Tout à fait, l'argent n'était pas le moteur, il en fallait seulement pour monter cette opération. Allez chercher son compagnon n'était pas raisonnable, trop de risque.geraud a écrit : 30 janv. 2018, 19:24Contrairement aux secours officiels (je ne jette la pierre à personne en disant ça. Même quand une vie est en jeu, il faut bien que quelqu'un paye; et si la collectivité ne le prend pas en charge, c'est un financement "privé" qui doit le faire), je ne pense pas que l'argent était le moteur de ces alpinistes. S'ils avaient eu une chance de le ramener, ils l'auraient sans doute fait.FAYARD a écrit : 30 janv. 2018, 19:03 Même avec tout l'or du monde, personne ne serait allé chercher le compagnon de cordée de la Française.
Mais d'après leur récit, le risque était très élevé. Et surtout, en prenant en compte ce que la française avait dit de l'état de son compagnon + le temps qui était passé depuis, ils savaient que c'était risquer plusieurs vies pour aller chercher un cadavre.
Mais même si c'était la seule solution pour elle, que ça doit être dur d'écouter la raison, et d'abandonner son compagnon de cordée... Et surtout de vivre avec ça ensuite.
C'est le même problème avec les spéléologues, c'est pas des pompiers qui descendent, c'est des spécialistes de la spéléologie qui vont aider les leur, l'argent c'est juste pour la mise en œuvre.
Bien evidemment que ça doit être dur de laisser son compagnon de cordée, c'est un abandon, mais c'est le "jeu". À chacun sa façon de le vivre.