Naple mais ça date.. )

[Joel]

Ouh la la la doucement ce n'est pas un Souk ici, déjà on va voir le patron de la boutique et ensuite on lui demande avec politesse : "Stp Kenzo puis je me servir de tes photos afin d'illustrer mes news ? ensuite si tout va bien bah on boit le thé ensemble.

Capisci ?

Alors, si je devais utiliser tes photos je ferais tout dans l'ordre, mais là ce n'était qu'une réflexion constatative
Capisci ?
A+

[Timothee]

Merci Kenzo!
J'ai pas pu suivre dès le début et en parcourant ces 12 pages je sais maintenant tout!
Tu fais du bon boulot

[Kenzo]

Pour Joel

[Kenzo]

Christophe Le Mevel vise toujours le top 10


Sur le Grossglockner vendredi, Christophe Le Mevel, passé tout près du maillot durant la première moitié du Giro, a semble-t-il payé ses efforts conssentis durant une dizaine de jours. Le coureur de la Garmin-Cervelo avait cédé très rapidement au rythme imprimé par les favoris du peloton et accusait un fort retard à l'arrivée qui le fit rétrograder à la seizième place au général, lui qui était alors quatrième.

Hier, la tâche s'annonçait également difficile puisque c'est le terrible Zoncolan qu'il fallait dompter. Le Français a limité la casse en terminant 19ème à 4 minutes d'Igor Anton, mais au général, il reste bien ancré à la 16ème place : "Je me sentais beaucoup mieux aujourd'hui (samedi) qu'hier (vendredi)" a-t-il dit à l'arrivée. "Je pense que mes effort dans l'échappée d'il y a deux jours m'ont vraiment coûter cher hier. Les jambes étaient un peu lourdes, mais c'est normal après un effort difficile comme celui-là. Aujourd'hui, je me sentais déjà mieux, à nouveau."

Initiallement, Le Mevel s'était engagé sur le Giro pour tenter un top 10. Il est actuellement à 2'30 du dixième, David Arroyo, mais n'a pas tiré un trait sur son objectif : "Nous sommes encore en course pour le top 10" affirme-t-il. "Je pense que c'est encore possible. Les jambes répondent bien. Demain, ce sera très difficile et très long, mais j'espère être proche de la tête"

Lionel Marie, le directeur sportif de l'équipe ne veut pas non plus baisser les bras : "Les garçons ont fait un bon travail pour protéger Christophe aujourd'hui. C'était une étape difficile, chaotique, propre au Giro. Au final, Christophe a fait un bon travail sur le Zoncolan. Demain, c'est un autre journée difficile qui nous attend. Nous allons travailler pour garder Christophe en bonne position. L'objectif reste le même qui était au départ du Giro, de finir avec Christophe dans le top 10. Nous continuerons à travailler pour cela. Il y a encore beaucoup à faire sur ce Giro. "

[Kenzo]

Menchov "J'ai préféré ne pas répondre"

C'est sans doute la meilleure ascencion de Denis Menchov sur ce Giro. Hier, le Russe a terminé 5ème au sommet du terrible Monte Zoncolan, 1'21 derrière le vainqueur du jour Igor Anton. Le coureur de la Geox pointe désormais au 7ème rang au général à plus de 6 minutes d'Alberto Contador. Le troisième du dernier Tour de France s'est en tout cas montré satisfait de sa prestation :

"Au début du Monte Zoncolan il y a eu quelques attaques d'emblée, mais je savais que la montée était longue et très difficile, j'ai préféré ne pas répondre et garder mon rythme" confie Menchov. "Je pense que j'ai fait le bon choix. L'étape d'aujourd'hui était certainement l'une des plus importantes, mais le Giro ne se termine pas ici, il y a encore beaucoup d'ascensions, à commencer par celles de demain. "

Le Russe est-il sur la pente ascendante ? Réponse aujourd'hui. A noter que Rafael Valls "vidé de toute force" a décidé de mettre pied à terre.

[IronPion]

Des paysages de montagne sublimes.... sur ce tour d'Italie...vraiment ils ont de belles contrées...et de belles ascensions...à faire...., si l'an prochain je me fais un stage je sais où je vais..en plus le soir on bouffe bien..en Italie

Tu as bien raison...
Je te conseille les (fameuses) Dolomites... Quand j'ai commencé le vélo, j'avais entendu parlé de la fameuse cyclo "Marathon des Dolomites"... J'y suis allé en 2002, fait le grand parcours avec tous les énormes mythiques cols de là-bas... Au-delà de la course en elle même et de sa réputation, ces paysages très particuliers, propres à cette région Alpestre sont vraiment ma-gni-fiques ! Jamais croisé la même chose dans toute sorte d'autres massifs montagneux, grandiose, majestueux... !

[Kenzo]

Aujourd'hui Conegliano > Gardeccia Val di Fassa : 229 km



Après les monstrueuses étapes du Grossglockner et Monte Zoncolan, on pourrait s'imaginer à une petite journée de repos. Il n'en est rien et les organisateurs ont décidé d'aligner trois étapes de hautes montagnes, quitte à mettre à mal les organismes. Et certains vont accuser le coup, c'est certain. Qui plus de par la distance de cette étape : 229 kilomètres ! Et lors de cette journée, on ne dénombre pas moins de cinq ascensions, dont 3 classée 1ère catégorie et une hors catégorie, la Cima Coppi de ce Giro (le sommet culminant). Dès le départ, le peloton débutera par la montée du Piancavallo, classée en 1ère catégorie. S’ensuit le Forcella Cibiana, côte de deuxième catégorie. Ensuite, les participants de ce Giro aborderont la seconde partie de l'étape avec sans doute pas mal d'appréhension. Et pour cause. Se profileront devant eux un col Hors Catégorie ainsi que deux de première catégorie. Tout d'abord, avec l'ascension du Passo Giau (2236 mètres d'altitude - 15 kilomètres à 7.5% de moyenne), les coureurs atteindront la Cima Coppi de ce Giro 2011. Les favoris devraient sans doute attendre avant de lancer les hostilités, à moins qu'un leader ayant quelques minutes à combler se lancer dans un raid solitaire. S'en suivra juste après une longue descente, le Passo Fedeia (2057 mètres), un col long de 13 kilomètres comportant une moyenne de 9%, rien que ça. Reste à savoir si les coureurs, effrayés, oseront attaquer dès cette difficulté. Enfin, la victoire, qui ne devrait pas échapper à l'un des meilleurs grimpeurs de ce Giro, sera jugée au sommet de la montée menant à Val di Fassa, une bosse de "seulement" 6 kilomètres mais avec un pourcentage moyen une nouvelle fois effarant, puisque de l'ordre de 11%. Et ce n'est qu'une fois cette ligne d'arrivée franchie -après un passage à 18%- que les coureurs pourront, enfin, s'accorder une journée de repos, sans doute bien méritée.

[Kenzo]

Mah, Kenzo ! Tou t'é trompé en orthographe ! Lé volcan, il est entré en érection, pas en éruzion...

Toi tou é oune cochone

[aurelie.218]

Mah, Kenzo ! Tou t'é trompé en orthographe ! Lé volcan, il est entré en érection, pas en éruzion...

Toi tou é oune cochone

Tant qué jé ne souis pas oue cojone, ça va

[Kenzo]

Concernant Contador c'est de la folie pas un signe de fatigue, il a encore la force de mettre des mines, et puis quand tu vois sa cadence de pédalage c'est impressionnant (ça me rappelle Armstrong à une époque )

[Kenzo]

Mah, Kenzo ! Tou t'é trompé en orthographe ! Lé volcan, il est entré en érection, pas en éruzion...

Toi tou é oune cochone

Tant qué jé ne souis pas oue cojone, ça va

Yé né pas di qué tou été oune couille yé dis oune cochone, aplé si tou pléfère oune couille yé né voit pas dé ploblème

[Kenzo]

Mikel Nieve de bout en bout


Après les arrivées au sommet du Grossglockner et du Monte Zoncolan, les coureurs se sont élancés pour la troisième étape de montagne d'affilée. La première difficulté de cette étape sera surtout le kilométrage : 229 kilomètres au programme. Le peloton escaladera six cols dont la majeure partie se situe en fin d'étape. La victoire se jouera après l'ascension du Passo Fedeia, au sommet d'une côte longue d'une côte longue de "seulement" 6 kilomètres avec un pourcentage moyenne de 11 %.

Ce matin, c'est Alberto Contador (ESP - Saxo Bank SunGard) qui porte la tunique rose. Avec sa deuxième place hier derrière Igor Anton (ESP - Euskaltel Euskadi), il conforte sa première place au classement de la montagne et par points. Le vainqueur de l'étape d'hier a fait un bon au général, il occupe ce matin la troisième place à une seconde de Vincenzo Nibali (ITA - Liquigas), le dauphin d'El Pistolero.

Après 4 kilomètres de course, deux coureurs prennent la poudre d'escampette. Il s'agit de Emanuele Sella (Androni Giocatolli) et de Johnny Hoogerland (Vacansoleil). Derrière ça bouge. Plusieurs coureurs rattrapent les deux fuyards. On note notamment la présence du jeune Belge Kevin Seeldrayers (Quick Step) ainsi que l'Ukrainien Yaroslav Popovych (Radioshack) mais aussi de Javier Aramendia (ESP - Euskaltel-Euskadi), d'Aliaksandr Kuschynski (BLR - Team Katusha) et d'Olivier Kaisen (Omega Pharma-Lotto).

Alors que l'écart des sept hommes de tête augmente, 11 coureurs décident de s'extirper du peloton. Dans ce groupe, on aperçoit la présence entre autres du dossard numéro 1 de Stefano Garzelli (ITA - Acqua e Sapone), mais aussi l'Italien Danilo Di Luca (Katusha), le Suisse Johann Tschopp (BMC Racing Team) qui était ce matin 20ème au général ou encore l'ancien vainqueur du Tour de France Carlos Sastre (ESP - Geox TMC).

A 180 kilomètres de la ligne d'arrivée, il y a regrouppement à l'avant. Le peloton laisse filer, lécart des 17 coureurs (Kaisen est laché) monte pour atteindre au maximum les 10 minutes. Avec cette avance sur le peloton mené par la formation Saxo Bank SunGard, c'est Mikel Nieve le leader provisoire de ce Giro.

A 100 kilomètres de l'arrivée, c'est la formation italienne qui prend les responsabilités. Elle impose un tempo assez élevé en tête du peloton. Au fil des kilomètres, devant, les coureurs explosent un par un.

Dès les premiers mètres du Passo Giau, Hoogerland décide de partir en solitaire. Derrière, personne réagit. Dans le peloton, ça commence a bougé alors qu'on est encore à plus de 60 kilomètres de l'arrivée. En effet, Joaquin Rodriguez (ESP - Katusha) et David Arroyo (ESP - Movistar) accélèrent.

Mais El Pistolero ne laisse pas partir, il contre et revient en quelques secondes dans le sillage du duo espagnol, tout comme le petit José Rujano (VEN - Androni Giocattoli). Devant, le coureur de la Vacansoleil DCM se fait reprendre et c'est le vétéran Stefano Garzelli qui s'échappe en solitaire. Il semble être parti pour de bon.

Au sommet, le peloton des favoris possde un retard de 9 minutes et 30 secondes sur les hommes de tête. Dans la descente qui a suivi, Vincenzo Nibali tente de partir dans la descente. Il fait l'écart dans cette descente mais dans la portion de faux plat montant, il décide de stopper son effort et il attend le groupe des favoris.

La pluie commence à s'inviter sur cette étape. Devant, le leader d'Acqua & Sapone semble d'être parti pour la victoire. A 30 bornes de l'arrivée, le peloton concède un retard de 8'30. Derrière, lors de l'ascension de l'avant dernière difficulté du jour, la succession des attaques met dans le rouge la plupart des coureurs mais surtout Nibali et Anton. Tous les deux perdent près d'une minute au sommet du Passo Fedeia.

Après une descente magnifique où il a pris tous les risques, le leader de Liquigas Cannondale revient sur le groupe de favoris où l'on retrouve tous les favoris sauf Igor Anton et Hubert Dupont, les deux gros perdants du jour.

A l'entame de la dernière ascension, Nieve revient dans la roue de Garzelli. Ce duo possède une avance de 5 minutes environ. Mais dans les pourcentages les plus élevés, le coureur basque arrive à se défaire de l'Italien. Dans le groupe de favoris on se regarde, Scarponi accélère progressivement. Gadret et Contador reviennent dans sa roue mais les autres favoris sont en difficulté. Nibali n'a pas récupéré de sa belle descente, il fait l'élastique.

Contador se met debout sur les pédales et commence à démarrer le moteur. Il se détache des deux autres coureurs. Par contre, il n'arrive pas a faire un écart conséquent sur le duo Gadret-Scarponi.

Après plus de sept heures de vélo, la fatigue se fait ressentir et c'est le français John Gadret qui commence à être dans le rouge. Il se fait lacher par le leader de la Lampre ISD.

Devant, Mikel Nieve passe la ligne et ramène la seconde victoire à son équipe Euskaltel Euskadi, équipe qui n'avait jamais gagné en une dizaine de participations. Garzelli prend la seconde place et Contador complète le podium.


Avec son raid en solitaire, Stefano Garzelli a empoché un maximum de points pour le classement de la montagne. Il endosse ce soir le maillot vert du meilleur grimpeur.

Les photos vont être sympathique

[DJJJJJ]

Mah, Kenzo ! Tou t'é trompé en orthographe ! Lé volcan, il est entré en érection, pas en éruzion...

Toi tou é oune cochone

, les érections c'est comme les frites Mc Cain, ce sont celles qui en parlent le moins...