Crise de croissance
Publié : 23 janv. 2007 15:01
ET un de chute de plus ! d'aprés l'Equipe .fr :
Dehiba : le parquet de Paris saisi
Après l'arrestation, lundi, à l'aéroport de Roissy, de la détentrice du record de France du 1.500 m, Hind Dehiba, et de son époux, en possession d'hormones de croissance dans leurs bagages, le pôle santé publique du parquet de Paris s'est saisi de l'enquête.
Dans un premier temps, le parquet de Bobigny, dont dépend l'aéroport de Roissy, avait été saisi, mais le parquet de Paris a annoncé qu'une information judiciaire portant sur des faits similaires et visant une autre athlète, dont le nom n'a pas été communiqué, avait été ouverte à Paris à l'été 2006. Il s'est donc saisi de l'affaire.
Lundi, les douaniers de Roissy ont découvert dans les bagages de Hind Dehiba et de son mari et entraîneur, Fodil Dehiba des hormones de croissance. Ils revenaient avec un autre athlète d'un stage à Abuquerque, aux Etats-Unis. Tous trois ont été placés en garde à vue, a annoncé le parquet de Paris. Pour leur défense, le mari de l'athlète aurait déclaré que les produits étaient destinés à sa consommation personnelle.
Hind Dehiba avait déjà défrayé la chronique en 2006 pour ne pas s'être rendue à une convocation pour la Coupe d'Europe en fournissant néanmoins un certificat médical. La commission de discipline de la Fédération française d'athlétisme (FFA) avait finalement estimée que le certificat, dont rien ne prouvait qu'il était un faux, justifiait sa non-participation à la Coupe d'Europe.
«J'espère que cette affaire va permettre, à la police, aux services spécialisés, de remonter certaines filières. Les athlètes peuvent être des victimes, parfois consentantes. Autour d'eux, il y a des rabateurs qui rapportent les produits, les vendent et suggèrent aux athlètes de les prendre.», a pour sa part déclaré, Bernard Amsalem, le président de la Fédération française d'athlétisme. Il espère que cette affaire permettra de remonter «certaines filières».
(Avec AFP)
Dehiba : le parquet de Paris saisi
Après l'arrestation, lundi, à l'aéroport de Roissy, de la détentrice du record de France du 1.500 m, Hind Dehiba, et de son époux, en possession d'hormones de croissance dans leurs bagages, le pôle santé publique du parquet de Paris s'est saisi de l'enquête.
Dans un premier temps, le parquet de Bobigny, dont dépend l'aéroport de Roissy, avait été saisi, mais le parquet de Paris a annoncé qu'une information judiciaire portant sur des faits similaires et visant une autre athlète, dont le nom n'a pas été communiqué, avait été ouverte à Paris à l'été 2006. Il s'est donc saisi de l'affaire.
Lundi, les douaniers de Roissy ont découvert dans les bagages de Hind Dehiba et de son mari et entraîneur, Fodil Dehiba des hormones de croissance. Ils revenaient avec un autre athlète d'un stage à Abuquerque, aux Etats-Unis. Tous trois ont été placés en garde à vue, a annoncé le parquet de Paris. Pour leur défense, le mari de l'athlète aurait déclaré que les produits étaient destinés à sa consommation personnelle.
Hind Dehiba avait déjà défrayé la chronique en 2006 pour ne pas s'être rendue à une convocation pour la Coupe d'Europe en fournissant néanmoins un certificat médical. La commission de discipline de la Fédération française d'athlétisme (FFA) avait finalement estimée que le certificat, dont rien ne prouvait qu'il était un faux, justifiait sa non-participation à la Coupe d'Europe.
«J'espère que cette affaire va permettre, à la police, aux services spécialisés, de remonter certaines filières. Les athlètes peuvent être des victimes, parfois consentantes. Autour d'eux, il y a des rabateurs qui rapportent les produits, les vendent et suggèrent aux athlètes de les prendre.», a pour sa part déclaré, Bernard Amsalem, le président de la Fédération française d'athlétisme. Il espère que cette affaire permettra de remonter «certaines filières».
(Avec AFP)
