Point de côté
Publié : 20 juil. 2013 17:21
Je ne sais pas si le titre est le bon, ou devrais-je utiliser un autre terme? Comme crampe d'estomac?
Je suis souvent victime de violent points de côtés (a droite). Avec l'expérience, il me semble avoir détecté quelques dénominateurs communs:
Fréquence cardiaque supérieure a 85%
Effort prolongé
Hydratation et/ou alimentation.
Ça m'a gâché des courses, les transformants calvaire !
Le lien avec l'hydratation est assez flagrant, et quelque soit le "produit", eau pure, isotruc, jus de citron avec sirop d'agave (ce qui passe finalement le mieux).
Évidement, c'est sur la CAP, pas (trop) de problèmes sur le velo... Mais par contre, l'enchaînement est parfois catastrophique ! Le résultat outre la douleur, c'est dérive cardiaque, souffle plus court, rythme qui diminue de manière considérable.
Donc pour le moment, je dépasse difficilement les courses de plus d'1h30 ou il faut boire et/ou manger, ou plutôt, je les appréhende tellement que je les évite. Sur les "courts" j'exagère les temps de précaution avec les prises alimentaires (même un simple 10 a été horrible, des le 3ème kil!!!).
Donc les questions:
Quelqu'un partage t il ces désagréments ?
Comment luter? Et redescendre a un état normal?
Comment éviter (sans ne pas boire)
Je suis souvent victime de violent points de côtés (a droite). Avec l'expérience, il me semble avoir détecté quelques dénominateurs communs:
Fréquence cardiaque supérieure a 85%
Effort prolongé
Hydratation et/ou alimentation.
Ça m'a gâché des courses, les transformants calvaire !
Le lien avec l'hydratation est assez flagrant, et quelque soit le "produit", eau pure, isotruc, jus de citron avec sirop d'agave (ce qui passe finalement le mieux).
Évidement, c'est sur la CAP, pas (trop) de problèmes sur le velo... Mais par contre, l'enchaînement est parfois catastrophique ! Le résultat outre la douleur, c'est dérive cardiaque, souffle plus court, rythme qui diminue de manière considérable.
Donc pour le moment, je dépasse difficilement les courses de plus d'1h30 ou il faut boire et/ou manger, ou plutôt, je les appréhende tellement que je les évite. Sur les "courts" j'exagère les temps de précaution avec les prises alimentaires (même un simple 10 a été horrible, des le 3ème kil!!!).
Donc les questions:
Quelqu'un partage t il ces désagréments ?
Comment luter? Et redescendre a un état normal?
Comment éviter (sans ne pas boire)