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Ça devient technique mais c'est lié entre autre chose à des facteurs génétiques et epigenetique.

ce rapport Campbell, on le trouve en français... j'ai peur que ce soit un peu rébarbatif . FVI70 tu l'as acheté en français ou version ang ? Y a pas un pdf qui traîne, ca m'intéresse quand même mais en anglais j'ai peur d'y passer trop de temps et surtout je crains de louper des nuances !

je me permets d'ajouter ce point critique et argumenté

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=r ... G4&cad=rja

et surtout ce lien vers le site qui donne le pdf ci-dessous et qui parle d'alimentation, de diététique

http://clairetlipide.wordpress.com/

Le bouquin de Campbell se lit bien. C'est plutôt intéressant. Enfin c'est mon domaine de recherche aussi donc c'est normal.
L'analyse qui soulève des points intéressants s'aligne avec ce que je pense être correct concernant un point particulier. À savoir l'existence d'une variable confondue qui est je pense la façon dont on obtient nos produits animaliers. Et je pense que c'est la le facteur qui augmente fortement les risques de cancer et autres maladies. Malheureusement il est bien difficile d'être sur de la qualité de sa viande ou son poisson etc alors que c'est plus facile d'avoir des légumes et fruits de qualité.

L'argument contre l'analyse contre Campbell en revanche est que ça n'est que conjectural. La réponse normale si on est pas d'accord avec les résultats est de faire sa propre étude et de montrer les points incorrects donc juste répondre par le biais d'une lettre même longue et argumentée, ça ne remplace pas une bonne étude. Et Campbell fournit les 750 références qui supportent ses résultats.

Oui tout à fait d’accord avec ta variable confondue. Et là-dessus, franchement…. Pas besoin d’être médecin ou de faire des tonnes de recherches scientifiques. Comment ne pas avoir de mauvaises surprises si on se gave d’animaux élevés aux antibiotiques, aux hormones machins ou bidules… ?? Sur ce point je pense qu’on va payer d’une manière ou d’une autre notre irresponsabilité.

Pour en revenir à The China Study, oui j’ai la version anglaise… et je viens de voir qu’il y a un nombre assez élevé de conférences sur ce livre sur Youtube (pour, contre, p’t’être bien que oui, p’t’être bien que non,... ). Donc il y a de quoi faire au moins jusqu’à l’hiver.

Juste un commentaire… le fait que les protéines soient (peut-être…) dangereuses n’invalide pas forcément la thèse selon laquelle il y aurait (peut-être…) des personnes « carb resistant ». Dans ce cas il faudrait choisir le moins mauvais (qui pourrait varier selon les caractéristiques de chaque individu).

Cependant, il y a un truc sur lequel tout le monde est d’accord : les points 1 et 2 mentionés par FranchM plus haut. Et là déjà… il y a de quoi faire…

l'apport en protéine "propre" genre gélule peut-il aider au quotidien dans le cadre d'une fonte "légère" ?

Non. (c'est la reponse rapide )

Je ne serai pas aussi catégorique que FanchM même s'il est utile de ne pas croire aux miracles. Mais chez des sujets en excès pondéral, la prise de whey, avant le repas (autour de 30-45 mn) a aidé à diminuer la prise spontanée d'aliments et a améliorés l'insulino sécrétion post prandiale. Les essais ont été fait jusqu'à 40 gr par prise. Mais un résultat probant sur un test de laboratoire, de quelques semaines, doit être regardé pour ce qu'il est; probablement pas comme une marche à suivre de façon chronique et aveugle. En nutrition, il n'y a pas de recettes miracles (du moins je n'en connais pas) mais plutôt comme des orientations.

Malheureusement, les quelques etudes qui ont montre ca n'etaient guere convaincantes et ont souleve beaucoup de questions.
En particulier, que la prise de proteines (normales...de la bouffe quoi) en debut de repas a un effet superieur a l'utilisation de
whey protein...

Et surtout, une surchage legere...d'eau...avant le repas montre un effet sur la satiete, superieure aux proteines de lait, de pois,
ou whey...

(et dernier detail...ces etudes ne sont pas des etudes de labos, mais des etudes cliniques...il y a une grande difference.)

"Et surtout, une surchage legere...d'eau...avant le repas montre un effet sur la satiete"

Il n'est pas certain que l'eau, avec un effet satiétogène comme les protéines, module la sécrétion d'insuline post prandiale.

Il est meme certain qu'il n'y apas de modulation de secretion d'insuline post prandiale avec de l'eau. Mais l'effet de satiete est clair et plus prononce,
et le resultat est une consommation inferieure.

ok, merci, j'ai compris ! je continue de suivre mon régime alimentaire SANS apport sup. de protéine... après tout, j'ai probablement déjà atteint ce poids d'équilibre.

Autre question aux experts (si si !). Est-ce que l'on continue à "sécher" 1 à 2 jours après des efforts d'endurance longs (genre semi, marathon, trail, épreuves physiques éprouvantes) ?

Désolé j'ai lu les 4 pages en diagonale car s'était un peu trop technique pour moi.

J'ai testé les brûles graisses ( Lipo 6, Hydroxycut, etc..) quand je faisais des sports de combat et de la salle de sport ( il y a de ça 3 ans et 20Kg)
cela m'a permis de brûler quelques euros, c'est tout ! j'ai tenté le coup car c'était pas trop chère (je me fourni sur prozis.com) mais cela n'a rien donné d'un point de vue perte de graisse.
Le coté négatif c'est que cela augmente aussi ta température corporelle (thermogenèse, je crois) pour faire fondre... Bref, en gros tu crève de chaud et transpires 2 fois plus.

Pour ce qui est de perdre ma graisse abdominale, je fais du compex en localisé, le résultat est plus prononcé.

@ falkner
La physiologie montre que sur une épreuve longue, comme un marathon, vous avez une amélioration du métabolisme des acides gras, en post effort, et pendant plusieurs heures. Mais vous avez ce plus avec des activités de type interval-training, aussi relié, là, à l'hormone de croissance. Il existe des différences d'importance selon le sexe (homme +++), l'importance de la masse grasse (obèse ---), l'état pathologique , et l'état nutri .

ctrape a écrit :@ falkner
La physiologie montre que sur une épreuve longue, comme un marathon, vous avez une amélioration du métabolisme des acides gras, en post effort, et pendant plusieurs heures. Mais vous avez ce plus avec des activités de type interval-training, aussi relié, là, à l'hormone de croissance. Il existe des différences d'importance selon le sexe (homme +++), l'importance de la masse grasse (obèse ---), l'état pathologique , et l'état nutri .

merci pour la réponse. Quand tu parles d'interval-training tu fais référence aux variations d'allures sur la sortie ou alors simplement sur de la séance simple de fractionnés c'est à dire courte et explosive plutôt que longue avec des variations progressives de l'allure ?

En tout cas, merci pour les réponses très intéressantes