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Publié : 26 juin 2006, 15:48
par TRI-LA
Je pense que ce que tu dis est tout à fait vrai pour un sport technique ou à risque, un peu moins dans les sports plus "physiques".

Par expérience quand je joue au golf la visualisation pour maitriser mes émotions est tès importantes et de nombreux golfeurs ont des coachs pour le mental, c'est assez identique dans les sports comme le tennis ou le ski comme tu le dis...

Pour les sports plus physiques quand on a la caisse c'est rare que l'on se plante complètement, en tout cas vu de mon expérience en vélo et ma tte nouvelle expérience en tri...

Qu'en pensez-vous ?

Publié : 26 juin 2006, 16:10
par SG
TRI-LA a écrit :Je pense que ce que tu dis est tout à fait vrai pour un sport technique ou à risque, un peu moins dans les sports plus "physiques".

Par expérience quand je joue au golf la visualisation pour maitriser mes émotions est tès importantes et de nombreux golfeurs ont des coachs pour le mental, c'est assez identique dans les sports comme le tennis ou le ski comme tu le dis...

Pour les sports plus physiques quand on a la caisse c'est rare que l'on se plante complètement, en tout cas vu de mon expérience en vélo et ma tte nouvelle expérience en tri...

Qu'en pensez-vous ?
Mes 18 ans dans le tri me font dire que ç'est kiffkiff. Le skieur était juste un example mais ça peut s'appliquer à n'importe quel sport.
J'ai connu plusieurs personnes qui avait une peur bleue des départs natations, impossible d'éxprimer leur potentiel, juste un example.
J'ai connu aussi un gars à très haut niveau qui m'a dit un jour "Steph, tu sais, la peur de gagner ça existe"

Publié : 26 juin 2006, 16:31
par terry
Dans le cas du skieur qui à peur de se ramasser, le prob c'est qu'il réfléchis et qu'il "pense" lorsque l'on veux trop bien faire et réfléchir à ce qu'on veux faire, cette méthode d'exécution du mouvement quel que sois le sport est beaucoup plus lente qu'une éxécution en "mode réflexe" c'est pour cela que je disais qu'en course il est beaucoup trop tard pour réflechir à ce qu'on fait et qu'il faut faire confiance aux automatisme développé en entrainement.

Quand je ramais, les seuls départs que j'ai foiré (en quand une course se jour parfois à quelques centième de sec. il vaux mieux ne pas les rater) c'était lorsque je réfléchissais à mes mouvement et à ma technique (on visualise avant les courses, pas pendant).

Quand un athlète à des problèmes psychologiques à régler, c'est à l'entrainement qu'il les règles (quand je parle de problèmes psychologique c'est une certaine peur d'une éxécution imparfaite ou un manque de confiance en lui) en course quel que sois le sport IL EST TROP TARD, donc fonce, ne réflèchis pas ton corp est capable d'encaisser et les connexion neuronale dans ton cerveau ont été développé pendant l'entrainement et la visualisation (je trouve ca important la visualisation, ca permet d'envisager à l'avance toutes les situations de course et de travailler ses automatismes pour y réagir avant même qu'ils n'apparaissent)

Tout ce que fait un soffrologue ou un motivateur c'est de faire comprendre que se sont ses automatisme qui vont tout régler point barre !

Avec l'équipe nationale on avait déjà eu des scéances avec des motivateurs, quel perte de temps et de budget (ils auraient mieux fait de filer le pognon aux athlètes, aux entraineurs ou aux club) le meilleur travail qu'on puisse faire pour se remonter le morale ou prendre conscience de quelques trucs, c'est de discuter avec un athlète (peu importe le sport) qui à une expérience de haut niveau, en lui expliquant les doutes qu'on ressent il nous pourra nous dire comme lui se sentais (si c'est pas un frimeur il te dira aussi qu'il en chiais dans ses culotte) et comment il gérais cela (souvent tu fonte et t'arrête d'y penser) et pouf de facon magique tu sais tout de la soffrologie !

Bref pour résumer, pour moi, la meilleur technioque de motivation c'est... Visualisation (les premièere fois c'est difficile parcequ'on se viande tout le temps mais avec de la pratique ca viens), demander conseil sans avoir peur de déranger (pas aller demander quelque chose avant une course biensur mais après j'ai déjà été discuter avec des champions du monde (d'aviron bien sur puisque je suis un bleu en triathlon) sans jamais me faire jetter et ils étaient content de m'expliquer leurs méthodes d'entrainement. Et ensuite de foncer sans se poser de questions, la peur est tres importante pour la performance donc faut pas essayer de la faire partir.

Mais bon, je dis ca, je dis rien... je vais d'abord continuer à essayer d'aprendre à flotter pour pouvoir faire du triathlon et apres je vous dirais si ce que je vous ai raconté c'etait du n'importe quoi ou si j'ai pu utiliser ce que je connaissais ailleur en tri (mon premier c'est un sprint donc j'aurai de toute facon pas trop le temps de réfléchir ;-)