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Trois disciplines pour trois fois plus de sensations, de bonheurs, de plaisirs. Depuis ses 13 ans,
Vincent Luis est accro au triathlon et à la manière d'un alpiniste, il gravit un à un les obstacles. Nager, pédaler, courir, Vincent Luis s'y emploie depuis son adolescence, déterminé à repousser ses limites autant que les chronos. « Je ne m'entraîne pas 40 heures par semaine pour faire deuxième, mais pour progresser et être meilleur que la veille », lance l'athlète de 27 ans. Imperméable au doute, fonctionnant aux certitudes, Vincent Luis a construit dans l'adversité son mental de vainqueur. Certains rêvent leur vie, lui a décidé de vivre ses rêves. Aussi tenace que Mohamed Ali, son idole, le Français boxe les difficultés et fuit la facilité.
Investi à 100% dans sa passion, Vincent Luis court après le temps, mais pour la bonne cause. Chercheur d'or des temps modernes, l'athlète convoite un or particulier : celui de la médaille olympique. Champion du monde junior en 2008, Français comptant le plus de victoires dans les triathlons des Séries Mondiales, le natif de Vesoul ne veut plus se contenter d'être premier de la classe nationale. Son appétit de victoires est bien trop gros, il a trop faim de trophées. Le dessert s'appelle J.O !
«Mon rêve d'enfant était de participer aux Jeux,
je veux maintenant aller chercher la médaille d'or olympique en 2020 »,
affirme Vincent Luis. Point de prétention, mais de l'ambition ; point de déraison, mais une solide détermination. 11e des Jeux de Londres, 7e à Rio, Vincent Luis veut désormais doubler le 5 000m avec le triathlon aux Jeux de Tokyo. Un défi de taille, mais l'homme est taillé pour le rôle. Entraînements, hygiène de vie, préparation physique, Vincent Luis ne laisse rien au hasard, préférant écrire lui-même son destin au stylo indélébile. Pour l'aider à atteindre ses objectifs olympiques, il pourra également compter sur les lunettes Oakley ! « J'ai commencé à porter des montures Oakley alors que je n'étais même pas sous contrat avec eux, j'estimais simplement qu'ils fabriquaient les meilleurs produits. Je suis très fier de les représenter, ils visent l'excellence, tout comme moi.»
Vincent Luis est ainsi l'une des égéries de la marque et porte des lunettes avec des verres PRIZM™, spécialement développées pour les sportifs. En triathlon, royaume du triple frisson, des lunettes adaptées sont essentielles pour négocier au mieux les différences de conditions en fonction des parcours, ainsi que les obstacles que rencontrent les athlètes en vélo puis en course à pied. « En triathlon, les changements d'environnement sont vraiment fréquents », confirme Vincent Luis. « Quand on roule sur des pavés, comme à Stockholm, on a besoin de voir parfaitement les reliefs afin d'éviter les trous, de prendre la meilleure trajectoire, de choisir la portion de route où les pavés sont les moins abîmés... Aux Jeux de Rio, certains passages étaient très sombres puisque nous évoluions entre les immeubles, d'autres étaient très ensoleillés le long de la plage de Copacabana. Il est donc très important que dans toutes les conditions, on puisse être attentifs aux dangers de la route. Oakley me fournit des lunettes possédant une qualité de verre incroyable, il n'y a aucune buée, c'est parfait pour le triathlon ! » Grâce à Oakley, Vincent Luis peut donc courir sans crainte vers son destin olympique...
Jamais moins qu'à fond.
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