Oui mais attention de ne pas en abuser car tu pourrais agraver ton cas et déclenché des problèmes de sphincter anale propre au cycliste. Je t'ai retrouvé l'étudebiebie a écrit :et moi j'ai retrouver l'etude qui dit que se coucher avec le cul qui gratte , tu te reveille avec le doigt qui pu....
GODASSE DE PLOMB a écrit :Attention va y-avoir du niveau !! pour info j'ai quelques potes qui visent de belles perfs
roland Claverie : entre 2h20 et 2h30 mais c'est son premier alors a voir... Mais c'est une fusée
Karl Shaw : vu hier a la boutique , premier marathon pour lui aussi mais super coureur , vainqueur du duathlon de Grasse devant Belaubre ça commence a parler !
Franck Gianfreda : 2e du duathlon de maubec , tres bon coureur 34" sur 10km vise 2"40
ça va envoyer du lourd !!!
LDP Coaching a écrit :tridan a écrit : pas faible, mais + faible. plus le temps de course est élevé, plus l'intensité relative baisse. Sur 3h30 d'effort, 75% VMA en moyenne. C'est pas pareil que 80% VMA pour 2h45'. A 75% VMA, tu consommes bcp moins de glyco qu'à 80%
Ok, si l'on considère que l'on ne cherche pas à optimiser sa capacité de performance. Sinon, c'est faux et trop simpliste.
2h45 pour un coureur A peut être équivalent à 3h30 pour un coureur B, si ces 2 coureurs ont couru à la même intensité relative.
Je supposais bien entendu que les 2 coureurs avaient cherché à réaliser la meilleure perf possible. A endurance comparable, celui qui a réussi 2h45 l'a fait avec un effort moyen à 80% VMA et celui qui a réussi 3h30 à 75% VMA (ce sont en gros les % correspondant à une endurance moyenne standard pour ces durées de course). et le coureur A a dépensé plus de glycogène que le coureur B.
Attention (1) d'une part au terme de bioénergétique utilisé et leur définition (glycogénèse, par exemple) et (2) d'autre part même si le niveau adaptatif énergético-métabolique est différent chez les athlètes de très haut niveau leurs réserves de glycogène seules ne leurs permettent pas de courir en moins de 2h10. La théorie est beaucoup trop simpliste.tridan a écrit : et pour les élites, ils s'entrainent tellement qu'ils ont une glycogénèse très supérieure à la normale, et donc des stocks de "super" suffisant pour toute la course.
Cela ne veut absolument rien dire.
Pas si sûr. les marathoniens élites courent 150-200 km par semaine, parfois plus. Ils sont sans cesse en train d'épuiser-reconstituer leurs réserves de glycogène. de ce fait, ce processus est chez eux particulièrement performant. ils mettent plus de glyco en réserve qu'un coureur lambda. je n'ai pas trouvé tout seul cette théorie, et je trouve qu'elle est très sensée, et explique bien des choses (par exemple les 5000m de folie que l'on peut voir sur les grands marathons au delà du 30ème pour faire le break. les mecs, ils font pas çà sur les graisses ...).
je pense avoir employé le terme de glycogénèse pour désigner la bonne notion, enfin il me semble ? la faculté de stocker des réserves importantes de glycogène n'est effectivement qu'une caractéristique parmi d'autres des athlètes de HN. le VO2max en est une autre, la force mentale encore une autre. mais sur marathon, c'est un point très important pour l'endurance, je crois qu'on peut s'accorder là-dessus ...
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Tout dépend de l'objectif, si c'est tenir (finir un premier 100km) ok pour une foulée discrète. Mais si le but c'est d'avancer vite, il y a beaucoup d'énergie qui est transmise au sol et l'impact s'entend. Même un kenyan de 50kg fait plus de bruit au sol à 20km/h qu'un type de 100kg à 10km/h.lopapy a écrit :
Pour info, lorsque vous faites du bruit en courant c'est autant d'énergie gaspillée, non utilisé dans la dispersion des ondes de chocs...
Si vous faites du bruit étudiez votre foulée, souvent par manque de lucidité, une foulée est inadaptée et coute cher en carburant et possible blessure...
LoPapy_qui_suppute_plus_qu'il_n'établit_sur_ce_coup
