je ne repondais pas au fait d'un brevet pour les non licenciésdyson a écrit :tout a fait
désolé

je ne repondais pas au fait d'un brevet pour les non licenciésdyson a écrit :tout a fait
Salut mgef,mgef a écrit :J'ai envoyé un message sur l'adresse de contact du site internet pour avoir des nouvelles. Au vu de l'athlète et de comment je l'ai "laissé" je pense que les nouvelles ne seront pas très bonnes...vincentj44 a écrit :Personne a des nouvelles de cet athlète ?
Je l'ai maintenu hors de l'eau accroché au canoë en attendant que le zodiac arrive. Une fois le zodiac arrivé un secouriste (?) en combinaison est venu le récupéré pour le monter dans le zodiac, je suis parti à ce moment. Pour avoir vu l'athlète il est mort dans l'eau et l'action des secouristes n'avaient que peu de chances d'aboutir à une issue positive.julie97400 a écrit :Salut mgef,mgef a écrit :J'ai envoyé un message sur l'adresse de contact du site internet pour avoir des nouvelles. Au vu de l'athlète et de comment je l'ai "laissé" je pense que les nouvelles ne seront pas très bonnes...vincentj44 a écrit :Personne a des nouvelles de cet athlète ?
Ou est ce que tu l'a laissé : dans le canoé ou dans le zodiac ?? Je n'arrive pas à comprendre, il est d'abord monté sur la canoé ??? Pour ma part j'ai aidé à le monter dans le zodiac puis je suis après montée dans le zodiac pour commencer le massage cardiaque. Il y avait une autre personne dans le zodiac qui a pris le relai pour le masser, c'était toi ??
Le gars est mort, en tout cas ils ont dit qu'il était mort dans l'eau... En fait techniquement on aurait plutôt tendance à dire qu'il était en arrêt cardiaque dans l'eau puis mort à l'issu de la réanimation, mais bon c'est les journalistes...
Copste a écrit :Salut !hervouet a écrit :bonjour à tous
de retrour du tri de Paris, le point noir dont nous parlions (ordre des vagues par ordre alphabétique) s'est confirmé
[...]
à vélo, des personnes en vague 1 et qui roulaient en vélib au milieu de la route, super dangereux pour les autres qui arrivaient à plus de 40km/h, surtout vu les conditions météo, je n'ai jamais vu autant de chutes sur un parcours de 40 km...
Sauf erreur de ma part, les départs n'étaient pas ordre alphabétique mais par dates d'inscription.
En ce qui concerne les Vélib', ils sont tous partis en vague 3, dossard bleu !
Et pour les accidents que j'ai pu voir, c'est surtout à cause du revêtement humide liée à la maladresse ou la sur-vitesse de certains...
Euh, sur les quais la circulation auto était coupée si je me rappelle bien...will_mad a écrit :Je pense notamment à la dernière partie du parcours (les quais) où on était un peloton à près de 50km/h à doubler des vélos beaucoup plus lents, qui se déportaient sur la gauche a cause des flaques d'eau, et la circulation n'était pas coupée dans le sens inverse... Une chute dans ces conditions aurait pu être vraiment ultra violente...
Effectivement, le problème n'est pas simple. En plus des solutions préventives déjà abordées ici, voici ce que j'ai également vu sur différentes organisations :Scranun a écrit :Salut à Tous,
Médecin et triathlete, j'ai participé hier au CD de Paris (2h38 , avec un parcours plus court: çà c'est pour vous dire que je suis medecin avant d'être triathlete) et j'encadre certains triathlons parfois. Comme sur d'autres courses ( la Baule !!), dès que les effectifs de participants augmentent lourdement la partie natation est ma plus grande hantise et je surveille les velos restant dans le parc... mais c'est souvent difficile meme sur 300 à 500 participants d'apercevoir celui qui se sent mal, quand ce n'est pas celui assomé dans la cohue du depart par un coup de pied ou de bras malencontreux. Car ,vous le savez bien, l'entrainement natation avec une prise d'air tous les 3 à 5 ou 7 cyles est fondemental au depart pour tracer la route mais aussi pour 'apprendre a ne pas pouvoir respirer quand un triathlète passe sur un autre dans la cohue du départ et empeche la prise d'air. L'introduction brutale d'eau à l'inspiration profonde peut entrainer une syncope brutale reflexe avec malaise (quelque soit le niveau sprotif) qui, si elle n'est pas dépistée, peut tourner à la catastrophe quand on ne voit rien dans la cohue et l'ebullition de l'eau. L'athlete qui leve le bras pour se signaler c'est pas de la tarte à voir, meme en kayak et le temps de le voir , de le sortir, de le ramener vers la berge, et de lui donner la seule chose dont il a besoin (de l'oxygene, voire un MCE après coup de point thoracique) c'est un temps long perdu à jamais. J'ai beaucoup reflechi et je n'ai pas trouvé de solution miracle : de kayakistes averc des flotteurs type malibu, des kayakistes avec des petites bouteilles d'oxygenation portabled, des observateurs de la rive avec des jumelles ( bonjour l'angoisse) des sifflets, des fumigenes.....
J'ai pensé à un signal declenché par le nageur ( sytle minicapsule fumigene , ou mini ballon à l'helium pour se signaler) tant pis pour les delcenchements par erreurs, et j'ai pensé comme l'extraire.... tout cela est compliqué ( surtout quand la cohue s'etale sur plusieur dizaine de mètres comme à Paris car celui qui s'arrête n'est pas vu facilement alros que c'est plus facile sur un petit effectif qui se depalce synchrone)
Les kayaks cela rassure l'organisation mais en tant que medecin, tel que c'est actuellement, cela ne sert pas a grand chose. Ecrire des procedures, hierarchiser les actes... tout cela est fondamental dans des epreuves aussi massives que Paris.
La partie natation est de loin la plus anxiogene pour le staff medical
Ne vous etes vous jamais retrouvé a scruter l'eau quand un ou deux velos restent dans le parc à velo....
Je veux bien particiepr à une reflexion de ce type si de mes confrère s'y collent par ce que c'est beau d'avoir le defibrillateur et de l'oxygene a l'infirmerie mais encore faut il avoir le malade rapidement a sa disposition....