L'ACTUALITE DU CYCLISME

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Paris-Nice: cela s’annonce très emballant



Il n’y a pas un super favori au départ, mais une série de candidats prêts à saisir l’occasion, dont plusieurs Belges

Il n’y aura qu’un ancien vainqueur, Andreas Klöden, au départ du 71e Paris-Nice, demain à Houilles, dans les Yvelines, où se dispute le prologue sur 2km900. Aucun des grands favoris du Tour ne sera là, non plus, la plupart préférant s’aligner la semaine prochaine à Tirreno où s’entraîner au soleil espagnol, comme Wiggins et Van den Broeck, à Tenerife.

Pourtant, ce n’est pas faire injure à Tirreno d’affirmer que le vainqueur de Paris-Nice tire bien plus de gloire de son succès. Il y a donc une belle occasion à saisir et les candidats ne manquent pas, à l’image de Westra, 2e l’an dernier, ou de Van Garderen, Rui Costa, Quintana, Lovkvist, Chavanel, Taaramae, Velits, Péraud, Roche, porte, Tiernan-Locke, Coppel, Jeanesson, Gesink, Kruijswijk, Moreno, Fuglsang, Talansky, Menchov…
Parmi les outsiders, trois Belges au moins peuvent espérer terminer dans le top-10, dimanche prochain sur les hauteurs du col d’Eze qu’il faudra escalader à nouveau contre la montre (9 km 600). Maxime Monfort, 7e l’an dernier, partage le leadership chez RadioShack avec Klöden.

“Tout va bien”, affirmait l’Ardennais il y a quelques jours. “J’ai assez bien géré la période entre le Tour du Haut-Var et maintenant. J’ai d’abord pris le temps de récupérer avant de travailler intensivement. Les sensations étaient bonnes. Je pense être dans une condition comparable à celle de l’an dernier.”

On lira ci-dessous quelles sont les ambitions de Thomas De Gendt. S’il veut terminer le Tour dans les dix premiers, le Flandrien a intérêt à ne pas trop se rater cette semaine dans une course qui ira crescendo avec, entre les deux chronos, deux étapes pour sprinters, deux accidentées puis deux de moyenne et haute montagne.

Pour Bart De Clercq, enfin, l’occasion est belle de créer la surprise. Le Flandrien de Lotto-Belisol, excellent grimpeur qui vient de finir 9e du Tour de San Luis et 5e de la Ruta del Sol, en évoluant à chaque fois en soutien de VDB, peut tirer profit vendredi de l’étape reine se terminant au sommet de la Montagne de Lure où Contador avait construit son deuxième succès, il y a quatre ans. La semaine sera aussi importante pour ceux qui préparent les échéances printanières, Philippe Gilbert en tête, mais aussi Björn Leukemans, Gianni Meersman ou, surtout, Tom Boonen. Pour l’Anversois, la première bonne nouvelle, c’est qu’on prévoit une météo clémente.

“Pour une victoire d’étape, on compte sur Boonen et Meersman”, dit Wilfried Peeters, le directeur sportif d’Omega Pharma-Quick Step. “Mais Paris-Nice est d’abord l’occasion pour Boonen d’affiner sa condition dans l’optique des classiques printanières.”

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Un entrainement miracle chez Sky?



Annonce étonnante hier: pas de Paris-Nice, ni de Tirreno-Adriatico pour les coureurs de classiques chez Sky. Pourquoi ? Sporza a été interviewer Kris Vandermieren, médecin sportif, pour en savoir plus. "Une confiance absolue en la science peut mener au succès d'une équipe".

L'équipe Sky a choisi, en vue des classiques de printemps, un stage d'entrainement plutôt qu'une préparation en compétition.

"Ils font le même choix que l'année dernière avec leur préparation pour le Tour de France. Pendant cette préparation, ils se sont dirigés vers Tenerife, où ils logent plus que probablement à plus de 2.000m d'altitude", explique Kris Vandermieren.

"L'avantage de cette préparation est que la production naturelle de globules rouges augmentera. Quinze jours après, ça produit un excellent effet".

"L'entrainement se passe à basse altitude, de préférence au niveau de la mer. "Live high, train low", cela s'appelle. Les entrainements et préparations pour les classiques sont tellement intenses et éprouvants qu'il est impossible d'en faire à 2.000m. Au niveau de la mer, c'est parfaitement faisable".

"Entrainement optimal, fraicheur maximale pour les classiques"

Il existe d'autres avantages pour les coureurs que l'augmentation des globules rouges.

"Ils encourent moins de risques de chute. Et leur condition peut être mesurée et contrôlée quotidiennement. C'est tout à fait impossible dans une course comme Paris-Nice".

"Dans une course par étapes il existe des facteurs sur lesquels vous n'avez aucune emprise, au contraire du stage d'entrainement. L'idée c'est un entrainement optimal avec une fraicheur maximale en vue des classiques".

"Souvent on voit des coureurs bien entrainés, mais avec une bonne dose de fatigue en plus. Sky choisit donc une autre approche".

"Confiance aveugle en la science"

"Les scientifiques savent aujourd'hui parfaitement ce dont un coureur a besoin pour gagner une classique telle que Milan-Sanremo ou le Ronde", continue Vandermieren. "Ils savent exactement quelle puissance les cyclistes doivent produire pour être dans le final d'une course".

"Grâce à cette approche scientifique, ils peuvent évaluer précisément où les coureurs Sky en sont dans leur préparation et ce dont ils ont besoin pour être au point pour les classiques".

"Un programme intense, cela apaise"

En mise au vert, les coureurs Sky ne peuvent pas se mesurer à la concurrence. Ne manquent-ils donc pas de rythme de compétition?

"Bradley Wiggins a suivi exactement la même préparation en vue du Tour de France. Il a suivi le programme dans les moindres détails. Wiggins a révélé après coup que cela exigeait une discipline infaillible, mais que c'est en même temps apaisant".

"Si cette méthode est utilisée avec la discipline nécessaire pour les classiques, cela pourrait être celle qui mène au succès"

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Pour Joel

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https://www.retul.com/

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Ridley

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Pour suivre Paris - Nice http://sports-livez.com/

[Joel]

Pour Joel

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https://www.retul.com/

Merci
Sinon pour Garmin c'est Todd, de chez Retül,qui s'ocuppe du positionnement avec les ergonomes de chez Sky. Moi je suis un invité.

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Gilbert : “Je sens que je marche”



C’est d’un équipier de luxe dont dispose Tejay Van Garderen sur ce 71e Paris-Nice. Le jeune Américain, seul coureur du Top 10 du dernier Tour de France présent sur cette édition de la Course au Soleil , peut en effet compter depuis le départ sur l’abnégation du champion du monde en titre.

Hier encore, Philippe Gilbert n’a, dit-il, pas pensé une seconde au succès d’étape, préférant rouler des bouts droits et effectuer de sérieux relais dans le but de réduire au maximum l’écart entre son équipier et deux de ses adversaires, Richie Porte et Andrew Talansky, futur vainqueur d’étape et nouveau maillot jaune (le quatrième en quatre jours) de l’épreuve. “Déjà, il y avait toujours le petit groupe devant nous, donc, je ne pouvais pas penser à gagner” , disait le Liégeois après s’être douché. “L’important, c’était de maintenir des écarts suffisants. J’ai effectué encore un gros dernier kilomètre pour réduire de quelques secondes l’écart entre nos groupes.”

Mais s’il n’a pas obtenu un résultat, le Wallon a tiré de bons enseignements de cette journée passée sous la pluie sur les routes des monts d’Auvergne. “L’étape était vallonnée et a été dure, sans parler de la météo qui rend tout plus difficile et dangereux” , racontait-il encore. “Nous avons toujours été bien placés, avec Tejay, afin d’éviter toute mauvaise surprise. Dans la dernière difficulté, l’équipe Sky a monté à un train terrible. Dans le dernier kilomètre, j’ai senti que j’étais mal, mais en me retournant, j’ai vu qu’il y avait beaucoup de monde derrière. Il fallait donc s’accrocher et essayer de basculer avec les meilleurs, ce que j’ai fait.”

Dans la descente, Philippe Gilbert s’est reporté aux avant-postes du groupe qui chassait derrière les sept échappés. “Quand j’ai vu que Tejay était là. “Je suis repassé devant et en bas de la descente, j’étais premier du grou- pe, mais j’ai dû reprendre mon souffle. C’est Chavanel, paraît-il, qui a laissé un trou. Ensuite, malheureusement, il n’y a pas eu d’entente dans notre groupe. À part nous et Velits et Chavanel, ainsi que, un peu Klöden, personne n’a roulé.”
Le porteur du maillot arc-en-ciel se félicite surtout d’être en forme ascendante à quelques semaines de ses principales échéances.

“C’est bon signe d’être là” , avoue-t-il. “Dans un final dur, avec des grimpeurs et des spécialistes de courses à étapes. Toute la semaine, j’abats une grosse charge de travail, je suis là pour cela. Je connais mes sensations, je sais que je marche, je le sens. Je sais que je serai bien dans les classiques.”

Et tant pis s’il lui faut encore attendre avant de lever les bras sur les routes de Paris-Nice. “Je n’y ai jamais gagné” , remarque-t-il. “Je n’en ai jamais eu l’occasion, c’est aussi une période où je ne suis jamais très, très bien, comme à d’autres moments. Mais j’espère que cela me réussira un jour.”

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Le Néerlandais admet avoir eu recours à l'EPO, à la cortisone et aux transfusions



Le Néerlandais Michael Boogerd a reconnu s'être dopé durant sa carrière de coureur cycliste. L'ancien leader de l'équipe Rabobank donnera plus de détails sur ses aveux mercredi soir lors d'un interview qu'il a accordé à la NOS, la chaîne publique néerlandaise.

Boogerd, âgé de 40 ans, a avoué avoir eu recours à l'EPO, à des transfusions de sang et à de la cortisone, depuis 1997 jusqu'à la fin de sa carrière en 2007. Il a aussi reconnu que le plus beau de ses succès, une chevauchée victorieuse vers La Plagne dans le Tour de France 2002, avait été acquise grâce au dopage.

"Je peux comprendre qu'aux yeux de public cette victoire soit peut-être désormais entachée de tricherie", a déclaré Boogerd, dont l'interview sera diffusé mercredi à 19h00 sur la chaîne NOS1.

La semaine dernière, la presse néerlandaise avait dévoilé que Boogerd avait payé au cours de sa carrière près de 17.000 euros au dealer de dopage autrichien Stefan Matschiner.

Le journal NRC Handelsblad avait publié quatre factures et deux extraits de banque de Matschiner. Celui-ci avait confirmé au quotidien qu'il avait soumis en 2006 et 2007 à Boogerd un montant de 16.940 euros que le coureur néerlandais avait payé.

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Boonen: un pas en arrière, deux en avant



Cette fois, le champion de Belgique a passé la journée aux avant-postes

Yvan Van Mol, le médecin d’Omega Pharma-Quick Step, avait prévenu, hier matin, peu avant le départ de la 2e étape de Paris-Nice : “On allait voir Tom (Boonen) aux avant-postes.”
La veille, le champion de Belgique s’était traîné toute l’étape en queue de peloton, passant la journée à éviter les chutes.

“On a bien discuté hier soir et Tom a convenu qu’il fallait mieux être devant” , expliquait Wilfried Peeters, son directeur sportif.

“Je sais maintenant ce que c’est que de rouler dans le peloton entre la 120e et la 180e place” , avait avoué Boonen, comprenant qu’il se fatiguerait peut-être moins en roulant devant, où, surtout, il prendrait moins de risques.
Le maillot tricolore de champion de Belgique est donc apparu très longtemps à l’écran car le triple vainqueur du Tour des Flandres et quadruple de Paris-Roubaix avait décidé de se muer en parfait équipier, hier, sur les routes du Loiret, puis de l’Allier, qu’un fort vent contraire balayait.

“Le but était de travailler, d’éviter de prendre des risques et d’aider mes partenaires”, avouait Boonen après l’étape. “Je suis là pour faire des efforts, pour améliorer ma condition avant les échéances à venir.”

Au pied du bus de son équipe où désormais, juste après l’étape, le Belge et ses partenaires satisfont eux aussi à une séance de décrassage sur rouleaux mise à la mode l’an dernier par les Sky, Tom Boonen a eu la joie de retrouver sa tante, Grete, la sœur de sa mère, et son oncle Eddy, lesquels tiennent depuis une demi-douzaine d’années un restaurant et des chambres d’hôte à une centaine de kilomètres de Cérilly, terme d’une étape à nouveau meurtrière (Pichot s’est aussi cassé un bras).
Bien calé dans la roue de son écuyer de luxe, Sylvain Chavanel a donc passé une journée relativement tranquille. Le Français, qui a grappillé deux secondes de bonifications (“toujours bonnes à prendre” ), n’a pu profiter de la chute et l’abandon de Nacer Bouhanni, malheureux maillot jaune (voir ci-contre), pour revêtir la tunique de leader que portera aujourd’hui l’Italien Elia Viviani, battu de peu par le grand Marcel Kittel.

Dans ce sprint sulfureux, en montée, mais précédé d’une très longue ligne droite descendante, Gianni Meersman n’a pu faire mieux que 6e.

“C’était chaotique” , pestait le Flandrien, vainqueur l’an passé d’une étape à Rodez. “C’est vraiment une occasion manquée, car c’était une arrivée pour moi. Le problème, tout le monde est encore frais et pense qu’il peut gagner, alors c’est la bagarre dans les derniers kilomètres. Il me reste l’étape de demain (aujourd’hui), mais celle-ci me semblait plus dans mes cordes.”

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http://www.journaldugeek.com/2013/03/07 ... e-urgence/

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Pierre Rolland imite Wiggins avec OSymetric. Encore un effet de mode ?



Bradley Wiggins semble faire des émules depuis qu'il utilise les plateaux OSymetric. Il faut dire que sa victoire sur le dernier Tour de France avec ces plateaux et tout le tapage médiatique qui a été fait autour a pu donner envie à certains coureurs de tester cela.

De mon côté, ça me fait penser aux bracelets Power Balance que de nombreux coureurs portaient à l'époque où c'était à la mode. Simple effet de mode ou réel gain, je ne sais pas trop.

Mais si gain réel il y avait, les coureurs seraient sans doute bien plus nombreux à les utiliser et des marques comme Shimano et Campagnolo auraient sans doute franchi le pas de les produire aussi.
Aucune étude sérieuse n'a semble-t-il été menée récemment au sujet de ces plateaux (que ce soit OSymetric, Rotor et autres) permettant de relever une amélioration de la performance (que ce soit par gain de puissance ou économie d'énergie).

Mais un coureur qui gagne le Tour de France, ça fait apparemment réfléchir. En tous cas, cela semble être une initiative personnelle puisque seul le vélo de route de Pierre Rolland était équipé de ces plateaux.
L'équipe Europcar n'a-t-elle pourtant pas les moyens de faire une réelle étude d'efficacité sur ce type de plateaux ? Ce serait intéressant pourtant, plutôt que d'avoir des chiffres avancés sans réel protocole de test.

[Kenzo]

BMC présente l'édition limitée Lamborghini 50ième anniversaire



Une série limitée à 50 exemplaires....pour la modique somme de 25000€. Pour le commander, rien de plus simple, soit vous passez par un revendeur BMC, soit chez votre concessionnaire Lamborghini le plus proche

Spécifications

Cadre : Impec LSW
Fourche : Impec carbone
Potence : 3T ARX LTD Lamborghini Edition – disponible en 90, 100, 110, 120, 130mm
Cintre : 3T Ergonova LTD Lamborghini Edition – 40, 42, 44 cm
Freins : Campagnolo Super Record Skeleton
Leviers : Campagnolo Super Record
Dérailleurs : Campagnolo 11-speed Super Record EPS
Cassette : Campagnolo Super Record 12-27
Chaine : Campagnolo Super Record
Pédalier : Campagnolo Super Record Ti Ultra Torque, 50-34
Boîtier de pédalier : Campagnolo Super Record
Roues : Campagnolo Bora Carbon Ultra Two boyaux
Boyaux : Continental Competition 22
Selle : Fizik Arione 00 Lamborghini Edition
Tige de selle : Impec intégrée carbone
Tailles : 50, 53, 55, 57, 60 cm
Coloris : Lamborghini 50th Anniversary livery
Poids : 6.85kg

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