mic2 a écrit :Se pose les questions essentielles de la gestion de la récup. et de la priorité des objectifs.
Une compète même importante peut s'inscrire dans le cadre d'un plan d'entrainement, encore faut-il
ne pas céder aux pressions du résultat et de l'entourage.
Et surtout écouter son corps.

Je suis complètement sur cette ligne si tant est que le programme d'entrainement soit bien adapté.
Je milite, coté amateurs(

) , pour la quasi suppression des VMA longue avantageusement remplacé par des compétitions faites en introspection.
C'est beaucoup plus intéressant et beaucoup moins blessant !
Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais physiologiquement et hormonalement parlant nous ne sommes pas "pareil" au début d'une compétition et d'un entrainement dur.
De plus la convivialité d'une compétition soulage en usure des sucres nerveux. Nous sommes beaucoup à tourner à plus de 20 compétitions par an (du 10kms, Marathon, Cyclosportives, Ironman, trail ou ultratrail...) avec une fraicheur de plus en plus importante.
Il y a toujours la notion d'objectif au Printemps et Automne, mais celui ci peut devenir secondaire, si déjà, dans la saison, une réussite est arrivée. Et donc, souvent l'objectif est moins stressant...
(Heu... Mon seul objectif de l'année, Embrun, fut ma seule course raté

Comme quoi...)
Dans ce cadre faire 6 IM pour un pro ne me semble pas, loin s'en faut, insurmontable, ni totalement "d'une autre planète".
Par contre, pour connaitre, un peu, la philosophie d'entrainement du Père Guillaume, il m'étonnerait que le fils allège son entrainement.
Attention, aucun jugement péjoratif dans mon écrit, j'ai un immense respect pour leur approche.
Je serais incapable d'arriver à m'entrainer comme ils m'ont expliqué, mais les résultats sont là !
LoPapy_dommage_pour_Cozumel...