IM Nice Live

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SG
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FanchM a écrit : Et quand j'habitais en Australie, la c'etait le top, avec les Test matches de Cricket!!! alors je vous garantis que si le foot c'est con, le cricket, c'est hallucinant...3 jours pour finir un match et un des seuls sports ou lorsqu'on voit le score on ne sait meme pas qui gagne!
Lorsque j'étais à l'école, J'en ai fait 4 ans a Manly, NSW et j'ai bien aimé. Bon
c'est vrai qu'à la télé ça peut être aussi chiant que le golf mais je préfere ça au baseball.

" A few Fosters and take it easy mate " :wink:
SG
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Sinon, un constat sur le papier, Gafy et Chabaud semblent avoir payé Lorient couru 2 semaines avant seulement. Pour Gaël c'était clair avant le départ ,il avait annoncé un "quitte ou double" sur cette épreuve et c'est engagé au dernier moment. Pour Chabaud , je trouve dommage de saboter une qualif pour Hawaii avec 2 courses si rapprochées. Bien sur on est jamais dans la peau des uns et des autres mais je pose la question " y aurait'il pas une érreur proféssionelle ? "
ironchris
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Stade 2, c'est fini pour moi! Je le suivais seulement si chez moi, mais maintenant, je zaperai purement et simplement cette merde! J'ai d'ailleur entendu dire qu'il y avait des négociations eutres eux et C+ pour le foot!
Les fanas de foot vont être content, mais entre toutes les emissions qu'ils ont déjà, je ne vois pas ce qu'ils vont pouvoir voir de plus des matchs!?

Bravo à Hervé Faure pour sa performance. Une victoire sur Ironman, c'est quelque chose!
Bravo aussi à Yves Tabarant, c'est tout simplement exceptionnel pour moi :sm6: , pas pour lui :D
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Joel
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Message non lu par Joel »

Ironchris, quelques photos ici avec Yves en attendant qu'on en mette plus dans un album
http://www.triathlonperformance.com/php ... .php?t=240
Optimiser votre position vélo ?
http://www.velofitting.com

Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le chemin est le bonheur.
Valerian
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juste une question, car je n'ai pas trop suivi la course, mais en voyant les temps j'ai été un peu surpris : il faisait 45km le marathon ou quoi???
bravo à tous en tous cas!
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dayveur_tri
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Message non lu par dayveur_tri »

euh faure met 2h55 quand meme ac la chaleur jtrouve ça pas mal lol :wink:
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avec 2 i
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Message non lu par avec 2 i »

Oui, je pense que la chaleur est responsable des temps marathon un peu plus long que d'habitude ..... enfin, l'an dernier, il a mis 2h50 à Gérardmer et on a dit qu'il n'y avait pas la distance donc :roll:
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FanchM
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Message non lu par FanchM »

LOL! Manly, ses plages, ses babes! ;-)

Le Baseball c'est vrai que c'est achtement con...
SG a écrit :
FanchM a écrit : Et quand j'habitais en Australie, la c'etait le top, avec les Test matches de Cricket!!! alors je vous garantis que si le foot c'est con, le cricket, c'est hallucinant...3 jours pour finir un match et un des seuls sports ou lorsqu'on voit le score on ne sait meme pas qui gagne!
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c'est vrai qu'à la télé ça peut être aussi chiant que le golf mais je préfere ça au baseball.

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zefrenchcarotte
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un petit tour & puis s'en va

Message non lu par zefrenchcarotte »

Triathlon IRONMAN Nice - 19 juin 2005

Que faire lorsque l’on a déjà réalisé son rêve de gosse, à savoir faire le triathlon que beaucoup [de français] qualifient de plus dur au Monde, c'est-à-dire Embrun ?

Toute la difficulté pour se remotiver après avoir atteint un objectif comme celui là fait surface dans les jours, semaines & mois qui suivent. Pas évident de reprendre le chemin des bacs où l’on pirouette cacahuète tous les 25m, de repartir rouler sur les routes plates d’Ile de France ou de s’enquiller des tours de pistes lorsque l’on a goûté à la natation en eau libre, aux cols des Hautes Alpes & au tour à pied de l’Embrunnais.

Et puis le besoin de suer, s’arracher, cracher ses poumons revient, et vient alors le temps du choix des épreuves de l’année suivante. Et tant qu’à faire, autant programmer un ou plusieurs petits triathlons « histoire de »… Rien que pour voir si ce n’est pas sur un malentendu que mes petits pieds 43 fillettes m’ont porté jusqu’à la ligne d’arrivée embrunnaise.

Bref, 2005 sera l’année Homme de Fer ou ne sera pas. Au programme, Nice en juin, Embrun en Aout, & si mes petits muscles le veulent bien la Floride en novembre, pour mon anniversaire.

Le succès dans ce genre d’entreprise, c’est beaucoup de mental, un peu de physique & un soupçon de réussite. Le mental, ça va, dans le genre tête de mule, je pense que je n’ai pas à rougir face à ces curieux quadrupèdes à grandes oreilles, côté physique Stallone peut dormir tranquille mais ça devrait suffire, côté réussite, quid ?

Pas de blessures cet hiver, un entraînement qui a plutôt bien tourné, sans baisse de tension à certaines périodes comme l’an passé [l’habitude de l’entraînement journalier, y’a pas, ça aide], des temps natation & cap à la baisse, des entraînements vélo gênés par l’hiver, la neige & le verglas notamment sur février mars, mais bon, jusque là, tout allait bien.

Vient la semaine avant Nice. 2 bonnes journées passées dans le Queyras pour un camp de lecteurs vtt de Vélo Vert, du vtt pur jus à 2000m d’altitude, puis redescente à Embrun pour 3 jours avec une ascension de l’Izoard en préambule du 15 Août, afin de filer sur Nice.

C’est là que tout semble se compliquer, ou du moins fortement s’assombrir. A 5 minutes de découvrir notre location, le rétro droit déroule le film plutôt glauque de branleurs en scooter essayant de voler les sacs de passagères n’ayant pas pris la précaution de planquer leurs sacs à mains & de verrouiller les portières. Ambiance coups de poing dans ta gueule & hurlements juste derrière nous, moi ayant réagi au dernier moment en actionnant la condamnation centralisée. Ca calme, et surtout ça remue un peu, genre mais où on a atterri.

Enfin bon, on est arrivé, il ne peut plus rien nous arrivé. Découverte de notre loc. Ah ben en fait, si ! ça pouvait être pire  … L’appart est vieux, ce qui n’est pas une tare en soit, sauf que la crasse accompagne les années visiblement, et par bonheur l’appart donnant sur la Promenade des Anglais se révèle donner non seulement sur la voie préférée des brit’s mais aussi sur la voie rapide 2 x 4 voies qui traverse Nice, & pour ne rien gâcher se trouve pile poil en bout de piste de l’arrêt au port. Que du bonheur. 2 nuits quasi blanche auront raison de ma patience, on dégage direction Cagnes sur Mer & un endroit infiniment plus calme et tranquille où le chant des oiseaux devient soudain strident 

Repérage d’une partie du circuit vélo le mercredi, un peu de cap sur la Prom’, un peu de natation en mer où j’ai bien cru donné à manger aux goélands le premier jour vu la houle plus que prononcée. Récupération du dossard le jeudi, maintenant y’a plus qu’à…

La course :

DNF = Do Not Finish
C’est la première fois depuis le Roc d’Azur 1999 & des casses de chaîne à répétition que je ne finis pas une course, mais surtout c’est la première fois que c’est moi qui le décide, ma tête au moins tout autant que le physique.

Retour sur une journée qui ne s’annonçait pas bien :

Depuis quelques jours, je ne ressentais pas la pression oppressante mais motivante que l’on a à l’approche de tous les examens ou moments forts de sa vie. Plutôt une sourde angoissante où déjà résonnait un « vais-je finir ? » plutôt pessimiste.

Levé 4h30 du mat’, petit déj difficile à passer comme d’habitude, puis petit à petit l’idée grandissante de se demander ce que je foutais dans cette galère. Pas bon lorsque l’on part pour minimum 11h d’effort…

Le parc grouille déjà quand j’y entre à 5h20. Dépôt des dernières affaires, des ravitaillements perso, un signe peut être, je n’en ai pas prévu à pied, mais il y a des gels Powerbar que j’utilise toute l’année, donc…

A 6h, tout le monde est prié d’évacuer & d’enfiler la combinaison. A 6h15, tout le monde est en bas sur la plage, à s’échauffer au sec ou dans l’eau.

6h30, c’est parti ! Je me suis placé dans le sas des 1h02, juste à côté des pros, en me disant que je dois être capable de nager les 3800m en moins de 1h eu égard à mes temps hivernaux. Même si la houle est très faible, elle suffit pour énormément gêner notre orientation & au repérage de ces foutues bouées rouges minuscules. J’ai l’impression que tout le monde zigzague beaucoup dans la première ligne droite, on arrive à nager sans trop frotter, puis virage à droite pour environ 200m avant un nouveau virage en direction de la plage. Aux 1900m, on passe sur la plage pour que les spectateurs puissent repérer les triathlètes qu’ils encouragent, bonne initiative qui se généralise de plus en plus, surtout sur les longues distances. Je passe en 30’, je suis dans les temps. Le deuxième tour est un peu monotone, & surtout je commence à me demander à nouveau ce que je fais là. J’ai beau essayé de positiver, je n’y arrive pas & je sens bien que je ne suis pas dans la course, que je n’ai pas cette petite étincelle qui fait aller de l’avant quelques soient les difficultés.

Sortie en 1h02 finalement, déçu de mon temps, mais ces 2’ ne viendront pas peser très lourd dans la balance de toute façon. Je pense être entre 100 & 200ème.

Transition sous la tente où les GO nous enduisent de crème solaire, la canicule est prévue pour la journée, riche idée ! Sortie, course en chaussette à travers tout le parc pour aller chercher mon vélo à l’emplacement 81, chaussures de vélo enfilées & zouz’ direction la sortie pour 180km.

La mise en route est plutôt bonne, comme je m’en doutais ça roule à plus de 40 à l’heure, mais je parviens à suivre tout en restant sagement sous les 160 pulsations. Après 15km, je m’agace déjà à voir certains doublés se mettre dans la roue dés qu’ils peuvent, à voir certains doubleurs rester dans l’aspiration & « déboîter » au dernier moment, du drafting comme on ne devrait jamais en voir sur ce type de course.

Après 25km, ascension vers le village de Carros, là où tout commence à se gâter. Alors que je suis passer lors de ma reconnaissance du mercredi sur la plaque assez facilement, je mets le petit plateau en course & temporise tant je n’ai pas de force dans les jambes. En haut, une bonne quinzaine de gars m’ont passé sans que je puisse faire quoi que ce soit,

On bascule en haut sur une belle descente au revêtement tout neuf, un régal. Je fais la descente à fond, ça me fait un peu rigoler de voir certains arrêter dans les épingles, mais c’est eux qui l’instant d’avant devait bien rigoler de me voir péniblement gravir la côte.

En bas, je vois Christelle qui m’a accompagné au parc le matin & est venu jusqu’à ce point en voiture. Un petit coucou pour la photo, mais je sens que je me force. Dans la bosse qui suis, un gars me lance « tu descends bien mais tu montes pas génial ! » . Je rigole, mais ça me fout un peu les boules car je sens bien que je ne suis pas dans un bon jour.

La suite du parcours est une succession de bosses plus ou moins longues, plein de relances, quelques descentes, c’est beau mais ça manque cruellement de spectateurs, en gros j’ai l’impression d’être un peu seul dans ma galère & je commence sérieusement à me faire ch… Un p’tit coucou à Lionel de Mavic qui est sur les postes d’assistance, lui aussi n’a pas l’air d’avoir trop de boulot  ! Je n’arrive pas à tenir sur le prolongateur, j’ai plutôt l’air d’un cyclo avec les mains sur les cocottes, vraiment c’est pas ma journée.

Dans ma tête, j’ai déjà pris la décision de ne pas courir le long à Embrun, le court me suffira & je profiterai de l’EmbrunMan ensuite pour encourager Gilles Reboul. Je n’ai pas trop de nouvelles de lui mais il avait l’air super motivé au départ, j’espère qu’il ne connaîtra pas de galère aujourd’hui.

Au bout de 130km, je retrouve Christelle, re coucou pour les photos mais là c’est clair, je n’y suis plus du tout. Je ne pense qu’à une chose, finir & basta, je ne remets plus les pieds sur IronMan les prochaines années. La chaleur est vraiment horrible, en plus on repart sur une portion déjà effectuée au début (la fameuse côte), je reprends quelques gars & me sens plutôt bien mais je suis loin d’être serein. Ne supportant que mal la chaleur, je ne cesse de m’arroser pour éviter le coup de chaud, & consomme plus que les 3 bidons d’eau que j’arrive à saisir tous les 20km. Ca promet pour la course à pied sur la Promenade des Anglais…

Alors que je pense en finir avec le vélo et basculer à gauche vers Nice, on me fait signe de remonter à droite. Je pige pas là ? En face, des triathlètes redescendent et virent vers Nice. En fait, on nous fait monter 3km, puis demi tour et vamos a la casa, tout ça pour avoir les 180km au compteur. Ca me fout hors de moi qu’on puisse à ce point nous prendre pour des cons. Faudra vraiment qu’on m’explique le plaisir que l’on peut prendre à ce moment là.

Arrivé sur la Prom’, je croise déjà les premiers coureurs, Gilles est en tête, je l’encourage tant que je peux en oubliant carrément que moi aussi je suis dans la course. Passe ensuite Hervé Faure qui a l’air super bien, un italien, puis René Rovéra qui souffre visiblement & Tim De Boom annoncé comme la star mais qui n’a visiblement pas digéré le parcours vélo. Pas de François Chabaud ou Gafy Mainard, pas non plus Wendy Igraham, la chaleur a fait son effet.

Dans l’air de transition, il faut courir tout au bout pour aller poser son vélo, je mets finalement 6h & des bananes transitions comprises, et pointe aux alentours de la 230ème place. J’avais prévu à peu près ce temps suite à la reco des 60 premiers km, mais en fait j’aurais du faire 15 à 30’ minutes de moins si j’avais eu les jambes…

On se change encore sous la tente, je retire les chaussettes & là gloups, mes pieds sont détrempés par l’eau dont je me suis aspergé tout au long des 180km, & les chairs ramollies ne présagent rien de bon pour la cap, où les ampoules risquent très vite de me faire clignoter.

Je m’élance sous le cagnard & les encouragements de la miss toujours présente, j’ai finalement laissé l’accéléromètre Polar à la transition, je préfère courrir aux sensations… qui sont horribles. Pas de pied, mal placé, heurtant le sol à chaque impact, je cours pendant 1km500 avant de voir leur saleté de premier ravito. La chaleur a déjà eu le temps de m’assécher, je vide 3 gobelets d’eau fraîche (bien pensé les sacs de glace), un peu de coca & ça repart. 3km plus loin, deuxième ravito, je cours à 10km/h (si on peut appeler ça courrir), un gel, de l’eau, encore de l’eau, puis direction le bout de la Prom pour le demi tour.

Je suis pris à la gorge par la chaleur mais surtout la pollution ambiante car nous courrons sur une file (une file réservée au vélo, une autre à l’aller cap, une autre au retour cap) & les voitures sont juste à côté de nous. Demi tour, je passe au premier pointage… et je marche. J’ai l’impression d’être soudain un cochon d’inde que l’on fait tourner en rond dans sa cage, très peu de gens encouragent mais beaucoup traversent en revanche au mépris des coureurs & cyclistes & de leur sécurité (sans parler du respect de l’effort).

Je ne repars pas, c’est fini, cette course à pied ne rime à rien pour moi, ma tête me dit clairement que je ne veux pas souffrir aujourd’hui, et puis je n’ai pas envie de me retrouver sur une civière. Sans parler de ce parcours à pied nul au possible où les meilleurs sont parfois gênés par ceux dont le seul but est de finir, coûte que coûte. Pour ma part, avec Embrun en poche, l’objectif n’était pas juste de franchir la ligne mais bien de faire une belle course.

Au cours de cette journée, j’ai réalisé combien je n’avais en fait pas envie de faire un IronMan juste pour dire « un de plus ». Le plaisir n’a rien à voir comparer à l’aboutissement de mon rêve embrunnais, & j’ai donc décidé de ne plus prendre part à un IronMan, tant l’investissement & les sacrifices sont importants. Si j’avais le temps de m’entraîner pour tenter la qualif à Hawaï, je ne dis pas, mais avec mes 50 à 60 heures hebdo & surtout mes capacités physiques qui sont loin d’être hors normes, il vaut mieux être réaliste & humble, se faire plaisir sur des courtes distances ou des moyennes distances & profiter de la vie, de la famille, des amis.

Je ne m'apesantirai pas sur ce triathlon de Nice, mais je cherche encore ce que les triathlètes lui trouvent. Certes j'en ai vu [bcp] parader en singlet / débardeur comme des cakes sur la promenade le dimanche dans le style oui oui je suis aussi triathlète moi, certes le parcours vélo est sympa tant qu'on ne repasse pas au même endroit ou que l'on ne fait pas qques km dans un sens pour faire demi tour en haut, mais la fête à laquelle je m'attendais n'y était pas, ou vraiment pas comme je les aime... payer 15 euros 15' de massage, 20 euros pour une pasta party pour le conjoint et j'en passe, quand on a déjà lâcher 300 euros dans une inscription, je trouve ça minable. Et le pire de tout reste cette cap avec un parcours nullissime où l'on prend les triathlètes pour des hamsters, franchement c'était pitoyable d'autant que les niçois n'en ont visiblement rien à foutre du tri. Quant au plateau, ben c'est bête à dire mais ça reste un IM très franco français où les "stars" annoncées & en nb fort réduit finissent loin ou pas. Tant mieux pour nos français qui s'en sont admirablement tirés, tant mieux pour leurs comptes en banque, mais encore raté pour la partie médiatisation / grosse bataille...

Donc rendez vous à Embrun mais sur le courte distance, pour + de plaisir & - d’inquiétude pour les proches. Et aussi sur des triathlons authentiques type Sapin / Dijon & j'en passe. Et puis sur plus de randos & courses marathon vtt, sans oublier la cap, mais là aussi en ne montant pas au delà du semi marathon.

Plaisir je vous dis ! Et félicitations à tous les finishers évidemment !
vive les gueux, vive le triathlon & chions sur Libération !
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J
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Message non lu par J »

allez la carotte, un petit coup de blues ça arrive..mais en tout cas j'imagine que se lancer là dessus sans envie, c'est plus pénible qu'autre chose...
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait (Mark Twain)
-Antoine-
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Message non lu par -Antoine- »

Hello les forumeurs!
Bon, de retour au boulot (ouille!) j'ai vu vos petits messages! Pour une fois c'est moi qui y étais!!!!!
Je n'ai pas le même avis que ZFC sur la course mais bon... c'est perso...
J'ai aimé la natation, surtout le second tour, mais j'aime nager seul. Le vélo était beau, mais j'ai l'habitude de rouler seul, et la course à pied eh bien, courir avec du monde c'est plus sympa que courir tout seul! Et pour moi, le fait de faire 4 A/R est dur psychologiquement et comme c'est ce que je recherchais... ça me va!

Voilà le récit brut de la journée. Je mettrai sur mon blog un post sur l'avant et l'après course et les idées d'entrainement pour une prépa IM que cela m'a donné!

"Lever 4H, j’ai dormi comme un bébé et c’est ma femme qui me tapote le dos pour me réveiller…je n’ai même pas entendu le téléphone sonner.
No stress !
L’hôtel a préparé un petit déjeuner spécial pour l’évènement. Sympa !

4H30 : départ pour le parc.

5H : arrivée au parc : je gonfle mes pneus, mets le compteur, les bidons, les chaussures, vérifie que tout est ok, fais un passage par mes sacs de transition pour déposer 2-3 bricoles et laisse mon sac ravito perso vélo.

6H : J’enfile ma combi, me tartine de Nok ET Vaseline au niveau du cou. Et je savoure le moment en regardant les athlètes descendre vers l’aire de départ natation.
15’ de bonheur qui m’appartiennent.

6H15 : Je fais un dernier baiser à ma douce, une poignée de main virile à Mitch (Enfin, son vrai prénom c'est Pierre), et je descends à mon tour. Je me place dans le sas « 1H10 », en 3ème ligne. Le speaker annonce 3’ avant le départ et nous nous mettons à taper dans nos mains… Je suis bien, heureux d’être là. Je profite de chaque seconde.
6H30 : c’est le coup de feu. Je me jette à l’eau et prends le rythme de ceux qui m’entourent. Cela part assez vite mais pas trop, donc je reste dans le paquet. Impossible de voir où on va, où sont les bouées rouges, je me contente de suivre. Je ne me fais pas trop bousculer, je trouve ma place. Tout se passe bien. Par contre, je ne respire qu’en 2 temps car j’ai le soleil rasant dans la figure sur la gauche et le rythme est quand même assez soutenu…(de plus je ne me suis pas échauffé…)
Le retour de la première boucle me permet d’avoir un peu plus d’espace et de nager en alternant 2 temps et 3 temps. Le goulot formé par les boudins gonflables pour nous canaliser sur la sortie à l’australienne nous tasse un peu. Je me prends un coup dans le bras et … je perds ma montre… Ma fidèle casio de 10 ans d’âge qui m’a accompagné dans tous les entraînements. Elle restera là en offrande à l’IM. Sa mission est achevée. Je me dis qu’au fond ce n’est pas plus mal. Inutile de se focaliser sur le chrono. J’avance jusqu’à 1m du bord dans 20cm d’eau pour ne pas avoir à marcher sur les galets, les bénévoles sont là pour m’aider à sortir. Et c’est parti pour le second tour ! La sortie à l’australienne a permis de disperser un peu les nageurs et je vise la bouée rouge au loin. Je me retrouve rapidement à au moins 20m sur la gauche des autres compétiteurs. Pourtant j’ai bien la bouée en ligne de mire…Je doute quelques instants d’avoir raté une bouée… pourtant non… Un kayakiste m’encourage et ne me dis rien d’autre donc…Mes accompagnateurs me diront que les nageurs effectuaient un arc de cercle en se suivant au lieu d’aller tout droit.
Je continue mon petit bonhomme de chemin. Je nage en 3 temps à présent en allongeant bien comme il faut et en me relâchant. Un peu à l’écart, je ne suis pas « dans les pieds » mais je prends plaisir à nager.

Sortie de l’eau, un sourire au public en délire et à mes 2 supporters et reporters. Je vois le chrono : un peu plus d’1H04 ! Je suis content de moi d’autant que je n’ai pas tapé dedans. Je récupère mon sac de transition et me change hors de la tente. Je mets mes gels dans la poche gauche, les barres dans la poche droite et un sac Malto+hydrixir au centre. J’ai adapté ma stratégie ravitaillement aux conditions : il y a un ravitaillement tous les 20/25kms, ce sera donc un bidon d’eau à chaque fois, et un grand bidon Malto+Hydrixir tous les 2 ravitos.
La zone de transition est très longue, j’ai donc mis les chaussures sur les pédales tenues par des élastiques pour ne pas avoir à courir avec, comme les pros quoi !
Le départ est conforme à ce que je pensais, c'est-à-dire : je n’arrête pas de me faire doubler alors que je mouline à 29-30kmsh. Après la promenade des anglais, le vent est de face, normal, vu la chaleur de la nuit !
Je suis étonné du nombre de petits groupes qui me doublent en draftant… je verrai même un triathlète dans l’aspi d’une camionnette pendant 3kms… ça se calmera un peu au fil de la course.
Au bout de 30kms (de vent de face), la première difficulté : la montée vers Carros : 4,5kms de montée et 3,5 de faux plat. Comme à Vendôme, je double pas mal de monde dans les montées, pourtant je ne force pas…Le compteur marque 22kmsh.
Première descente vers le rond point de la Manda et… comme à Vendôme je me fais déposer par des fous furieux. 45-50 voir 55 est pour moi largement suffisant et je n’ai pas envie de me retrouver dans le décor bêtement. Un premier coucou à mon équipe de supporters.
La chaleur commence à monter. Je fais bien attention à boire BEAUCOUP (2x en 5’ au lieu d’1x en temps normal), un gel par heure et un peu de barre énergétique aux 1/2H.
J’attaque à présent les 18kms de montée vers Pra David. Ça passe bien, je suis entre 20 et 25kmsh et double toujours autant de monde dans les montées. La faible vitesse permet de regarder le paysage et la température monte toujours.
Une petite descente pour récupérer avant la difficulté du parcours (en théorie) : une montée d’1,5kms vers Bouyon à 7% qui passe en 39x19 avec 50m sur le 21 pour ne pas forcer… Cela fait 2H30 que je suis sur le vélo et tout va bien.
Le paysage est grandiose, et la route jusqu’à Roquestéron permet de l’admirer (km86,5). Le vent a commencé à baisser, mais est en fait en train de tourner, et on l’aura de face pour le retour. Mais comme il est chaud donc moins dense, il n’est pas trop pénalisant. Par contre je me doute qu’il dessèche énormément et comme dans les descentes il vaut mieux rester les 2 mains sur le guidon, je veille à boire beaucoup juste avant et juste après. Par moment, j’éprouve la sensation d’ouvrir la porte d’un four en me prenant une bouffée d’air chaud.
Mais cela ne m’ennuie pas trop…alors que je déteste le chaud… comme quoi tout est psychologique !
Il n’y a pas foule sur le parcours, mais des gens nous encouragent à chaque village. Ca me va.
Ravito perso à Roquesteron et on attaque une zone de faux plat vent contraire jusqu’à Pierrefeu (km96) puis une montée vers Gilette (km108) qui tarde à venir (plus des successions de faux plats montants et descendants en fait).
Une grosse descente de 7kms ou … je me fais encore déposer et c’est 10kms vent de face sur la nationale pour avoir le droit de faire un coucou à mon « équipe » au 115ème et entamer un retour identique vent de dos jusqu’au Pont de l’Esteron.
On aborde à nouveau la montée vers Carros du début avec 100kms de plus dans les pattes. Du coup je mets 39x19 au lieu de 39x17 et je tourne souplement à 19kmsh, mais les autres ont ralenti d’autant, donc je double…il faut bien que je le fasse quelquepart !
Descente vers Gattières, beau paysage… un aller retour de 8kms faux plat montant/descendant, une descente vertigineuse jusqu’au plancher des vaches et il ne reste plus que 20kms de plat jusqu’au parc.
C’est l’heure du bilan : j’ai bien bu, plus ça aurait été difficile, je me suis alimenté correctement, et j’ai les sensations aux jambes qui correspondent à ce que je m’étais fixé. Donc c’est bon…par rapport à mon estimation…
J’enlève mes chaussures avant la zone de transition, je saute de mon vélo, et donne un baisser sur le guidon de mon BH en remerciement du service rendu (6H16 pour le vélo, mais il n’y a « que » 176,61kms à mon compteur) avant de le confier à un bénévole.
Je récupère mon sac, les bénévoles m’aident à me changer et me tartinent de crème solaire pendant que j’enfile mes chaussures. Je ne prends pas ma sacoche avec mes gels et je pense à coach Bertrand en me disant qu’il avait bien raison : courir à l’entraînement avec une sacoche ne pose pas problème, mais sur le marathon d’un IM, on n’a pas trop envie de s’encombrer, d'autant que les ravitos ont l'air copieux…
Je jette un œil au chrono : 7H31, coooolllll !
Je ne vois pas mon équipe de choc (j’ai été trop vite pour eux ;-), et j’entame la promenade des anglais.
Le parcours est un A/R à faire 4 fois en léger arc de cercle, donc on voit tout le parcours…Ah oui c’est loin quand même…
Je pars comme à l’entraînement. Je suis les conseils de coach Stéphane : je marche quelques mètres à chaque ravito pour m’alimenter. Il fait toujours aussi chaud, donc tous les 2,5kms c’est : 2 éponges sur la nuque, et en alternance : 2 verres d’eau / 2 verres d’eau+un gel (power bar goût passion, mon préféré !). Les bénévoles nous arrosent avec des jets d’eau à chaque fois.
Je croise les pros qui ont l’air d’en baver…
Fin du premier tour bouclé en 1H02 (pause pipi incluse). Ca va.
2kms plus loin, je sens les quadriceps se durcirent un peu. C’est assez ténu, mais j’écoute le signal d’alarme. Là je comprends une chose : un marathon à sec, c’est tenir une allure, un marathon sur IM, c’est gérer une condition physique. Je ralentis donc un peu, afin de m’économiser.
Second tour bouclé en 1H08…Ca va.
2kms plus loin, rebelote, ça va beaucoup moins bien tout à coup.
Je ralentis un peu jusqu’au 25ème et me rappelle les conseils d’un triathlète : si tu sens que tu commences à te cramer, force toi à marcher un peu au lieu de t’exploser complètement.
Je m’oblige donc (parce que marcher sur une course, je ne m’y suis jamais résigné) à marcher sur 1km après le demi tour.
Je recommence à trottiner après le ravito… mais là ça devient dur…les quadriceps un peu en béton… et mon genou gauche commence à me faire mal (vieille blessure de guerre).
Réflexion du tour : il faut être humble devant l’IM !
Je fais de petites pauses marche tous les 2kms, mais je me rends vite compte que : j’ai mal aux quadriceps quand je cours, je marche et lorsque je recours j’ai mal de la même façon…Donc je cours tant que je supporte la douleur, quand je ne tiens plus, je marche 100m puis je repars.
Paradoxalement c’est dur mais je me sens DANS L’IRONMAN (comme le disait un supporter d'une voie très calme à chacun d'entre nous pendant 2 tours : "Allez les gars, c'est maintenant que l'ironman commence, c'est maintenant qu'il faut se rentrer dedans") !
3ème tour bouclé en 1H24…forcément en marchant un peu, ça va moins vite…
Début du 4ème tour et réflexion du moment : un IM, ça se MERITE !
J’avoue que j’en chie un peu là…
Mitch se propose de m’accompagner mais comprend sans que j’ai besoin de lui expliquer que ce n’est pas nécessaire. Je suis seul avec moi-même et être à mes côtés n'y changera rien.
Mais en voyant des gars qui en sont à leur second tour et déjà en train de marcher je me dis que je n’ai pas de raison de me plaindre. Il faut juste mettre le cerveau sur « OFF »…
Mon genou me fait souffrir et m’oblige à marcher régulièrement. Il faudra que je m’oblige à traiter le problème au retour…
Les spectateurs nous encouragent tout le long du parcours, ce n’est pas noir de monde, mais suffisant pour nous soutenir. J’essaie de remercier à chaque fois les mots d’encouragements.
Depuis le 30ème j’ai arrêté les gels et j’alterne 2 verre d’eau/ 1 verre d’eau et 1 verre de coca. J'ai du boire 6L sur le vélo et 4L en cap!
Demi tour et la sensation que la promenade est encore un peu plus longue que la fois précédente…
Un triathlète avec qui j’ai fait connaissance lors de la pasta me croise et m’encourage. Il en est à son second tour et marche, il finira malgré tout, bel exemple de courage et de volonté !
Le panneau des 40kms s’offre à moi.
Plus que 2,195kms… j’en chie mais je commence à me dire que c’est presque fini avec un brin de nostalgie (sisi, c’est possible aussi dans ces moments là…).
Le speaker m’annonce, j’entends un dernier « Allez mon doudou ! » de ma chérie (ça fait bien rire les spectateurs) et je passe sous le porche d’arrivée en 12H35’ !
Ca y est je suis FINISHER !
Je ne réalise pas vraiment. Sophie et Mitch me rejoignent. On part sous la tente. Je m’assieds sur une chaise et regarde la médaille autour de mon cou. Je comprends alors qu’un IM est quelque chose de tellement personnel qu’il est difficile de le partager. La plus belle victoire n’est pas celle contre le chrono ou la place, mais celle que l’on a contre soi-même.
Il y a pas mal d’athlètes sous perf, et quelques uns qui semblent être bien s’effondrent en se ravitaillant.
Ma femme est ravie pour moi et a été sur les nerfs toute la journée, notamment sur le marathon lorsque les pompiers passaient (une dame dans un groupe a voulu passer malgré les interdictions d’un bénévole et s’est pris un concurrent en vélo. C’est le vélo qui a gagné).
Sur la table de massage, je lance à Mitch « à toi maintenant ! ». C’est tout le mal que je lui souhaite !
Le lendemain : mal au genou et aux quadriceps et une sensation de fatigue générale. Mais le retour a été assez rapide et je n’ai pas eu le temps de beaucoup dormir et me poser.
Aujourd’hui (surlendemain) : retour au boulot… pfffuuu…les quadri vont mieux, le genou aussi.
La pensée qui m’accompagne depuis dimanche soir : quand est ce que je pourrai franchir la ligne d’arrivée en murmurant « 2 fois » ?
Ce premier IM est pour moi comme un rêve. Plus les heures, les jours, passent, plus les sensations épouvées deviennent diffusent et lointaines… le seul moyen de les retrouver sera de les revivre…
C’est pour cela que j’y retournerai. Et puis même si je suis content de ma course, je le suis encore plus de savoir que je peux encore progresser dans la gestion de course, maintenant que je sais ce qu'est un semi après un gros échauffement :wink: .
Rien ne prépare à un IM, si ce n’est un IM…
Après le defi 42(ans) en 2018, défi 43 de 2019 abandonné, défi 44 torpillé, no défi 45 libéré, on respire ce n’est que du loisir
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Re: un petit tour & puis s'en va

Message non lu par Fironman »

zefrenchcarotte a écrit : Je suis pris à la gorge par la chaleur mais surtout la pollution ambiante car nous courrons sur une file (une file réservée au vélo, une autre à l’aller cap, une autre au retour cap) & les voitures sont juste à côté de nous. Demi tour, je passe au premier pointage… et je marche. J’ai l’impression d’être soudain un cochon d’inde que l’on fait tourner en rond dans sa cage, très peu de gens encouragent mais beaucoup traversent en revanche au mépris des coureurs & cyclistes & de leur sécurité (sans parler du respect de l’effort).


franchement c'était pitoyable d'autant que les niçois n'en ont visiblement rien à foutre du tri. Quant au plateau, ben c'est bête à dire mais ça reste un IM très franco français où les "stars" annoncées & en nb fort réduit finissent loin ou pas. Tant mieux pour nos français qui s'en sont admirablement tirés, tant mieux pour leurs comptes en banque, mais encore raté pour la partie médiatisation / grosse bataille...
Tout cela , je le savais d'avance...
Pour le reste , gros coup de blues mais si tu veux prendre du plaisir , va à l'étranger... En Floride pour profiter d'une ambiance différente et moins axée perf qu'en Europe. Roth pour le public , Klagenfurt pour les paysages, Francfort pour la richesse du plateau ou Lanzarote pour le mythe !
Mais abandonner juste parce que tu en avais marre... :?
Ton récit m'a foutu le bourdon :(
J'espère que ton moral reviendra :wink:
Nice 01, 02 IM France 02, 07 IM Germany 02 IM Lanzarote 03, 05, 08
Chall. Roth 04, 06, 08, 09 IM Austria 03 Tri Almere 03 IM Florida 03
IM Switzerland 04 IM UK 05 IM Arizona 05, 06 IM Wisconsin 08 Chall. Barcelona 10 IM Hawaii 2006
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Message non lu par braziou »

superbe récit Antoine
bravo pour ta course
monsieur visait les 16h et fais 12h30,modeste!
dommage que tu sois pas rester lundi soir
encore bravo
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Fironman
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Message non lu par Fironman »

Bravo à Antoine. :D
Mettre le récit de La Carotte et d'Antoine en parallèle est assez démonstratif entre 0% et 100% PLAISIR ! :shock:
Bravo à tous les finishers. :wink:
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Message non lu par braziou »

c'est toujours pareil ceux qui ont raté leur course critiquent,les autres sont contents
donc il faut relativiser tout cela et en reparler à froid
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