100km a écrit :Pour moi la douleur a disparu au bout de 1.5 an après moultes examens et kinés. Suite à la consultation d'un osthéo, elle a fini par s'éteindre. Ca revient de temps en temps mais rien de bien grave. Il y a qq positions qu'il faut que j'évite par contre.
Moi non plus il n'y a pas d'antécédents de HLAB27 dans ma famille, et pourtant. Enfin, c'est ce que je crois, il faudrait regarder de plus près, ma grand-mère ayant eu une polyarthrite à un âge avancé, un grand père cassé de partout (il était boxeur), ma mère a mal au dos et a eu un pb aux yeux.... Mais bon, quand on se réveil à 50 ans et qu'on a mal nul part, c'est qu'on ait mort !
La spondylarthrite peut se déclarer à n'importe quel âge. Il y a des gamins de 10-15 ans qui l'on. On l'appelle dans ce cas spondy juvénile. Mais comme le dit le Wil, elle peut revenir comme elle est parti. Le hic c'est qu'elle peut laisser des séquelles.
Bref, mon IRM montre des syndromes inflammatoires importants et pourtant je cours comme un lapin. C'est quand je m'arrête que ca me lance (typique de la spondy), sauf que le lendemain j'ai récupéré. En fait quand je ne fais pas de sport, j'ai mal nul part... CQFD ?
@Le Wil : je suis intéressé par ta solution nutritionnel ceci étant dit : je suis un régime sans gluten, sans lactose, est ce le même ?
...biensûr on est dans l'idée et des précurseurs comme Seignalet ont fait avancer les choses.
Par contre avec les connaissances actuelles on a la possibilité de cibler encore plus les prises en charges et d'être moins "extrémiste" pour une nutrition au quotidien, et puis on est tous différents... donc il faut tester.
Quand j'ai commencé à me soigner avec la nutrition (et là je pèse mes mots...) il y a 15 ans de ça on entendait déjà tout et son contraire.
Cela m'a poussé à me former sur ce qui me paraissait le plus logique et le plus adapté... à l'être humain : la micro-nutrition.
En 2 mots, savoir si ce que tu as dans ton assiette va jusqu'aux cellules pour leur bon fonctionnement et éduquer les patients pour du préventif ou du curatif (expliquer, comprendre, mettre en application, ressentir...).
Je rajoute à tout ça le plaisir du goût... indispensable à la santé.
L'exemple de la charcuterie est à mettre en avant, et c'est souvent que je commence par ça dans mes explications.
La tranche de jambon de pays même bien épaisse n'a jamais fait de mal à personne à condition qu’elle compte pour une viande : produit cru, souvent de qualité, du goût, demande à être mâché, etc... Le seul problème serait le sel car souvent raffiné et donc acidifiant mais bon 2-3 fois par semaine où est le problème ?
Venez donc en Aveyron !!!
Bon je m'égare.
L'éducation, expliquer un peu notre fonctionnement est indispensable pour s’inscrire dans la durée, rien à voir avec des recettes à appliquer bêtement.
« On dit » de boire 1,5 litre par jour… ??? Mais cela dépend de ta physiologie, de ton activité, de la météo, du dernier repas, du stress, de ton capital en oméga 3, etc…
Donc 1 litre aujourd’hui mais peut-être 3 litres le week-end prochain pour la même personne.
Eau de source ou du robinet (attention aux eaux minérales), entre les repas… pour arriver à « pisser régulièrement et le plus clair possible ». Fondamental avant le début d’un entraînement ou le départ d’une course.
« On dit » ne pas manger trop gras, trop sucré, trop salé… conséquence aujourd’hui, on se retrouve avec beaucoup de personnes carencées en matières grasses. C’est sûr il ne faut pas abuser des « mauvaises » (les cuites pour faire simple) mais les « bonnes », consommées crues ou très peu chauffées, sont indispensables au bon fonctionnement de TOUTES les cellules. Donc, 2-3 cuil à soupe d’huiles de qualité par jour (essayer de les varier), fruits secs type noix, noisettes, amandes, et 2-3 fois par semaine un poisson gras de petite taille type sardine/maquereau (même en boite). Voilà pour (entre autre) avoir son capital anti-inflammatoire… ou antidépresseur !
Au niveau des laitages de vache tu as d’une part des protéines adaptées… au veau ( !!!) et des matières grasses transformées par l’homogénéisation et la pasteurisation. Donc pour certaines personnes c’est la « cata », je fait partie des encrassés de base... Pour faire simple, garder un laitage plaisir par jour, plutôt chèvre ou brebis, au lait cru et avec de la présure… Et pour les inquiets, savoir que le « calcium végétal » s’absorbe beaucoup mieux que le « calcium animal »…
Faire des essais aussi en limitant ce qui contient du blé raffiné (y’en a partout ! ) au profit du riz, pommes de terre, légumineuses (lentilles, pois chiches…)…
Essayer de mâcher un peu plus quand on a l’habitude d’avaler ! Si on veut lutter contre l’obésité infantile il faut commencer par les faire « croquer » un peu plus… tout est fait pour qu’ils avalent… et donc qu’ils consomment plus. L’impact de la mastication est à bien des niveaux : assimilation des nutriments, défenses immunitaires, lien avec les cervicales, satiété, plaisir gustatif, etc…
Dans certains cas il est indispensable ou conseillé d’avoir recours aux compléments alimentaires naturels et en France on a la chance d’avoir des labos cohérents dans leur discours… mais j’insiste sur « complément » et « naturel »…
Bref on pourrait en parler des heures (…à suivre ?), ce que je retiens aussi c’est que comme on est tous différents on a des capacités d’élimination de ce qui nous « intoxique » complètement différentes, la vie est injuste… mais si c’est pour vivre de belles choses, ça vaut le coup, non ?
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