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Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 25 févr. 2013, 10:32
par Kenzo
Kuurne-Bruxelles-Kuurne annulé: “C’est une catastrophe pour nous”
KUURNE Comme en 1986 et 1993, Kuurne-Bruxelles-Kuurne n’a pu avoir lieu, hier, en raison des conditions météorologiques détestables. C’était prévu, mais jusqu’au bout les organisateurs de la semi-classique flandrienne ont espéré que les prévisions se tromperaient.
“Dès samedi après-midi, nous avions eu une réunion de crise durant laquelle plusieurs alternatives avaient été présentées”, expliquait Jean-Pierre Coppenolle, un des commissaires UCI. “On pouvait escamoter les monts pavés, emprunter le parcours plus roulant de l’épreuve des juniors et augmenter le nombre de tours du circuit local ou ne courir que sur celui-ci, encore que la Ville de Courtrai (NdlR : le circuit passait sur la Grand-Place) ne voulait pas que cela se fasse avant 15h15. Finalement, on a dû se résigner à choisir la quatrième option : annuler la course.”
Ce qui est évidemment un petit drame pour l’organisation.
“C’est une catastrophe pour nous, on prépare cette course pendant un an et parce qu’il neige un jour, elle ne peut avoir lieu”, regrettait le bourgmestre de Kuurne.
“Nous sommes vingt-cinq, trente bénévoles dans le comité”, dit son secrétaire Filiep Verhelst, “mais aujourd’hui, 800 signaleurs étaient prévus sur le parcours et deux cents collaborateurs participaient à l’organisation.”
Mettre sur pied une telle épreuve, ça coûte entre 250 et 400.000 €. Hier, personne ne pouvait affirmer à combien allait s’élever la perte financière de l’ASBL KSC Kuurne, mais certainement au-delà de 100.000 €.
“On pourra y faire face, mais nous devons évaluer nos pertes exactes”, poursuit-il. “Cette année, nous n’avons pas pris d’assurance. C’est un choix, on a joué, on a perdu. Tous nos coûts sont restés les mêmes, il faut payer les équipes (NdlR : plus de 120.000 € de frais de déplacement), la licence UCI, toutes les infrastructures, les tribunes. Le programme avec l’apéritif, le repas et la soirée des VIP est maintenu, mais que vont nous donner nos sponsors, auxquels nous n’avons pu offrir ce qui était promis ? On va se mettre autour de la table avec eux. Nous n’aurons pas les droits de télévision, alors que la course allait être retransmise aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil… C’est un drame.”
C’est l’aspect sécurité qui a prévalu.
“Je ne voulais pas qu’on se retrouve ce soir à devoir regretter un accident mortel sur le bas-côté de la course ou pour des gens qui s’y seraient rendus”, disait Jos Callens, porte-parole de la course.
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 26 févr. 2013, 20:33
par Kenzo
Indurain et l'équipe Banesto clients d'un médecin controversé
Le quintuple vainqueur du Tour de France Miguel Indurain et toute son équipe Banesto étaient clients dans les années '90 du médecin italien Francesco Conconi, un médecin à la réputation peu enviable en matière de dopage et notamment professeur des controversés Michele Ferrari et Luigi Cecchini. C'est ce que déclare l'expert antidopage italien Sandro Donati dans une interview accordée à ma télévision néerlandaise de service public NOS.
Banesto a contacté le médecin en question pour lui demander de faire passer le test Conconi à tous ses coureurs. Ce test permet de déterminer la valeur du seuil lactique. Selon Donati, qui travaille actuellement pour l'Agence mondiale antidopage, l'équipe Banesto a payé en son temps "des sommes trop élevées" pour qu'il s'agisse uniquement de la réalisation de ce test. Le journaliste néerlandais Ludo van Klooster a raconté à la NOS qu'il avait déjà vu le bus de la Banesto devant l'université de Ferrara, où Conconi travaillait. "J'y ai vu toute l'équipe, y compris Indurain."
Francesco Conconi a épaulé son compatriote Francesco Moser en 1984 quand celui-ci a pulvérisé le record de l'heure. Moser a ensuite avoué avoir utilisé les transfusions sanguines pour y parvenir. Au début des années 90, le médecin italien aujourd'hui âgé de 77 ans s'est consacré à la mise sur pied d'un test pour la détection d'EPO. Il a ensuite été la cible d'une enquête car il aurait fourni de l'EPO à de nombreux coureurs. En 2003, un tribunal de Ferrare a estimé qu'il était moralement coupable.
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 26 févr. 2013, 20:34
par Kenzo
Affaire Fränk Schleck: L'ALAD ne fera pas appel
L'Agence luxembourgeoise antidopage (ALAD) ne fera pas appel de la suspension d'un an pour dopage de Fränk Schleck (RadioShack-Leopard), prononcée à son encontre fin janvier par le Conseil de discipline contre le dopage. L'information figurait lundi matin dans les journaux luxembourgeois.
L'aîné des frères Schleck (32 ans), condamné pour dopage avec effet rétroactif, ne pourra pas recourir avant le 14 juillet, et ne sera donc pas au départ du Tour de France le 29 juin à Porto-Vecchio. Le Luxembourgeois, qui risquait une suspension de deux ans, n'a écopé d'aucune amende.
Un médicament absorbé par mégarde?
Le cycliste grand-ducal, contrôlé positif à un diurétique (Xipamide) sur le Tour de France, l'avait quitté volontairement. L'UCI avait transmis son dossier à la fédération luxembourgeoise lorsque l'échantillon B s'était également révélé positif.
Il a été entendu trois fois par l'ALAD, le 29 août, le 15 octobre et le 19 décembre. Fränk Schleck s'était suspendu lui même début octobre, comme s'il ne contestait pas les preuves accumulées contre lui.
Mais il n'a pas pour autant reconnu sa culpabilité, le médicament interdit ayant selon lui été absorbé par mégarde ou accidentellement, et pas du tout intentionnellement. Le Xipamide est cependant un produit masquant efficace en cas de recours au dopage.
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 26 févr. 2013, 20:38
par Kenzo
Boonen: "Mon Omloop était meilleur que prévu"
Après une préparation chaotique, Tom Boonen (Omega Pharma-Quick Step) n'a pas joué un rôle significatif dans le Omloop Het Nieuwsblad ce week-end. "Mais ça s'est mieux passé que prévu", dit le champion de Belgique dans les journaux.
Boonen a dû subir deux séjours à l'hôpital ces derniers mois et manqua de ce fait un grand nombre de jours de compétition. Le leader d'Omega Pharma-Quick Step n'est certainement pas encore au top, mais a quand même décidé de se montrer devant son public belge ce samedi.
Ce n'était pas si évident. "Je suis rentré difficilement dans la course. Au début, dans la zone vallonnée, je me suis retrouvé plusieurs fois là où je ne pouvais pas être. Cela m'a couté pas mal d'énergie. En fin de compte, je suis content d'avoir réussi à me reprendre et faire la course à l'avant du peloton. Quand la bonne échappée est partie, c'en était fini pour moi".
"Aux instants où cela roulait fort, j'arrivais à me maintenir dans le peloton. C'est encourageant. Et je me suis montré à quelques occasions. Surtout défensivement, avec pour objectif de paralyser la course pour l'équipe".
Toute l'équipe est à niveau
Et l'équipe était bien présente. Zdenek Stybar, Sylvain Chavanel et surtout Stijn Vandenbergh ont monopolisé l'attention. "Toute l'équipe est à niveau", constate Boonen. "Ça soulage de constater que, même sans moi, l'équipe tourne bien. On a pris la course en main, comme on aime le faire, et on a pu jouer plusieurs cartes".
Stijn, l'équipier modèle
Vandenbergh, l'équiper de luxe de Boonen, a terminé finalement deuxième de cette première course en Belgique de la saison 2013. "Je savais depuis longtemps qu'il en était capable. Stijn est un coureur fort sous-estimé. Il est capable de choses encore plus étonnantes, que le public ne voit pas à l'écran".
"Sa puissance et sa capacité d'accélération n'ont pas suffi face à l'expérience et l'instinct de finisseur de Luca Paolini. Mais il peut être fier de sa deuxième place, qu'il mérite amplement après tant de boulot pour l'équipe. C'est une belle récompense".
J'ai besoin de plus de courses
Boonen se rend compte qu'il est encore loin d'avoir la condition nécessaire pour briller dans "ses" courses. "Je sens que cela ne se passe pas comme d'habitude. J'ai besoin de plus de compétition dans les jambes. Paris-Nice est en tout cas la bienvenue pour préparer Milan-Sanremo".
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 16:44
par Kenzo
Michael Boogerd a payé près de 17.000 euros au dealer de dopage Stefan Matschiner
Boogerd a confirmé l'an dernier qu'il avait reçu les factures de Matschiner mais avait dit qu'il s'agissait de "petits montants" pour des vitamines
L'ancien coureur cycliste néerlandais de l'équipe Rabobank Michael Boogerd a payé au cours de sa carrière près de 17.000 euros au dealer de dopage autrichien Stefan Matschiner, révèle jeudi le journal néerlandais NRC Handelsblad.
NRC Handelsblad a dévoilé quatre factures et deux extraits de banque de Matschiner. Celui-ci a confirmé au quotidien qu'il avait soumis en 2006 et 2007 à Boogerd un montant de 16.940 euros que le coureur néerlandais avait payé. "Je peux difficilement mentir. Mon nom et celle de mon entreprise y figurent", a reconnu Matschiner.
Boogerd a confirmé l'an dernier qu'il avait reçu les factures de Matschiner mais avait dit qu'il s'agissait de "petits montants" pour des vitamines. Matschiner en doute. "Je pense que l'on peut acheter beaucoup de vitamines pour 17.000 euros", a ajouté l'Autrichien.
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 16:51
par Kenzo
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 16:58
par Kenzo
Un petit éclairage sympathique pour votre bike ?
http://www.knog.com.au/gear-blinder-lights/
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 17:06
par Kenzo
V I V A ...... I T A L I A !!!!!!
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 17:08
par Kenzo
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 17:11
par Kenzo
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 19:22
par Kenzo
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 28 févr. 2013, 19:59
par DJJJJJ
Kenzo a écrit :
Ni u ni connu Armstrong passe à la trappe
ASO aurait du mal à assumer ?
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 02 mars 2013, 12:53
par Kenzo
Le parcours de Paris-Nice
De la pluie au soleil, de la capitale à la côte d’Azur : en huit jours, on connaît la chanson de Paris-Nice et les ingrédients qui font tous les ans son sel particulier. Peu de courses proposent autant d’ingrédients différents en si peu de jours. Bien sûr, c’est la montagne, plus souvent moyenne que haute, à l’image de ce symbole niçois qu’est le col d’Èze, qui dessine avant tout le classement général. Évidemment, il faut bien savoir rouler un peu, puisqu’il y a toujours un rendez-vous chronométré – même deux, cette année. Mais il y a aussi ces grandes lignes droites du centre de la France, où les bordures et le sale temps peuvent faire rage en début de semaine et changer la face de la course ; le terrain accidenté du Massif central, du Forez ou des Cévennes pour pimenter la mi-course ; et le soleil, forcément, pour réchauffer le peloton lors du décisif week-end final.
Cette année, tout commencera par un prologue trop court pour peser, et tout se terminera par un autre chrono, sur les pentes du col d’Èze, revenu au programme de l’épreuve l’an dernier. Cette dernière étape sera décisive pour le classement général, mais elle sera loin d’être la seule. Deux jours plus tôt, la 5e étape arrivera en effet au sommet de la Montagne de Lure, déjà vue en 2009. Cette année-là, Alberto Contador avait assommé la course sur les 14 kilomètres de ce col provençal. Entre temps, il aura néanmoins fallu passer sans encombre les toujours redoutées deux premières étapes en ligne et leurs grandes lignes droites, qui mènent cette année à Nemours puis Cérilly (arrivée en faux-plat prononcé), puis l’étape accidentée de Saint-Vallier, avec deux côtes de deuxième catégorie assez difficiles dans les 25 derniers kilomètres. Déception en revanche avec l’étape du samedi : deux cols de première catégorie mais 70 derniers kilomètres en descente, c’est fait pour les baroudeurs.
LES ÉTAPES DU PARIS-NICE 2013

Dimanche 3 mars - Prologue - 2,9 km
Houilles (78)

Lundi 4 mars - 1re étape - 195 km
Saint-Germain-en-Laye (78) > Nemours (77)

Mardi 5 mars - 2e étape - 200,5 km
Vimory (45) > Cérilly (03)

Mercredi 6 mars - 3e étape - 170,5 km
Châtel-Guyon (63) > Brioude (43)

Jeudi 7 mars - 4e étape - 199,5 km
Brioude (43) > Saint-Vallier (26)

Vendredi 8 mars - 5e étape - 176 km
Châteauneuf-du-Pape (84) > La Montagne de Lure (04)

Samedi 9 mars - 6e étape - 220 km
Manosque (04) > Nice (06)

Dimanche 10 mars - 7e étape - 9,6 km (C.l.m. individuel)
Nice (06) > Col d'Èze (06)
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 02 mars 2013, 12:59
par Kenzo
Peraud : « Je peux viser le podium » (Vélo Chrono)
Tout auréolé de sa première victoire professionnelle au sommet du Faron sur le Tour Med, c’est un Jean-Christophe Peraud décomplexé qui va aborder dès dimanche son premier objectif de la saison, Paris-Nice. Entre un parcours à sa mesure, un plateau léger et peut-être débarrassé de quelques complexes, le coureur d’AG2R La Mondiale ne cache pas à Velochrono qu’il a des ambitions élevées pour cette Course au soleil.
« Ça m’aurait vraiment fait chier de ne pas gagner chez les pros »
Bien sûr, il y avait eu son titre de champion de France du contre-la-montre obtenu à Saint-Brieuc, en 2009. Mais quand Jean-Christophe Peraud s’était paré du bleu-blanc-rouge, il était encore amateur, et c’est même ce succès qui l’avait convaincu de franchir le Rubicon. Techniquement, le Toulousain a donc ouvert son compteur de victoires chez les professionnels il y moins d’un mois, en s’imposant sur la mythique arrivée au sommet du Mont Faron, lors du Tour Med. Un succès qui fait office de soulagement pour lui : « Depuis le temps que je l’attendais, elle fait du bien, avoue-t-il à Velochrono. Le temps passant, je commençais à me demander si j’allais un jour en claquer une. Ça m’aurait vraiment fait chier de ne pas gagner chez les pros, là au moins je n’aurai plus à courir après. Mais cette victoire est un peu inattendue, j’étais un peu inquiet avant le début du Tour Med, parce que j’ai mis moins d’intensité dans l’entraînement hivernal. » Plus habitué à lever les bras en VTT que sur route, Jean-Christophe Peraud, à bientôt 36 ans, reconnaît avoir particulièrement savouré l’instant. « Cette victoire sur route a une saveur particulière. Mon ressenti en franchissant la ligne a été incomparable avec une victoire en Coupe de France de VTT. » Et tant pis si la victoire finale lui a échappé pour un souffle face à Thomas Löfkvist. « Il faut savoir être fataliste parfois. C’est vrai que trois dixièmes de retard, ce n’est rien, mais je ne peux pas avoir de regrets parce que je me suis donné à 100%. »
J’apprécie vraiment cette dernière étape chronométrée au sommet du col d’Èze.À bientôt 36 ans, Jean-Christophe Peraud est donc loin d’être en roue libre, et il aborde même le couteau entre les dents son premier vrai objectif de la saison. Ce dimanche, Paris-Nice démarre de Houilles, en région parisienne, et après avoir terminé sixième de l’épreuve il y a deux, ou encore huitième un an plus tôt, il compte bien franchir un palier. « Entrer dans les cinq premiers serait déjà un bon résultat mais je peux aussi viser le podium », lâche-t-il sans ambages. C’est vrai que le parcours semble parfaitement correspondre à son profil de rouleur-grimpeur, symbolisé par le chrono final sur le col d’Èze, dont il avait pris la troisième place l’an passé. « J’apprécie vraiment cette dernière étape chronométrée au sommet du col d’Èze, on ne connaîtra certainement pas le vainqueur avant cette dernière arrivée. Par ailleurs, le parcours est cette année plus typé montagne. C’est forcément un bon grimpeur qui gagnera et ce n’est pas pour me déplaire. » L’arrivée au sommet de la Montagne de Lure, sur la 5e étape, fait en effet office de juge de paix de la Course au soleil cette année.
« Ce n’est pas un manche qui gagnera Paris-Nice »
L’autre argument qui joue en la faveur du coureur d’AG2R La Mondial, c’est le plateau de ce 71e Paris-Nice, nettement moins relevé que celui de sa cousine transalpine, Tirreno-Adriatico. « C’est vrai qu’il n’y aura pas les leaders numéro un du peloton, mais cela ne veut pas dire pour autant que c’est un manche qui gagnera Paris-Nice, tempère Peraud. Avec Tejay van Garderen, Richie Porte, Robert Gesink ou Lieuwe Westra, pour ne citer qu’eux, on a quand même à faire à des coureurs de premier rang. » Et Peraud ? Pour lui, le choix entre la Course au soleil et la Course des deux mers n’en était en tout cas pas un. « Déjà, je suis Français, donc j’ai envie de participer à Paris-Nice et d’y briller. Et puis j’avoue qu’à partir du moment où j’ai vu que la dernière étape se jugeait au sommet du col d’Èze et en contre-la-montre, mon choix coulait de source. » Pour remplir son objectif podium, Peraud pourra en tout cas compter sur un gros collectif, avec notamment Romain Bardet, Hubert Dupont ou Maxime Bouet. « C’est vrai qu’on a une belle équipe au départ de ce Paris-Nice. On aura un groupe capable de gagner sur chacune des étapes. Les premières arrivées conviendront à Yauheni Hutarovich. En petit groupe, Samuel (Dumoulin) pourrait aussi tirer son épingle du jeu. Ensuite, le reste de l’équipe sera sur son terrain lors des dernières étapes. »
Le parcours du Tour me convient plus en 2013 que la saison dernière…Si la semaine prochaine n’est pas aussi brillante qu’espérée, Jean-Christophe Peraud sait déjà où il pourra tenter de se rattraper : le Critérium international puis le Tour du Pays basque, qui lui a souvent réussi. « C’est une épreuve que j’apprécie, je me suis découvert sur ces routes et où je fais souvent des bons résultats », admet l’intéressé, septième de l’épreuve espagnole l’an passé, quatrième en 2010. Puis viendront le Tour de Romandie et, évidemment, le Dauphiné puis le Tour de France, qui semble bien plaire au Toulousain. « Le parcours du Tour me convient plus en 2013 que la saison dernière, explique le 44e de la grande boucle 2012. Le fait d’avoir moins de contre-la-montre est positif. Celui du Mont Saint-Michel sera assez court, cela évitera de prendre d’énormes baffes par rapport aux spécialistes, et ensuite, la montagne sera au rendez-vous. » Dixième du Tour en 2011, Peraud espère réitérer cette performance cet été, même s’il lui faudra partager le leadership en interne avec John Gadret. « Je n’ai vraiment aucun souci avec ça, jure-t-il. C’était déjà le cas avec Nicolas Roche les saisons passées. » De toute façon, c’est encore loin. « Je me sens, pour l’instant, à un niveau semblable à celui de 2011, mais la saison ne fait que commencer. Avant de me projeter, je pense déjà à Paris-Nice. »
Re: L'ACTUALITE DU CYCLISME
Publié : 02 mars 2013, 13:01
par Kenzo
RadioShack se fait piquer 8 vélos
La participation de l'équipe au "Trois Jours de Flandre occidentale" est compromise
Huit vélos de l'équipe RadioShack-Leopard ont été volés dans la nuit de vendredi à samedi à Bruges, ville-départ de la 1e étape des Trois jours de Flandre occidentale.
Les vélos volés se trouvaient dans un camion garé sur le parking de l'hôtel de l'équipe à Bruges. Les mécaniciens de l'équipe ont constaté le vol samedi matin.
"J'ai parlé au téléphone avec le directeur sportif Dirk Demol qui m'a dit qu'ils feront tout pour être au départ de la 1e étape à Bruges", déclare Peter Brackez, le directeur de course. "Stijn Devolder doit même faire venir un vélo de chez lui, vu que deux de ses vélos ont été volés".
Le mois dernier, l'équipe Garmin-Sharp avait été victime d'un semblable vol. Dix-sept vélos avaient été volés dans la nuit précédant la 4e étape du Tour Méditerranéen. L'équipe américaine s'était retirée de l'épreuve à la suite de ce vol.