Re: Alberto CONTADOR sur IRONMAN
Publié : 03 janv. 2020 14:52
Fin des 80s, début 90s, certains protocoles de dopage visaient non à être "chargé" le jour J, mais bien en amont pour encaisser de grosses charges d'entraînement qui te permettent d'être performant "à l'eau claire" le jour J (où théoriquement, toute trace de produit interdit devaient avoir disparu de l'organisme -au yeux des techniques de contrôle de l'époque- => la mise en place du suivi longitudinal a complexifié la chose...).
D'où mon hypothèse selon laquelle les effets de pratiques dopantes peuvent perdurer dans le temps. Mais à ce jour, je n'ai lu aucun travail de recherche validé (c'à.d accepté dans une revue scientifique avec comité de lecture pour évaluation en double aveugle) à ce sujet. N'étant pas dans ce domaine de recherche, je ne sais pas si 1) il y a des publications, mais je n'en ai pas eu connaissance; 2) l'hypothèse n'a jamais été testée car impossibilité d'avoir un échantillon représentatif (des ex-dopés qui décrivent précisément les protocoles qu'ils ont suivi et qui acceptent, quelques années plus tard, de passer des test d'effort pour être comparés à une population lambda).
Personnellement, je penche pour l'explication n°2 qui fait qu'on en restera à l'état des suppositions (et donc, quand on en parle, il convient de préciser que ce sont des suppositions, d'autant que pour certain noms cités, il n'y a que des faisceaux de présomptions de dopage et non des preuves => Même si les pratiques dénoncées sont totalement condamnables, jeter des noms "en pâture", sans preuves... bof, bof...).
D'où mon hypothèse selon laquelle les effets de pratiques dopantes peuvent perdurer dans le temps. Mais à ce jour, je n'ai lu aucun travail de recherche validé (c'à.d accepté dans une revue scientifique avec comité de lecture pour évaluation en double aveugle) à ce sujet. N'étant pas dans ce domaine de recherche, je ne sais pas si 1) il y a des publications, mais je n'en ai pas eu connaissance; 2) l'hypothèse n'a jamais été testée car impossibilité d'avoir un échantillon représentatif (des ex-dopés qui décrivent précisément les protocoles qu'ils ont suivi et qui acceptent, quelques années plus tard, de passer des test d'effort pour être comparés à une population lambda).
Personnellement, je penche pour l'explication n°2 qui fait qu'on en restera à l'état des suppositions (et donc, quand on en parle, il convient de préciser que ce sont des suppositions, d'autant que pour certain noms cités, il n'y a que des faisceaux de présomptions de dopage et non des preuves => Même si les pratiques dénoncées sont totalement condamnables, jeter des noms "en pâture", sans preuves... bof, bof...).