Re: Ouvrier paysagiste et triathlète...est ce compatible?
Publié : 09 déc. 2019 09:10
Prendre des protéines en poudre, c’est pas non plus un truc de ouf, cela se fait dans énormément de sport.
Le forum du triathlon & duathlon.
https://onlinetri.com/phpBB2/
Prendre des protéines en poudre, c’est pas non plus un truc de ouf, cela se fait dans énormément de sport.
Ce n’est pas idiot, et sans extrapoler à partir de deux cas, cette constatation est tout à fait logique, la sédentarité tue, et être assis abîme notre squelette.PoorSwimmer a écrit : ↑09 déc. 2019 09:03 De mon expérience perso, j'ai remarqué qu'avoir un boulot un peu physique semble être une bonne chose pour le tri.
J'ai un travail plutôt de bureau, et je peux vous assurer que la moindre coupure se paie cash. Cela prend pas mal de temps pour retrouver un semblant de forme. Parallèlement, mon beauf qui fait aussi du tri mais a un boulot plutôt "physique" (pas mal de marche, port de charges de temps en temps, efforts physiques variés sans être intensifs), semble ne jamais baisser au niveau des perfs. Après une coupure de plusieurs semaines, il claque des sorties de 80km à vélo sans problèmes au bout de 2 sorties et retrouve très vite son niveau de performance.
Difficile d'extrapoler à partir de 2 cas isolés, mais j'avais déjà remarqué ceci avec d'autres personnes. Ceux qui ont un boulot physique semblent retrouver leur forme très rapidement après coupure et enchaîner les entraînements "intensifs" sans trop de difficultés.
Non non je suis d'accord, mais en cherchant un peu, en mangeant correctement tu dois arriver à équilibrer ton alimentation.
Y a tout dans l'assiette, suffit d'être curieux et de prendre - un peu - de temps pour faire son marché.
80 bornes à vélo c'est pas fou non plus, le problème c'est que beaucoup ne gèrent pas leur effort. Et il est évident qu'on ne peut pas non plus maintenir un pic de forme toute l'année.FAYARD a écrit : ↑09 déc. 2019 09:14Ce n’est pas idiot, et sans extrapoler à partir de deux cas, cette constatation est tout à fait logique, la sédentarité tue, et être assis abîme notre squelette.PoorSwimmer a écrit : ↑09 déc. 2019 09:03 De mon expérience perso, j'ai remarqué qu'avoir un boulot un peu physique semble être une bonne chose pour le tri.
J'ai un travail plutôt de bureau, et je peux vous assurer que la moindre coupure se paie cash. Cela prend pas mal de temps pour retrouver un semblant de forme. Parallèlement, mon beauf qui fait aussi du tri mais a un boulot plutôt "physique" (pas mal de marche, port de charges de temps en temps, efforts physiques variés sans être intensifs), semble ne jamais baisser au niveau des perfs. Après une coupure de plusieurs semaines, il claque des sorties de 80km à vélo sans problèmes au bout de 2 sorties et retrouve très vite son niveau de performance.
Difficile d'extrapoler à partir de 2 cas isolés, mais j'avais déjà remarqué ceci avec d'autres personnes. Ceux qui ont un boulot physique semblent retrouver leur forme très rapidement après coupure et enchaîner les entraînements "intensifs" sans trop de difficultés.
J'ai également constaté cela . Des athlètes ayant un métier physique sortent des performances honorables sur S, eu égard à leur faible volume d'entraînement du genre une sortie dans chaque discipline par semaine en tout et pour tout. A la belle saison, l'hiver, c'est grand max une sortie vtt par semaine ...FAYARD a écrit : ↑09 déc. 2019 09:14Ce n’est pas idiot, et sans extrapoler à partir de deux cas, cette constatation est tout à fait logique, la sédentarité tue, et être assis abîme notre squelette.PoorSwimmer a écrit : ↑09 déc. 2019 09:03 De mon expérience perso, j'ai remarqué qu'avoir un boulot un peu physique semble être une bonne chose pour le tri.
J'ai un travail plutôt de bureau, et je peux vous assurer que la moindre coupure se paie cash. Cela prend pas mal de temps pour retrouver un semblant de forme. Parallèlement, mon beauf qui fait aussi du tri mais a un boulot plutôt "physique" (pas mal de marche, port de charges de temps en temps, efforts physiques variés sans être intensifs), semble ne jamais baisser au niveau des perfs. Après une coupure de plusieurs semaines, il claque des sorties de 80km à vélo sans problèmes au bout de 2 sorties et retrouve très vite son niveau de performance.
Difficile d'extrapoler à partir de 2 cas isolés, mais j'avais déjà remarqué ceci avec d'autres personnes. Ceux qui ont un boulot physique semblent retrouver leur forme très rapidement après coupure et enchaîner les entraînements "intensifs" sans trop de difficultés.
shika a écrit : ↑09 déc. 2019 22:5880 bornes à vélo c'est pas fou non plus, le problème c'est que beaucoup ne gèrent pas leur effort. Et il est évident qu'on ne peut pas non plus maintenir un pic de forme toute l'année.FAYARD a écrit : ↑09 déc. 2019 09:14Ce n’est pas idiot, et sans extrapoler à partir de deux cas, cette constatation est tout à fait logique, la sédentarité tue, et être assis abîme notre squelette.PoorSwimmer a écrit : ↑09 déc. 2019 09:03 De mon expérience perso, j'ai remarqué qu'avoir un boulot un peu physique semble être une bonne chose pour le tri.
J'ai un travail plutôt de bureau, et je peux vous assurer que la moindre coupure se paie cash. Cela prend pas mal de temps pour retrouver un semblant de forme. Parallèlement, mon beauf qui fait aussi du tri mais a un boulot plutôt "physique" (pas mal de marche, port de charges de temps en temps, efforts physiques variés sans être intensifs), semble ne jamais baisser au niveau des perfs. Après une coupure de plusieurs semaines, il claque des sorties de 80km à vélo sans problèmes au bout de 2 sorties et retrouve très vite son niveau de performance.
Difficile d'extrapoler à partir de 2 cas isolés, mais j'avais déjà remarqué ceci avec d'autres personnes. Ceux qui ont un boulot physique semblent retrouver leur forme très rapidement après coupure et enchaîner les entraînements "intensifs" sans trop de difficultés.
Bon après il y a des extraterrestres comme Antoine qui maintiennent un très bon niveau en s'entraînant peu, je me dis qu'une fois que tu as investi un certain temps tu n'as plus besoin d'autant pour maintenir un certain niveau, le passé sportif aide sans doute beaucoup, bien se connaître aussi.
Par contre au delà de la sédentarité le stress a aussi un impact énorme, sans doute pire que le physique. Pour ma part, je le constate en tombant régulièrement malade au moment où je pars en vacances. Comme si la machine était en mode survie pendant tout ce temps et que le relâchement causait un craquage y compris du système immunitaire. C'est très pervers aussi, car des fois tu débauches avec des yeux de panda, tu penses que tu vas être bon à rien et en fait tu pars courir et tu te sens mieux après.
C'est surtout que tu t'entraines différemment.Reminox a écrit : ↑11 déc. 2019 10:48shika a écrit : ↑09 déc. 2019 22:5880 bornes à vélo c'est pas fou non plus, le problème c'est que beaucoup ne gèrent pas leur effort. Et il est évident qu'on ne peut pas non plus maintenir un pic de forme toute l'année.
Bon après il y a des extraterrestres comme Antoine qui maintiennent un très bon niveau en s'entraînant peu, je me dis qu'une fois que tu as investi un certain temps tu n'as plus besoin d'autant pour maintenir un certain niveau, le passé sportif aide sans doute beaucoup, bien se connaître aussi.
Par contre au delà de la sédentarité le stress a aussi un impact énorme, sans doute pire que le physique. Pour ma part, je le constate en tombant régulièrement malade au moment où je pars en vacances. Comme si la machine était en mode survie pendant tout ce temps et que le relâchement causait un craquage y compris du système immunitaire. C'est très pervers aussi, car des fois tu débauches avec des yeux de panda, tu penses que tu vas être bon à rien et en fait tu pars courir et tu te sens mieux après.
Je confirme ++ pour le stress. En ce qui me concèrne c'est souvent lors des pics d'activités au boulot qui engendrent un certain stress que les blessures arrivent.
Aussi par mon expérience personnelle, je vais aller un peu à contre courant de ce qui a été dit précédemment: dans le cadre de ma pratique sportive je préfère avoir un travail de bureau qu'un travail physique. S'entraîner 15h par semaine en étant assis sur une chaise toute la journée, ça va. Faire la même avec en plus un boulot physique, c'est le burn out assuré. Mais chacun est différent est c'est peut-être une question d'habitude
Quand tu as un travail physique qui te permet de bouger, d’être à l’extérieur, mais sans abîmer ton squelette, c’est une bonne chose, mais y a des tâches physiques qui te détruisent, comme dans le bâtiment, ou l’usine et ça tu ne peux pas le prendre en compte comme volume dans ton entraînement et après une journée de boulot t’es bien entamé.yoann-51 a écrit : ↑11 déc. 2019 11:27C'est surtout que tu t'entraines différemment.Reminox a écrit : ↑11 déc. 2019 10:48shika a écrit : ↑09 déc. 2019 22:58
80 bornes à vélo c'est pas fou non plus, le problème c'est que beaucoup ne gèrent pas leur effort. Et il est évident qu'on ne peut pas non plus maintenir un pic de forme toute l'année.
Bon après il y a des extraterrestres comme Antoine qui maintiennent un très bon niveau en s'entraînant peu, je me dis qu'une fois que tu as investi un certain temps tu n'as plus besoin d'autant pour maintenir un certain niveau, le passé sportif aide sans doute beaucoup, bien se connaître aussi.
Par contre au delà de la sédentarité le stress a aussi un impact énorme, sans doute pire que le physique. Pour ma part, je le constate en tombant régulièrement malade au moment où je pars en vacances. Comme si la machine était en mode survie pendant tout ce temps et que le relâchement causait un craquage y compris du système immunitaire. C'est très pervers aussi, car des fois tu débauches avec des yeux de panda, tu penses que tu vas être bon à rien et en fait tu pars courir et tu te sens mieux après.
Je confirme ++ pour le stress. En ce qui me concèrne c'est souvent lors des pics d'activités au boulot qui engendrent un certain stress que les blessures arrivent.
Aussi par mon expérience personnelle, je vais aller un peu à contre courant de ce qui a été dit précédemment: dans le cadre de ma pratique sportive je préfère avoir un travail de bureau qu'un travail physique. S'entraîner 15h par semaine en étant assis sur une chaise toute la journée, ça va. Faire la même avec en plus un boulot physique, c'est le burn out assuré. Mais chacun est différent est c'est peut-être une question d'habitude
Pour avoir un boulot demandant une activité physique extérieure, je prends mon travail comme du volume et je me consacre plus à faire des séances de qualités durant l'entraînement.
Voilà, le boulot fait office aussi de PPG ! Donc il ne reste plus que le spécifique, donc moins d'heures à effectuer pour ceux qui ont un boulot physique (dans la limite du raisonnable) pour être au même niveau que ceux qui ont le cul derrière un bureau...yoann-51 a écrit : ↑11 déc. 2019 11:27C'est surtout que tu t'entraines différemment.Reminox a écrit : ↑11 déc. 2019 10:48shika a écrit : ↑09 déc. 2019 22:58
80 bornes à vélo c'est pas fou non plus, le problème c'est que beaucoup ne gèrent pas leur effort. Et il est évident qu'on ne peut pas non plus maintenir un pic de forme toute l'année.
Bon après il y a des extraterrestres comme Antoine qui maintiennent un très bon niveau en s'entraînant peu, je me dis qu'une fois que tu as investi un certain temps tu n'as plus besoin d'autant pour maintenir un certain niveau, le passé sportif aide sans doute beaucoup, bien se connaître aussi.
Par contre au delà de la sédentarité le stress a aussi un impact énorme, sans doute pire que le physique. Pour ma part, je le constate en tombant régulièrement malade au moment où je pars en vacances. Comme si la machine était en mode survie pendant tout ce temps et que le relâchement causait un craquage y compris du système immunitaire. C'est très pervers aussi, car des fois tu débauches avec des yeux de panda, tu penses que tu vas être bon à rien et en fait tu pars courir et tu te sens mieux après.
Je confirme ++ pour le stress. En ce qui me concèrne c'est souvent lors des pics d'activités au boulot qui engendrent un certain stress que les blessures arrivent.
Aussi par mon expérience personnelle, je vais aller un peu à contre courant de ce qui a été dit précédemment: dans le cadre de ma pratique sportive je préfère avoir un travail de bureau qu'un travail physique. S'entraîner 15h par semaine en étant assis sur une chaise toute la journée, ça va. Faire la même avec en plus un boulot physique, c'est le burn out assuré. Mais chacun est différent est c'est peut-être une question d'habitude
Pour avoir un boulot demandant une activité physique extérieure, je prends mon travail comme du volume et je me consacre plus à faire des séances de qualités durant l'entraînement.