IRONMAN04 a écrit : ↑10 juin 2021, 08:41
Hello,
Savez vous quelles sont les mesures de sécurité prises pour les visites ministérielles, présidentielles??? Dire que le président fait du contact, bain de foule alors que tout est filtré dans un rayon sécuritaire important, c’est méconnaître le sujet. Bien évidement que tout est pensé, prévu, scénarisé avec cette belle arrivée au pas accéléré vers son peuple!!! Rien n’est informel. Surtout avec Macron, on ne peut lui reprocher d’utiliser les médias, la com, les réseaux sociaux, là il est imbattable et ça lui a permis de prendre le pouvoir.
Le drame, c’est qu’avec tous ces événements, les drames, les maux de notre société, les difficultés de nos concitoyens, pas grand chose de nouveau pour nous sortir de ce bazar!!! Et le pays endetté jusqu’au cou sans pouvoir s’appuyer sur une puissance économique, industrielle qui lui permette de voir l’issue. Le jour où nos preteurs nous demanderont les intérêts, ça va piquer.
Ciao
Ne tombe pas dans ce piège de la dette. On ne rembourse que les intérêts de la dette, jamais la dette, or ces intérêts n’ont jamais été aussi bas et c’est pas avec la reprise qu’ils vont grimper en flèche, ça ne risque rien. Les hommes politiques qui te disent qu’il faut rembourser la dette lié au Covid sont des menteurs qu’il faut fuir.
Pas totalement, la France partage sa monnaie avec d'autres pays plus sérieux, si un jour cette dette pose un problème à l'Allemagne / Pays-bas / etc ... Pas sûr que cela se fasse sans douleur.
De plus si on considère qu'une dette d'état ne se rembourse pas (admettons), tu empruntes actuellement 200 milliards à 0.15% sur 15 ans, c'est facilement supportable, mais si dans 15 ans du fait de l'inflation les taux montent à 10% (18% pendant le 1er mandat de Mitterand), là il y a un problème ....
IRONMAN04 a écrit : ↑10 juin 2021, 08:41
Hello,
Savez vous quelles sont les mesures de sécurité prises pour les visites ministérielles, présidentielles??? Dire que le président fait du contact, bain de foule alors que tout est filtré dans un rayon sécuritaire important, c’est méconnaître le sujet. Bien évidement que tout est pensé, prévu, scénarisé avec cette belle arrivée au pas accéléré vers son peuple!!! Rien n’est informel. Surtout avec Macron, on ne peut lui reprocher d’utiliser les médias, la com, les réseaux sociaux, là il est imbattable et ça lui a permis de prendre le pouvoir.
Le drame, c’est qu’avec tous ces événements, les drames, les maux de notre société, les difficultés de nos concitoyens, pas grand chose de nouveau pour nous sortir de ce bazar!!! Et le pays endetté jusqu’au cou sans pouvoir s’appuyer sur une puissance économique, industrielle qui lui permette de voir l’issue. Le jour où nos preteurs nous demanderont les intérêts, ça va piquer.
Ciao
Ne tombe pas dans ce piège de la dette. On ne rembourse que les intérêts de la dette, jamais la dette, or ces intérêts n’ont jamais été aussi bas et c’est pas avec la reprise qu’ils vont grimper en flèche, ça ne risque rien. Les hommes politiques qui te disent qu’il faut rembourser la dette lié au Covid sont des menteurs qu’il faut fuir.
Pas totalement, la France partage sa monnaie avec d'autres pays plus sérieux, si un jour cette dette pose un problème à l'Allemagne / Pays-bas / etc ... Pas sûr que cela se fasse sans douleur.
De plus si on considère qu'une dette d'état ne se rembourse pas (admettons), tu empruntes actuellement 200 milliards à 0.15% sur 15 ans, c'est facilement supportable, mais si dans 15 ans du fait de l'inflation les taux montent à 10% (18% pendant le 1er mandat de Mitterand), là il y a un problème ....
Le problème c'est en effet qu'on ne contrôle pas les intérêts. Ce sont les marchés financiers qui les dictent. Un jour, on sera peut-être contraint de virer des fonctionnaires et de fermer des hôpitaux parce que c'est ce que demanderont les marchés. Voir ce qu'il s'est passé en Grèce.
De toutes façons, il y a un consensus que la dette ne sera jamais remboursée (plus de croissance en zone euro https://www.youtube.com/watch?v=Evcjl0a0ewM il n'y plus que les politiciens qui font semblant d'y croire, parce que sans cette croissance, ils n'ont rien à offrir). C'est simplement devenu un argument politique pour justifier des coupes dans les service publics. C'est pour ça que Macron a eu la main lourde sur le porte feuille pendant le covid (le "quoiqu'il en coute").
Par ailleurs, une bonne partie de la dette est détenue par la BCE qui est libre de l'annuler mais ne veut pas en entendre parler pour le moment.
Ouais, c'est un complot de Méluche pour montrer qu'il avait raison, et il a mis Mein Kampf pour faire plonger l'extrême droite en même temps!
Blague à part, Mélenchon parle d'un "grave incident ou un meurtre déjà planifié pour la dernière semaine de la campagne présidentielle", et là tu as une gifle 1 an avant, et tu en conclut que Mélenchon avait raison
Autrement dit, s'il y a n'importe qui qui se passe pendant 1 an avant l'élection, ça prouvera que Mélenchon avait raison Même Mélenchon l'a pas osé, en soutenant le PR sur ce coup.
A un moment, faut arrêter d'être aussi aveugle et stupide dans militantisme LFI... Y a pas que Quatennens dans la vie!
Une lecture attentive de mes propos t'aurait certainement évité une réponse aussi hâtive et stupide (ça devient ta marque de fabrique) et in fine de passer pour un boulet (une autre marque de fabrique chez toi décidément)
Je note que ce que tu qualifies de n'importe quoi (un président en fonction qui se prend une calotte ...) anime les médias et RS depuis 3 jours, et OLT n'y fait pas exception.
C’est vrai que Silver se précipite beaucoup en ce moment, ça doit être la fatigue de la campagne…
Pas du tout, il suit les faits et gestes de papa macron, alors il court aussi quitte à se prendre des baffes
FAYARD a écrit : ↑10 juin 2021, 08:19Article de France Info que je trouve intéressant et assez proche de la réalité.
L'agression du chef d'Etat français lors d'un bain de foule met en lumière la façon dont la sécurité est gérée en France et les différences culturelles en la matière avec d'autres pays.
Un président qui s'élance sans prévenir vers la foule, prenant de court ses gardes du corps. Cette image, qui précède celle de la gifle reçue par Emmanuel Macron lors d'un déplacement dans la Drôme, mardi 8 juin, en dit long sur la tradition française en matière de sécurité des chefs d'Etat. "Aux Etats-Unis, le président est l'otage de ses officiers de sécurité. En France, ça se négocie", résume pour France Télévisions René-Georges Querry, l'ancien chef de l'unité de coordination de la lutte antiterroriste. Au-delà des questions de sécurité nationale, la protection des plus hauts dirigeants de ce monde, qui plus est en période électorale, est un enjeu éminemment politique dans chaque pays. Et le fruit d'une histoire particulière.
En France, la sécurité du président commence à s'étoffer après l'attentat manqué du Petit-Clamart (Hauts-de-Seine) en 1962 contre le général de Gaulle. La protection rapprochée du chef de l'Etat est alors assurée par quatre policiers, surnommés "gorilles" en raison de leur carrure. Mais il faut attendre 1983 pour voir la création d'un vrai service : le GSPR, le groupe de sécurité de la présidence de la République. Sa mission : faire face aux "menaces d'ordre terroriste qui pesaient à l'époque sur la personne du président de la République", resitue sur franceinfo son créateur, Alain Le Caro.
A chaque président français son style
Une autre raison, plus personnelle, explique la mise en place du GSPR. Il s'agit alors de protéger deux secrets d'Etat : la double-vie de François Mitterrand et la maladie du président socialiste. Mais la liberté de mouvement du chef de l'Etat reste la priorité.
"L'originalité aussi du GSPR est qu'on ne voulait pas mettre le président dans une cage. C'est à nous de nous adapter aux exigences et aux besoins du président."
Alain Le Caro, créateur du GSPR à franceinfo
Cette culture des services de protection français perdure sous Jacques Chirac. Le successeur de Mitterrand va encore plus au contact de la population et déteste la sécurité rapprochée. En témoigne sa visite à Jérusalem en octobre 1996 et sa célèbre phrase lancée aux gardes israéliens : "This is not a method !" L'incident n'a rien de personnel. "Au nom de la sécurité, les policiers israéliens voulaient empêcher politiquement Chirac d'avoir un contact direct et de donner l'image d'un président français populaire chez les Palestiniens. (...) On a un très bel exemple de ce qu'une protection rapprochée peut avoir comme dimension politique", analysait René-Georges Querry.
L'organisation même du GSPR révèle des luttes d'influence. D'abord constitué de gendarmes du GIGN, il finit par intégrer des policiers, formés au service de la protection (SDLP), afin de respecter l'équilibre entre les deux institutions. Mais lors de son arrivée au pouvoir en 2007, Nicolas Sarkozy placardise les hommes du GSPR et s'entoure de sa propre garde rapprochée, constituée de "superflics" aux moyens renforcés. Selon L'Express, l'ex-ministre de l'Intérieur n'a pas pardonné "cette fidélité toute militaire aux consignes de confidentialité absolue données par Jacques Chirac, lors de son hospitalisation au Val-de-Grâce, le 2 septembre 2005, pour un accident vasculaire cérébral".
Macron ne sera pas davantage protégé
Avec l'accession à l'Elysée du socialiste François Hollande en 2012, le GSPR est remis sur pied et dirigé, pour la première fois, par une femme, la commissaire Sophie Hatt. Celui qui se présente comme le président "normal" lui donne une consigne : la protection la plus discrète possible, quitte à parfois faire faux bond à son service d'ordre.
Son successeur Emmanuel Macron va lui aussi mettre sa patte sur la gestion de sa sécurité, en confiant sa supervision à un civil, Alexandre Benalla. Avant d'être mis en cause pour avoir brutalisé un manifestant le 1er mai 2018, le conseiller du président avait travaillé à une nouvelle organisation, avec la création de la direction de la sécurité de la présidence de la République. La DSPR, qui chapeaute le GSPR et la Garde républicaine, est actuellement dirigée par le colonel Benoît Ferrand.
Cette réforme n'a pas modifié en profondeur l'esprit à la française de la protection présidentielle. Et l'épisode de la gifle n'y changera rien, glisse à franceinfo une source présente sur place : "Il n'y a pas de renforcement de la sécurité à prévoir, le président souhaite aller au contact, déambuler, rencontrer les Français de manière désinstitutionnalisée."
Aux Etats-Unis, des moyens colossaux
"La tradition présidentielle française, contrairement à d'autres pays comme les Etats-Unis, la Russie ou encore Israël, c'est que le président fait ce qu'il veut", confirme sur les ondes Pascal Bitot-Panelli, ex-commandant fonctionnel du service de la protection et organisateur de déplacements présidentiels de 1994 à 2014. "Cela amène des risques multiformes, des besoins d'adaptation et la nécessité d'être beaucoup plus performant."
"Ça peut arriver également de déconseiller quand on sent qu'un déplacement peut mal tourner mais c'est à la personnalité de décider."
Pascal Bitot-Panelli, ex-commandant du service de la protection à franceinfo
C'est l'exacte inverse outre-Atlantique. "Ce sont les services de protection qui disent au président ce qu'il peut faire ou ne pas faire, qui décident des sites et des lieux qu'il peut voir ou ne pas voir", souligne auprès de franceinfo une gradée de la police française, qui a participé à la sécurisation de la visite de Donald Trump en France en juillet 2017. Limousine blindée, tireurs d'élite, dispositif anti-drone, brouilleurs de téléphones portables... Des moyens de sécurité considérables avaient été déployés et plus d'un millier d'agents du United States Secret Service (USSS), l'agence gouvernementale américaine chargée de la sécurité du président américain depuis 1901, avaient fait le déplacement.
Dans un pays où quatre présidents en exercice – Abraham Lincoln, James Garfield, William McKinley et John Kennedy – ont été assassinés et où le port d'arme est un droit constitutionnel, la vie du chef de l'Etat est littéralement entre les mains de ses gardes du corps. Ces derniers, plus visibles que leurs collègues français, calculent chaque mouvement du président et donnent leur accord au préalable pour une séance bain de foule. Leur devise : "zero fail" ("zéro faute"), rappelle Le Parisien. Une exigence de tous les instants, gourmande en effectifs (3 200 agents, contre 70 au GSPR en France) et en budget (2 milliards d'euros par an, contre 8 millions en France).
Une stratégie de la normalité pour Merkel
Entre cette protection très rapprochée à l'américaine et le compromis français, certains dirigeants européens affichent une insolente liberté, tout aussi savamment calculée. On se souvient des photos d'Angela Merkel en train de faire ses courses au supermarché en 2007, un garde du corps devant le magasin et deux à l'intérieur. Comme l'analysait alors Le Figaro, la chancelière allemande semblait vouloir montrer qu'elle pouvait entrer dans la peau de Madame Tout-le-monde. Ayant toujours "refusé d'habiter la chancellerie", Angela Merkel vit "dans un appartement tout simple et à peine surveillé (...) au bord de la Spree", note sa biographe Marion Van Renterghem, auteure de Angela Merkel, l'ovni politique. "C'est ce train de vie très modeste, très nature, qui lui a valu le surnom de 'Mutti', la bonne mère de famille, même si elle n'a pas d'enfants", observait pour franceinfo Blandine Milcent, la correspondante de la Radio télévision suisse (RTS) à Berlin.
Le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa, réélu au début de l'année, a une stratégie similaire. Sans chauffeur, il fait ses courses en bermuda au supermarché, partage un repas avec des sans-abri. L'été dernier, c'est lui qui a joué les sauveteurs en se jetant à la mer pour venir en aide à deux jeunes touristes entraînées par les vagues. La proximité avec ses électeurs est devenue sa marque de fabrique, à tel point qu'il se tient toujours prêt à se faire photographier avec ses fans pour un "marselfie", hashtag devenu populaire, rapporte Courrier international.
Aux Pays-Bas, une photo du Premier ministre Mark Rutte en train de garer son vélo dans la cour du palais royal avant une entrevue avec le roi a fait le tour des réseaux sociaux en 2017. Une liberté de déplacement qui lui permet de promouvoir sa politique : favoriser les infrastructures du pays, la santé et l'environnement. Plus efficace qu'un programme.
Oui pour la dette Covid, depuis un an et demi, notamment le plan relance européen, mais les milliards empruntés auparavant je suis plus dubitatif. Si l’économie repart à l’issue de cette crise, avec de la croissance (ce serait logique) et que des mesures soient prises sur le sujet, ok, mais si par hasard l’activité ne repart pas comme voulu, alors il risque d’y avoir quelques soucis.
Combien de temps la finance va accepter que la planche à billets tourne à plein régime, l’argent dematerialisé va t’il évoluer, s’imposer,,,, ???
C’est quand même une drôle de période, peut être allons nous vivre une (re) évolution dans le domaine économique…..
Mélenchon a bien investi et a profité de la hausse des prix de l'immobilier parisien. C'est un crime ?
Quand tu prétends défendre les ouvriers qui finissent pas les fins de mois dés le 15, c’est du plus mauvais effet. Surtout quand ta fortune n’est issue que de la politique et que t’as jamais bossé dans une entreprise ou comme fonctionnaire depuis des décennies. Ce mec n’est qu’une escroquerie.
Il a perdu le vote ouvrier et fait de la retape dans les cités, ça fonctionne un peu, mais le problème c’est que l’abstention bat des records dans ces territoires.
“Les réseaux sociaux vous ont tous mis trop à l’aise avec le fait de manquer de respect aux gens, sans vous faire casser la gueule”. Mike Tyson
Mélenchon a bien investi et a profité de la hausse des prix de l'immobilier parisien. C'est un crime ?
Quand tu prétends défendre les ouvriers qui finissent pas les fins de mois dés le 15, c’est du plus mauvais effet. Surtout quand ta fortune n’est issue que de la politique et que t’as jamais bossé dans une entreprise ou comme fonctionnaire depuis des décennies. Ce mec n’est qu’une escroquerie.
Il a perdu le vote ouvrier et fait de la retape dans les cités, ça fonctionne un peu, mais le problème c’est que l’abstention bat des records dans ces territoires.
Mélenchon a bien investi et a profité de la hausse des prix de l'immobilier parisien. C'est un crime ?
Quand tu prétends défendre les ouvriers qui finissent pas les fins de mois dés le 15, c’est du plus mauvais effet. Surtout quand ta fortune n’est issue que de la politique et que t’as jamais bossé dans une entreprise ou comme fonctionnaire depuis des décennies. Ce mec n’est qu’une escroquerie.
Il a perdu le vote ouvrier et fait de la retape dans les cités, ça fonctionne un peu, mais le problème c’est que l’abstention bat des records dans ces territoires.
Oui, je n'aime pas Mélenchon moi non plus parce que c'est un démagogue. Mais il n'empêche qu'il n'a pas volé son argent et que ce n'est pas un crime d'être fonctionnaire et d'avoir profité de la hausse de l'immobilier.
Mélenchon a bien investi et a profité de la hausse des prix de l'immobilier parisien. C'est un crime ?
Quand tu prétends défendre les ouvriers qui finissent pas les fins de mois dés le 15, c’est du plus mauvais effet. Surtout quand ta fortune n’est issue que de la politique et que t’as jamais bossé dans une entreprise ou comme fonctionnaire depuis des décennies. Ce mec n’est qu’une escroquerie.
Il a perdu le vote ouvrier et fait de la retape dans les cités, ça fonctionne un peu, mais le problème c’est que l’abstention bat des records dans ces territoires.
Oui, je n'aime pas Mélenchon moi non plus parce que c'est un démagogue. Mais il n'empêche qu'il n'a pas volé son argent et que ce n'est pas un crime d'être fonctionnaire et d'avoir profité de la hausse de l'immobilier.