Préparation Ironman Vichy 1er !
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
Faire ces bidons c'est bien pour les deux premiers, après ? Tu remets comment la poudre dedans?
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
ravitos perso , tu y passes au moins 2 fois devant , donc si tu mets 3 bidons sur le vélo , ça te fait 3x3=9 bidons perso ... pour pisser des fontaines . 
BLEU BLANC RAGE
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
Pour en revenir au CocaCola:
Trop peu de sel, ce qui fait risquer une chute de tension !
En regard de sa composition nutritionnelle, le Coca cola fait partie des « softs drinks » et à ce titre, il n’a rien de commun avec les boissons dites « de l’effort », qui doivent se conformer à une législation particulière, très drastique sur notre territoire. Pour être très clair, la présence de sucres constitue son seul point commun avec Isostar et consorts. D’ailleurs, quand en 1993 un panel d’ »experts » s’est réuni pour tenter de définir une législation européenne des boissons « de l’effort » commune à tous les états membres de l’UE, l’unanimité s’est faite chez les scientifiques pour proposer des normes relatives à la présence de sodium et des vitamines. La raison de ce choix était très clair : faire barrage au Coca, que ses fabricants entendaient faire accéder au statut de « boisson d’effort » alors qu’il ne contient quasiment pas de ces substances d’appoint. Un litre de Coca contient 40 mg de sodium, ce qui est notoirement insuffisant pour compenser les pertes survenant à l’exercice, notamment lors des efforts de longue durée. Dans ces conditions, boire beaucoup de liquides pauvres en sel pourrait favoriser une baisse du taux plasmatique de sodium (la natrémie) qui conditionne la valeur de la tension artérielle. L’ingestion abusive de boissons pauvres en sodium, comme le Coca, peut provoquer une très préjudiciable chute de tension.
Une teneur en sucre trop élevée et une extrême acidité
La richesse en sucre du Coca pourrait constituer un atout pour les sportifs, surtout à l’occasion d’efforts de longue durée. Mais il n’en va pas ainsi. La teneur en sucre est en effet trop élevée et perturbe le fonctionnement du tube digestif, ce qui peut provoquer des diarrhées, un phénomène de déshydratation voire des troubles gastriques en rapport avec l’extrême acidité de ce produit. De plus, la présence d’un gaz, l’acide phosphorique (très agressif de par sa nature acidifiante), et la température trop basse à laquelle on l’ingère parfois accroissent le risque de trouble digestif.
De la caféine moins vite assimilée que celle du café ou du thé
Qu’en est-il de l’intérêt de la caféine du Coca dans le cadre des efforts de longue durée ? On considère usuellement que, comparativement au café ou au thé, la caféine contenue dans le Coca passe plus vite dans le sang et atteint un pic de concentration supérieur, ce qui, couplé à la présence du sucre, expliquerait le « coup de fouet » procuré par l’ingestion de ce produit après 3-4 heurs d’effort et en plein « blues ». Une étude menée, consistant à comparer les effets métaboliques respectifs de ces trois boissons a apporté un démenti à cette idée reçue : il s’avère en fait qu’avec le Coca le pic est plus tardif, plus progressif et moins élevé qu’avec le thé et le café. L’effet stimulant classiquement attribué au Coca est donc principalement dû à la présence de glucides. Pour cette raison, la prise d’une préparation « de l’effort » de composition appropriée en fin de course apparait aussi efficace.
Une boisson inappropriée à la récupération
Peut-on davantage conseiller le Coca en récupération ? Même si certains champions brandissent la petite bouteille caractéristique à l’arrivée d’une compétition, les 30 premières minutes après l’effort ne constitue pas le moment le plus approprié pour en avaler. Pourquoi ? D’une part parce que son caractère extrêmement acide altère l’élimination des déchets. D’autre part parce que cette boisson hypertonique (trop concentrée) menace, en présence d’un tube digestif perturbé par la déshydratation, de provoquer des problèmes intestinaux. En outre, sa trop faible teneur en sodium ne permet pas de restaurer rapidement le volume plasmatique, phénomène demandant un apport de sel de 2 à 3 g en 6 heures. Enfin, dernier argument, l’absence de potassium ralentit la restauration de l’équilibre cellulaire et la reformation du glycogène. L’ingestion de Coca ne se justifiera donc qu’une fois que l’organisme se sera réhydraté, et ce jusqu’à la 6ième heure post effort. Cette période se montre en effet propice à la reformation du glycogène, et la prise de solutions glucidiques présente alors un réel intérêt. Lors de cette première étape de la récupération, la prise de glucides rapides n’expose pas, par ailleurs, à la reformation de graisses de réserves.
Après je te conçois que au bout de quelques heures d'effort, boire du CoCa à un côté plaisir.
Trop peu de sel, ce qui fait risquer une chute de tension !
En regard de sa composition nutritionnelle, le Coca cola fait partie des « softs drinks » et à ce titre, il n’a rien de commun avec les boissons dites « de l’effort », qui doivent se conformer à une législation particulière, très drastique sur notre territoire. Pour être très clair, la présence de sucres constitue son seul point commun avec Isostar et consorts. D’ailleurs, quand en 1993 un panel d’ »experts » s’est réuni pour tenter de définir une législation européenne des boissons « de l’effort » commune à tous les états membres de l’UE, l’unanimité s’est faite chez les scientifiques pour proposer des normes relatives à la présence de sodium et des vitamines. La raison de ce choix était très clair : faire barrage au Coca, que ses fabricants entendaient faire accéder au statut de « boisson d’effort » alors qu’il ne contient quasiment pas de ces substances d’appoint. Un litre de Coca contient 40 mg de sodium, ce qui est notoirement insuffisant pour compenser les pertes survenant à l’exercice, notamment lors des efforts de longue durée. Dans ces conditions, boire beaucoup de liquides pauvres en sel pourrait favoriser une baisse du taux plasmatique de sodium (la natrémie) qui conditionne la valeur de la tension artérielle. L’ingestion abusive de boissons pauvres en sodium, comme le Coca, peut provoquer une très préjudiciable chute de tension.
Une teneur en sucre trop élevée et une extrême acidité
La richesse en sucre du Coca pourrait constituer un atout pour les sportifs, surtout à l’occasion d’efforts de longue durée. Mais il n’en va pas ainsi. La teneur en sucre est en effet trop élevée et perturbe le fonctionnement du tube digestif, ce qui peut provoquer des diarrhées, un phénomène de déshydratation voire des troubles gastriques en rapport avec l’extrême acidité de ce produit. De plus, la présence d’un gaz, l’acide phosphorique (très agressif de par sa nature acidifiante), et la température trop basse à laquelle on l’ingère parfois accroissent le risque de trouble digestif.
De la caféine moins vite assimilée que celle du café ou du thé
Qu’en est-il de l’intérêt de la caféine du Coca dans le cadre des efforts de longue durée ? On considère usuellement que, comparativement au café ou au thé, la caféine contenue dans le Coca passe plus vite dans le sang et atteint un pic de concentration supérieur, ce qui, couplé à la présence du sucre, expliquerait le « coup de fouet » procuré par l’ingestion de ce produit après 3-4 heurs d’effort et en plein « blues ». Une étude menée, consistant à comparer les effets métaboliques respectifs de ces trois boissons a apporté un démenti à cette idée reçue : il s’avère en fait qu’avec le Coca le pic est plus tardif, plus progressif et moins élevé qu’avec le thé et le café. L’effet stimulant classiquement attribué au Coca est donc principalement dû à la présence de glucides. Pour cette raison, la prise d’une préparation « de l’effort » de composition appropriée en fin de course apparait aussi efficace.
Une boisson inappropriée à la récupération
Peut-on davantage conseiller le Coca en récupération ? Même si certains champions brandissent la petite bouteille caractéristique à l’arrivée d’une compétition, les 30 premières minutes après l’effort ne constitue pas le moment le plus approprié pour en avaler. Pourquoi ? D’une part parce que son caractère extrêmement acide altère l’élimination des déchets. D’autre part parce que cette boisson hypertonique (trop concentrée) menace, en présence d’un tube digestif perturbé par la déshydratation, de provoquer des problèmes intestinaux. En outre, sa trop faible teneur en sodium ne permet pas de restaurer rapidement le volume plasmatique, phénomène demandant un apport de sel de 2 à 3 g en 6 heures. Enfin, dernier argument, l’absence de potassium ralentit la restauration de l’équilibre cellulaire et la reformation du glycogène. L’ingestion de Coca ne se justifiera donc qu’une fois que l’organisme se sera réhydraté, et ce jusqu’à la 6ième heure post effort. Cette période se montre en effet propice à la reformation du glycogène, et la prise de solutions glucidiques présente alors un réel intérêt. Lors de cette première étape de la récupération, la prise de glucides rapides n’expose pas, par ailleurs, à la reformation de graisses de réserves.
Après je te conçois que au bout de quelques heures d'effort, boire du CoCa à un côté plaisir.
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crevette31
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Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
Avec le froid et la neige, comment remplacez vous les sorties longue vélos ?
Je suis toujours le course a pied et la natation au programme, mais là ça fait deux semaines que je peux pas sortir le vélo, comment compensez ?
Je prévois de faire l'ironman du médoc avant celui de Vichy, un copain le fait et m'a proposé!
Donc plus que 4 mois de préparation mais en période hivernale, dur dur de faire les sorties vélos a moins de revenir avec des glaçons au pieds
Pensez vous que mars avril mai suffiront a la préparation du vélo ?
Merci de vos conseils
Je suis toujours le course a pied et la natation au programme, mais là ça fait deux semaines que je peux pas sortir le vélo, comment compensez ?
Je prévois de faire l'ironman du médoc avant celui de Vichy, un copain le fait et m'a proposé!
Donc plus que 4 mois de préparation mais en période hivernale, dur dur de faire les sorties vélos a moins de revenir avec des glaçons au pieds
Pensez vous que mars avril mai suffiront a la préparation du vélo ?
Merci de vos conseils
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
le HT !
jour de neige comme aujourd'hui , une dose de motivex comme dirait Mistertri à la sauce militaire .
17 kms sur trottoirs enneigés et sur routes nettoyées par les pneus des bagnoles en chaussures de trail et ce soir 3h de HT .
tes 2 IM comme les miens sont roulants , c'est donc au moins 2h de vélo de moins qu'Embrun .
même si tu ne fais que du HT jusqu'en Mars , à dose de 4 ou 5 par semaine ,
en faisant le fractionné court de puissance et force ou la récup sur des 1h/1h30 ,
et le fractionné long ou l'endurance sur des 2h/3h ,
tu es dans les clous pour ta préparation .
jour de neige comme aujourd'hui , une dose de motivex comme dirait Mistertri à la sauce militaire .
17 kms sur trottoirs enneigés et sur routes nettoyées par les pneus des bagnoles en chaussures de trail et ce soir 3h de HT .
tes 2 IM comme les miens sont roulants , c'est donc au moins 2h de vélo de moins qu'Embrun .
même si tu ne fais que du HT jusqu'en Mars , à dose de 4 ou 5 par semaine ,
en faisant le fractionné court de puissance et force ou la récup sur des 1h/1h30 ,
et le fractionné long ou l'endurance sur des 2h/3h ,
tu es dans les clous pour ta préparation .
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crevette31
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Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
c'est quoi le ht ?
tu remplaces l vélo par la course a pied ?
tu remplaces l vélo par la course a pied ?
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
désolé , c'est vrai que pour un débutant les nat , ht , cap , tri , t1 , t2 , pma , vma , vo2 , LA , Macca , FLV , CW , CA ... 
BLEU BLANC RAGE
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
s'enquiller 3h de HT pour préparer Vichy dans.... 7 mois et demi !!!
du grand n'importe quoi !!
du grand n'importe quoi !!
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
tu n'as pas tout suivi , chef !
il fait comme moi l'Ironmédoc début juin , et personnellement , j'attaque par la cyclosportive La Jacques Gouin début Mars et mon 1er 200 kms au rallye de Longjumeau mi-Mars .
il fait comme moi l'Ironmédoc début juin , et personnellement , j'attaque par la cyclosportive La Jacques Gouin début Mars et mon 1er 200 kms au rallye de Longjumeau mi-Mars .
BLEU BLANC RAGE
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
je compte bien me faire également la Jacques Gouin ( 115 km !! )
et ce matin, je n'ai pas fait 3h de HT..... 1 h, et c'est déjà beaucoup !!
1 h de HT, c'est pas comme 1 h de route, les heures de HT comptent "double", les anciens de la FFC pourraient t'en parler....
et ce matin, je n'ai pas fait 3h de HT..... 1 h, et c'est déjà beaucoup !!
1 h de HT, c'est pas comme 1 h de route, les heures de HT comptent "double", les anciens de la FFC pourraient t'en parler....
Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
ça ne veut rien dire ce que tu dis , tout dépend de l'intensité . ce soir devant la téloche pour le hand et le PSG , je roule au train avec des petites variations .
à bientôt pour la Jacques Gouin , et pour le rallye de Longjumeau avec un paquet de triathlètes en rodage , si tu veux .
à bientôt pour la Jacques Gouin , et pour le rallye de Longjumeau avec un paquet de triathlètes en rodage , si tu veux .
BLEU BLANC RAGE
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crevette31
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Re: Préparation Ironman Vichy 1er !
comment faire alors pour remplacer le vélo si je n'ai pas de home trainer ?
est ce que de mi février a mai suffira pour se préparé ?
bonne soirée
est ce que de mi février a mai suffira pour se préparé ?
bonne soirée