Kloden aurait signé 2 ans chez Quick Step (mouai !! 
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Selon le Het Nieuwsblad, la formation Quick Step aurait d'ores et déjà engagé un coureur pour l'an prochain. Il s'agirait selon le média belge, ni plus ni moins qu'Andreas Kloden, l'Allemand de la Radioshack. Patrick Lefévère voudrait faire du coureur de la Radioshack son coureur pour les Grands Tour. L'ancien de la T-Mobile a eu 36 ans cette année et a récemment abandonné sur le Tour suite à des problèmes au dos notamment.
Le contrat proposé par la Quick Step s'échelonnerait sur deux années tandis que celui proposé par la Radioshack ne l'engagerait que pour l'année 2012. Il aurait donc fait son choix, privilégiant l'offre de la structure belge à celle de son actuel employeur.
Voeckler : "Rageant de ne pas être sur le podium"
Il aura fait vibrer des millions de spectateurs et télespectateurs durant une dizaine de jours. Thomas Voeckler a porté tous les espoirs des Français durant la deuxième partie du Tour de France. Durant près de 10 jours, il a résisté aux cadors du peloton avec le maillot jaune sur les épaules. Il a tenu tête aux meilleurs grimpeurs du monde sur un terrain où on ne le pensait pas capable d'évoluer à un tel niveau. Au final, il s'est fait destituer de sa tunique au profit d'Andy Schleck, puis d'Evans. Quant à lui, il est quatrième du Tour de France. Un résultat aussi inattendu qu'exceptionnel. Aucun Français depuis Moreau en 2000 n'était parvenu à réaliser un tel résultat sur la Grande Boucle.
Pour l'Equipe ce Lundi , il est revenu sur son Tour de France tout bonnement remarquable avec peut-être une pointe de regrets : "J'ai caressé le rêve de monter sur le podium. Cela restera un rêve. Au matin de l’étape de l’Alpe-d’Huez, il était accessible. La victoire dans le Tour, non, je n’y ai jamais pensé, c’était plus le fait qu’on m’en parle. La deuxième place, oui, je m’y suis vu après l’arrivée au Galibier (jeudi), derrière Cadel Evans – je savais qu’il me prendrait du temps dans le chrono." Malheureusement, isolé en début d'étape Vendredi, Voeckler a lâché des forces pour rien. Au final, il a craqué dans l'Alpe d'Huez, et même s'il a réalisé un bon chrono, cela n'a pas été suffisant pour remonter sur le podium :
"Quand on est compétiteur, qu’on a de l’ambition, on ne peut pas dire qu’on est super content de terminer quatrième. Toutefois, je préfère être quatrième de cette façon, en courant le Tour comme je ne l’avais encore jamais couru, que deuxième sans m’être battu, sans qu’on ait parlé de moi." Et le leader d'Europcar préfère relativiser. Personne ne s'attendait à le voir évoluer à ce niveau pour le classement général, lui le premier :
"Cela ne changera pas ma vie de ne pas être sur la photo avec, au fond, l’Arc de triomphe, même si c’est rageant de ne pas être sur le podium. Mais, à l’inverse, je peux aussi dire que si je n’ai pas quatre équipiers entre le Galibier et l’Alpe-d’Huez, je ne fais jamais quatrième. Ce qui arrive à l’équipe, à Pierre Rolland (meilleur jeune de ce Tour de France) et à moi-même, est impensable. Avant le départ, si quelqu’un a parié 10 euros sur Internet que je finirais dans les cinq premiers, il s’est fait des ronds. C’est le sport, rien n’est écrit, Dieu merci" souffle-t-il. Sur le Tour de France, Thomas Voeckler était venu en tant que chasseur d'étape et s'est finalement converti en coureur de classement général, portant le maillot jaune pendant dix journées, ce qui lui rappelle quelque chose :
"Ce n’est pas un hasard si j’ai été dix jours en jaune en 2004 et à nouveau dix jours cette année. J’y vois un signe du destin. Il est certain que le maillot de 2004 m’a beaucoup aidé à vivre celui de 2011. Il y a sept ans, j’arrivais à l’hôtel trop tard le soir à cause des nombreuses sollicitations. On était en recherche de sponsor, j’étais jeune, j’en croquais, personne avant ce maillot ne s’était encore intéressé à moi mais, au final, je ne m’appartenais plus [...] Ce maillot, j’ai compris depuis longtemps que sa rareté fait sa beauté, qu’il faut relativiser car le succès est toujours éphémère. Je n’aimerais pas être plus populaire, je dis cela sans fausse modestie. Ce serait pour moi une désolation si j’étais suivi au supermarché ou dans un parc. Si je ne pouvais pas goûter aux choses simples de la vie, je serais malheureux."
Enfin, après ses exploits des deux dernières semaines, c'est à se demander si Thomas Voeckler ne pourrait pas revenir l'an prochain avec de nouvelles ambitions. Il lui faudrait alors adopter l'attitude et la préparation d'un leader, mais il n'est pas certain que cela soit pour lui :
"Pourquoi changer de préparation l’an prochain ? En courant moins et en faisant des stages à la place ? Je ne me vois pas partir deux semaines à Tenerife. Et puis, même si je ne suis pas un fainéant, je ne suis pas non plus un mordu de l’entraînement. Je ne suis pas capable d’y produire la même qualité de travail qu’en compétition. Je n’étais pas là pour le général et je passe à un poil du podium. Je ne crois pas que cela puisse se reproduire. Je suis lucide, beaucoup de favoris ont abandonné (Wiggins, Van den Broeck, Brajkovic ou Klöden). Cela va vous paraître étrange, mais le Tour, ce n’est pas ce que j’aime le plus. J’aime le vélo et je trouve que le Tour ne fait pas assez de place au sport face à l’argent et au marketing. Mais cela reste la légende..."
L'avenir d'HTC-Highroad semble assuré
L'avenir de la structure de Bob Stapleton, actuellement appelée HTC-Highroad, semble assuré. En effet, les médias allemands ont hier soir rapporté des paroles du manager général de la formation américaine qui se montrait très confiant quant à l'avenir de l'équipe la plus prolifique depuis sa création.
"Rien n'a encore été signé, mais je suis très optimiste" a déclaré Stapleton. Il comptait sur le Tour de France pour trouver de nouveaux partenaires suite au probable retrait d'HTC, et vraisemblablement, la pêche a été fructueuse puisque de nombreuses compagnies internationales se sont dites interessées : "J'ai maintenant deux options, nous avons même la possibilité d'un contrat sur trois ans, et nous aurons un budget plus important" assure-t-il.
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hallucinant ce balai, idem à l'arrivée, tout ça pour faire les mêmes photos 
