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Quelques photos "The Tour Down Under"

Les montures








































Photography: CyclingTips

Allez pour les anciens Colnago C35 Oro
























Photography: Veeral Patel

http://vimeo.com/53607778

http://vimeo.com/57200254

Bonne journée

Pat McQuaid demande de l'aide aux membres du CIO



Le président de l'UCI, l'Union cycliste internationale, Pat McQuaid a écrit une lettre aux 101 membres du Comité International Olympique (CIO) pour leur demander leur aide afin de ramener l'AMA, l'agence mondiale antidopage à la table de sa controversée commission Vérité et Conciliation.

Pat McQuaid espère rallier les membres du CIO à sa cause dans une missive publiée par le site spécialisé insidethegames.biz. Sous pression alors que l'UCI traverse la plus sombre période de son histoire, Pat McQuaid, dont l'attitude était qualifiée de "duperie" par le président de l'AMA John Fahey et de "pathétique" par Lance Armstrong lui-même, espère dans sa lettre que l'AMA mette fin à la guerre des mots que ce sont échangés les deux institutions ces dernières semaines.

Pat McQuaid appelle l'AMA a renouer le dialogue pour la mise en place du processus de Vérité et Conciliation, promettant que, dans ce cas, l'UCI ferait de même. Le président de l'UCI demande le soutien des membres du CIO pour convaincre l'AMA.

L'AMA avait accusé mardi l'UCI de "duperie", lui reprochant d'avoir fait croire que l'AMA s'était engagée à participer à une commission "Vérité et réconciliation" dans l'affaire Armstrong alors que la veille, l'UCI avait décidé d'enterrer la commission indépendante qui devait enquêter sur le rôle joué par ses dirigeants dans le scandale Armstrong, faute justement d'avoir le soutien de l'AMA, et promis à la place une commission de type "Vérité et réconciliation".

Lance Armstrong avait insisté lui sur le fait que Pat McQuaid passait "son temps à se couvrir."

Saiz a laissé plusieurs cyclistes aller voir Fuentes

Manolo Saiz, ancien directeur sportif de l'équipe cycliste Liberty Seguros, accusé aux côtés de quatre autres personnes dans l'affaire de dopage sanguin Puerto, a admis vendredi avoir "accédé" à la demande de plusieurs cyclistes "d'aller voir Fuentes".

"Effectivement, j'ai accédé à la demande de certains coureurs qui voulaient aller voir (le docteur) Fuentes, mais à partir de là, je ne sais pas ce qui se passait chez Fuentes et je ne sais pas s'ils sont effectivement allés le voir", a expliqué devant la juge Manolo Saiz, en parlant notamment des anciens cyclistes espagnols de Liberty Seguros Roberto Heras, Marcos Serrano et Angel Vicioso.

Au sujet de deux coureurs - Heras, notamment quadruple vainqueur de la Vuelta et Isidro Nozal - Saiz a ensuite expliqué qu'il "se doutait" qu'ils étaient clients de Fuentes, sans pouvoir l'affirmer formellement.

"J'ai accédé à des demandes, mais accéder n'est pas faire l'intermédiaire", a martelé Saiz dans une déclaration pourtant remplie de contradictions.

Ce jeudi, Michael Rasmussen a avoué s’être dopé de 1998 à 2010, lui qui s’est battu pendant des années pour démontrer le contraire. C’est un ancien de Rabobank de plus qui admet avoir triché. Mais ça ne va pas s’arrêter là car il a tout dit aux agences antidopage. Le long et tumultueux hiver du cyclisme continue.

Des années de dopage et de mensonge



« J’ai pris de l’EPO, de la cortisone, de l’insuline, des hormones de croissance et j’ai fait des transfusions de sang. » Voilà à quoi carburait Chicken. Quand il remportait le maillot à pois du Tour de France, en 2005 et 2006 ; quand il jouait à la mobylette avec Alberto Contador sur les pentes de Peyresourde, l’année suivante, quelques jours avant d’être mis à la porte, malgré son maillot jaune, pour un défaut de localisation révélé par hasard par le commentateur italien Davide Cassani, presque gêné d’avoir ainsi trahi le Danois. Voilà ce que Michael Rasmussen a en fait toujours pris, ou presque : ce jeudi, il a avoué s’être dopé de 1998 à 2010, soit l’essentiel de sa carrière cycliste, commencée avec talent dans le VTT – champion du monde devant Miguel Martinez en 1999 – et poursuivie avec brio sur route, à partir de 2002. « Je suis heureux de ne plus avoir à porter ce fardeau, a-t-il simplement commenté au cours d’une conférence de presse retransmise à la télévision de son pays, où il fait partie des stars du sport. À partir d’aujourd’hui, j’arrête ma carrière de cycliste et je tiens à coopérer avec les autorités. »

Rasmussen dopé ? Première nouvelle ! Stupéfiant en contre-la-montre malgré sa maigreur légendaire, cité dans l’affaire Humanplasma, dans l’affaire de Mantoue, coupable de plusieurs no-shows dont ceux qui lui coûteront l’exclusion du Tour 2007, Rasmussen collectionnait les casseroles depuis des années. Au point qu’il avait galéré pour pouvoir revenir à la compétition, ne trouvant finalement refuge qu’en son pays, auprès d’un mécène, dans une équipe construite de toutes pièces autour de sa personne, Christina Watches. Un peu comme Lance Armstrong, le Danois a donc fini par se mettre à table après des années d’un mensonge qui était de toute façon tellement énorme qu’il ne parvenait plus à le cacher. Pourquoi maintenant ? Parce que, clairement, il y a un effet domino où les confessions s’enchaînent. Mais si les repentis étaient vertueux, ils n’auraient pas besoin de se repentir. Si les aveux sont à la mode, c’est surtout que la période y est propice, puisque les organisations mondiales, UCI comme AMA, parlent (en s’engueulant) de processus « vérité et réconciliation ». Rasmussen montre patte blanche, se dit prêt à collaborer, annonce prendre sa retraite : bref, il espère se fondre dans la masse et ne pas trop perdre de son éclat. Un tricheur qui avoue seul est montré du doigt ; mille tricheurs qui avouent en même temps se noient facilement dans une masse que l’on amnistie sans trop y regarder.

Ce n’est pas fini

Et c’est donc le voile qui se lève encore un peu plus sur toutes les années dopage de Rabobank. Il n’est plus secret que le dopage y était monnaie courante, plus d’un an après que l’ancien patron de la maison orange, Théo de Rooij, ait reconnu l’été dernier que les produits améliorant la performance étaient « tolérés ». Rabobank a toujours été la figure de proue du cyclisme néerlandais et ce n’est pas un hasard si le ménage s’opère : la fédé batave a été la première à ouvrir la porte à la « vérité » et à la « réconciliation ». Ca porte ses fruits. Ce qui démontre aussi que l’US Postal n’était pas la seule équipe à avoir la culture de la triche à cette époque, ce que l’on savait déjà grâce aux aveux massifs chez T-Mobile. Cet hiver, la banque néerlandaise a stoppé son sponsoring et l’on comprend désormais mieux pourquoi. L’équipe est devenue Blanco, comme pour montrer qu’elle veut désormais incarner un cyclisme propre, telle une entité complètement différente et avec des coureurs pour la plupart jeunes. Mais le passé continue et continuera de ressurgir : l’ex Rabo est dans la tourmente et doit se faire oublier définitivement.



Reste que Michael Rasmussen n’a pas couru que chez Rabobank. Il a porté les couleurs, une année, en 2002, de CSC, quand il a décidé de se lancer sur la route après avoir excellé en VTT. Cette saison-là, le Danois n’est pas gardé par Bjarne Riis en raison de suspicions au sujet de ses données sanguines. On apprendra plus tard qu’il prenait des substituts sanguins à base d’hémoglobine, se les faisant livrer dans… des boites à chaussures. CSC, ne l’ayant pas conservé, a pu se couvrir. Mais ça commence quand même à faire beaucoup : Tyler Hamilton, Bobby Julich, Ivan Basso… Tous ont couru dans la formation danoise. Ainsi que Jorg Jaksche, qui depuis l’an dernier parle de dopage organisé avec l’appui du docteur Fuentes lors de ses années chez Riis. Ce dernier a en son temps avoué avoir triché pour gagner le Tour, mais a toujours soutenu que sa carrière de manager était irréprochable. Ces prochains jours, Tyler Hamilton va témoigner lors du procès Fuentes, en Espagne, et Michael Rasmussen a tout dit aux agences antidopage. Le jeu de domino va-t-il continuer ?

Kenzo a écrit :Les montures










Photography: CyclingTips

äs mal de TARMAC encore !!! Peut etre moins aero que le VENGE, mais peut etre plus efficace !!!

Perso j'hesite entre le Dogma de la Sky et le Lapierre FDJ !

Le Merida Lampre est pas mal aussi... et dans un autre style le Colnago

Merci pour ces photos. J'essaierai d'en faire au Tour Med la semaine prochaine

Faab900 a écrit :Perso j'hesite entre le Dogma de la Sky et le Lapierre FDJ !

Le Merida Lampre est pas mal aussi... et dans un autre style le Colnago

Merci pour ces photos. J'essaierai d'en faire au Tour Med la semaine prochaine

Donc prends le Cannondale
Best vélo of the whole world

Brent Bookwalter déjoue le sprint massif au Qatar



L'Américain Brent Bookwalter a fait sensation dimanche dans la première étape du Tour du Qatar en s'imposant à Dukhan devant ses deux compagnons d'échappée, les Suisses Martin Elmiger et Gregory Rast.

Cette première étape a été ébouriffante, le vent venant sans cesse proposer aux mieux armés de faire exploser le peloton.

Mark Cavendish a été le principal acteur de la première bordure mais il s'est laissé piéger dans la deuxième, déclenchée à mi-course au moment précis où le champion de France Nacer Bouhanni était victime d'une crevaison rédhibitoire.

A l'avant se sont retrouvés 27 coureurs emmenés par un John Degenkolb déchaîné ou un Bernhard Eisel qui a lancé sa saison au Tour Down Under et donnait alors l‘impression d'être le plus fort.

Il y avait aussi Fabian Cancellara, éjecté par la suite de ce groupe de tête et qui a dû mesurer là le travail qu'il lui reste à accomplir avant de retourner en Europe.

Côté français, Tony Gallopin a comme toujours été attentif, Mathieu Ladagnous très à l'aise, accompagné de son équipier et ancien champion du monde junior Johan Le Bon, tandis que Yoann Offredo, pour son retour à la compétition, n'a pas tardé à prendre place dans ce premier groupe.

A neuf kilomètres du but, le groupe emmené par Cavendish et ses équipiers a repris les hommes de tête mais, dans un final vent de face, trois coureurs ont pris les devants pour aller en découdre pour la victoire d'étape et le premier maillot de leader.

Bookwalter, bientôt 29 ans, révélé en 2010 par une deuxième place dans le prologue du Tour d'Italie derrière Bradley Wiggins, s'est montré le plus puissant et a aisément débordé Elmiger, pourtant supposé plus rapide que lui

USA 1 BOOKWALTER, Brent (BMC RACING TEAM) 3:28:47
SUI 2 ELMIGER, Martin (IAM CYCLING)
SUI 3 RAST, Grégory (RADIOSHACK LEOPARD)
AUT 4 EISEL, Bernhard (SKY PROCYCLING)
ITA 5 VIVIANI, Elia (CANNONDALE PRO CYCLING)
GBR 6 CAVENDISH, Mark (OMEGA PHARMA - QUICK-STEP)
DEN 7 BRESCHEL, Matti (TEAM SAXO-TINKOFF)
USA 8 PHINNEY, Taylor (BMC RACING TEAM)
AUS 9 HAUSSLER, Heinrich (IAM CYCLING)
FRA 10 LADAGNOUS, Matthieu (FDJ)

Johnny Hoogerland, renversé par une voiture, est hospitalisé en soins intensifs



Le coureur cycliste néerlandais Johnny Hoogerland a été hospitalisé en soins intensifs dimanche après avioir été heurté par une voiture lors d'une sortie d'entraînement à Villajoyosa, en Espagne. Le coureur de l'équipe Vacansoleil-DCM, âgé de 29 ans, souffre de plusieurs fractures des côtes et différentes blessures. Il a été placé en soins intensifs, a annoncé son équipe.
Hoogerland devait participer au Tour Méditerranéen.

Chainel : « Il était temps pour moi de partir »



Auteur de ses débuts avec AG2R La Mondiale dimanche lors du Grand Prix La Marseillaise, Steve Chainel dispute à partir de ce dimanche le Tour du Qatar. Après deux saisons à la FDJ, il a décidé de changer d’air et explique pourquoi à Velochrono.

« Dès mon arrivée, on m’a indiqué que j’étais désormais 100% routier »

Steve, comme chaque année, vous avez participé à la saison hivernale de cyclo-cross. Mais moins activement. Qu’en retenez-vous ?

Il y a effectivement eu un changement majeur par rapport aux autres années : j’ai repris le cyclo-cross beaucoup plus tard. En arrivant chez AG2R La Mondiale, en vue des Flandriennes, on m’a bien fait comprendre que j’étais désormais 100% routier. J’avoue que ça fait bizarre, sachant que j’ai toujours attaché de l’importance à cette saison hivernale, et que je n’ai jamais raté un championnat du monde sur les treize dernières années…

Qu’est-ce qui a changé dans votre approche du cyclocross ?

Je m’implique moins, je suis moins à l’écoute de certaines choses comme la météo… Changer mes habitudes a été un peu dur psychologiquement car je me suis retrouvé en déficit de forme. Je pense que j’ai fait l’erreur de courir les manches de Coupe du monde. J’aurais dû faire l’impasse sur ces courses et prendre confiance sur les cross régionaux ou nationaux, qui sont tout aussi intéressants pour la préparation. Quand on est un compétiteur comme je le suis, c’est difficielment mentalement de savoir que sur une Coupe du monde, on ne pourra pas viser au minimum le top 10.

Vous avez quand même tenu à faire le maximum sur les Championnats de France mais vous étiez diminué…

C’était mon grand objectif de l’hiver. A l’approche de la course, j’avais de bonnes sensations, mais malheureusement, j’ai chopé une gastro quelques jours avant, et je suis arrivé très affaibli au départ. Et pour ajouter à la difficulté, la météo était très compliquée. Je suis un frileux et je n’ai pas la puissance pour répondre à un Francis Mourey, par exemple, quand le terrain est boueux.

Puisque vous parlez de Francis Mourey, quelles sont ses chances pour les Championnats du monde, qui ont lieu ce samedi soir ?

Je pense qu’il peut être champion du monde. Je lis souvent les forums et je vois beaucoup de critiques le concernant. Je trouve que les gens sont durs avec lui. Il a toujours répondu présent lors des grands rendez-vous. S’il gagne ou même s’il fait un podium, ce serait aussi un beau message envoyé à la Fédération Française de Cyclisme. Cette dernière ne suit pas beaucoup notre discipline, ce qui est dommage. Je souhaite de tout coeur que Francis fasse un gros résultat. En plus, les Belges n’auront pas quarante paires de roues comme en Coupe du monde. Il n’y aura pas tout ce public acquis à leur cause. Le fait que la course se déroule aux Etats-Unis peut avantager un coureur comme Francis.
« Je n’ai jamais pu m’exprimer pleinement à la FDJ »

Parlons maintenant de la route : vous avez décidé de quitter la FDJ pour rejoindre AG2R La Mondiale. Pourquoi ?

A la FDJ, il y avait un groupe très performant pour les classiques. Entre Offredo, Ladagnous, Démare, c’était difficile de se faire une place. Je ne me suis jamais retrouvé dans la position de leader. Dans celle d’électron libre non plus, d’ailleurs. Je n’ai jamais pu m’exprimer pleinement et je n’ai jamais eu la confiance de l’équipe. Du coup, dès la fin des classiques du nord de 2012, j’ai su que c’était ma dernière saison chez la FDJ. Je suis un affectif, j’ai besoin d’avoir la sensation que l’on croit en moi. Aujourd’hui, j’ai 29 ans : j’arrive à maturité. Il était temps pour moi de partir dans une équipe où je pouvais être leader sur les Flandriennes. J’ai toujours marché sur les sept ou huit courses du nord, mais sans pouvoir jouer ma carte personnelle.

Mais AG2R La Mondiale ayant un effectif moins riche pour les classiques, n’avez-vous pas peur de vous retrouver esseulé ?

Pas forcément. J’espère que je vais réussir à féderer autour de moi, qu’il y aura deux ou trois coureurs pour me protéger pendant 150 kilomètres et qu’après ce sera à moi de faire le boulot. Je vais essayer d’apporter mon expérience de ce genre de course, ainsi qu’au niveau du matériel. Je regrette cependant que Lloyd Mondory ne puisse pas être de la partie à cause de ses pépins de santé. Mais je sais que je pourrai compter sur des gars comme Sébastien Minard. En tout cas, je suis certain qu’avec un état d’esprit collectif, on répondra présents.

« Avec Yoann Offredo, on aurait pu faire de belles choses »

Tout le monde se souvient de votre attaque sur Milan San Remo en 2011 avec Yoann Offredo. Ne regrettez-vous pas de rompre ce binôme qui était prometteur ?

J’aurais bien aimé continuer avec Yoann. Mais je n’ai pas de regrets car la FDJ a plus vu Yoann que Steve. (Il s’interrompt) C’est sûr que l’on aurait pu faire de belles choses… Cette attaque sur Milan-Sanremo, en 2011, n’en était qu’un aperçu. Par la suite, nous n’avons pas eu l’occasion de reproduire cela, à cause des blessures puis de la suspension de Yoann. Après ce fameux Milan-Sanremo, je n’ai pas eu la juste récompense, simplement une tape sur le dos. Cette course aurait pu être un tournant dans ma carrière si j’avais couru pour moi. Maintenant, j’espère que Yoyo va faire de grandes choses, et je suis sûr qu’il va avoir la gnaque. Même s’il a fait une connerie avec son logiciel Adams, un an de suspension, quand on sait que d’autres ont pu revenir plus tôt pour d’autres faits, c’est une honte.

On vous a souvent vu anticiper par le passé sur les Flandriennes, ce nouveau statut de leader va t-il changer votre manière d’aborder le final des courses ?

Non, je ne pense pas que je vais changer ma tactique. Je ne peux pas rester au contact d’un Cancellara ou d’un Boonen sur un Tour des Flandres par exemple. Compte tenu de leur puissance, ils me feraient sauter de leur roue. Au contraire, je dois anticiper sur ce genre de course, et si un groupe de costauds rentre sur moi, je chercherai à m’accrocher et ensuite à faire jouer ma pointe de vitesse. Je joue gagnant : chercher à rester au contact des favoris pour faire une placette ne m’intéresse pas.

« A propositions égales entre Sky et AG2R, j’aurais choisi AG2R »

Vous êtes très proche de John Gadret. Sa présence chez AG2R La Mondiale a-t-elle pesé dans votre choix de rejoindre cette équipe ?

Maintenant on peut le dire. A propositions égales entre Sky et AG2R La Mondiale, j’aurais choisi AG2R La Mondiale. J’avoue que j’avais très envie de rejoindre mon ami. Et pourtant, on ne va pas courir souvent ensemble cette saison. Mais le fait de se retrouver lors des stages, c’était déjà super. Je suis également très proche de Sébastien Minard : on se connait depuis 2000 par la voie du cyclocross. Pour le reste, il y a une très bonne complicité avec les autres coureurs du groupe. C’est nickel !

Quel est votre programme jusqu’aux Flandriennes ?

Tour du Qatar (qui commence dimanche, ndlr) et le Tour d’Oman pour faire du foncier. Je vais chercher à protéger nos sprinteurs, à savoir Davide Appolonio et Yauheni Hutarovich. Ensuite, je vais attaquer les courses qui me correspondent avec le Het Nieuwsblad, Kuurne-Bruxelles-Kuurne, la Montepaschi Strade Bianche. Le but, c’est d’être compétitif dès Milan-San Remo et jusqu’à Paris-Roubaix.

Hoogerland c'est pas celui qui avait volé dans les barbelés sur le Tour 2011 ?
il a pas de bol lui !!!