Gaumont sur Europe1

Des infos pas des ragots!
ironchris
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Message non lu par ironchris »

En marionnette sur canal+, c'est déjà bien, il me fait rire.
L'autre jour, je l'ai vu rapidement dans Fort Boyard. Il a répondu à la question du père Fourasse. pas si con que ça :sm15: En tout cas, l'EPO ne bouffe pas tous les neurones!

Je déconne j'aime bien Richard, c'est un mec simple, il dit ce qu'il pense (avant, maintenant, il fait gaffe, il a pris quelques leçons!) et lui aussi, 6 maillot blancs à pois rouges (les globules) comme le sang (Oxygénné à coups d'EPO) et pas pris, ou si peu!
clean
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Message non lu par clean »

reponse sujet GAUMONT
en cyclisme et ailleurs.
ben oui !j'espère tout le monde le sait.
ça tjs ete ainsi et ça le restera;
regardé de temps en temps ils se font choper .
quand ils ne font pas assez attention au dosage;dans le triathlon c'est idemm
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Boulegan
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Message non lu par Boulegan »

Pour info :

NANTERRE (AP) -- Le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) a relaxé vendredi deux coureurs, dont l'Ecossais David Millar, mais a condamné cinq autres cyclistes, parmi lesquels Philippe Gaumont, à des peines de trois à six mois d'emprisonnement avec sursis pour des faits de
dopage au sein de l'équipe Cofidis.

Le parquet avait requis la relaxe de Millar, 30 ans, qui porte aujourd'hui le maillot de l'équipe Saunier-Duval/Prodir, et des "peines de principe" allant de trois à six mois d'emprisonnement avec sursis contre six autres coureurs.

Dans ses attendus, le tribunal a estimé que les sociétés Cofidis SA et Cofidis Compétition, n'avaient pas pris de "mesures significatives" pour enrayer le dopage au sein de cette équipe dont elles "ne pouvaient ignorer le phénomène notoire (...) ni son ampleur". Et ce d'autant plus que
des personnalités du monde médical et sportif "avaient de longue date stigmatisé ces pratiques".

L'Ecossais David Millar, qui vient de fêter ses 30 ans le 4 janvier, a bénéficié d'une relaxe. Il avait été suspendu deux ans avant de revenir dans le peloton l'an dernier.

Le tribunal correctionnel de Nanterre a prononcé une autre relaxe, celle du cycliste italien Massimiliano Lelli, âgé de 39 ans, estimant qu'il n'était pas établi que des infractions avaient été commises sur le territoire français. Les deux coureurs relaxés étant étrangers, la justice
française ne pouvait être compétente que si l'infraction avait lieu en France.

L'ex-soigneur de l'équipe Cofidis, Boguslaw Madejak, 51 ans, a pour sa part été condamné à un an d'emprisonnement dont neuf mois avec sursis, soit une peine de trois mois ferme.

L'ancien coureur Philippe Gaumont, âgé de 33 ans, et trois autres cyclistes, Robert Sassone, 28 ans, Marek Rutkiewicz, 25 ans, Daniel Majewski, 25 ans, ont écopé de six mois d'emprisonnement avec sursis.

Médéric Clain, autre ancien coureur de Cofidis, et Oleg Kozlitine, 37 ans, entraîneur d'une équipe de troisième division, ont eux été condamnés à trois mois d'emprisonnement avec sursis.

Un pharmacien Pierre Ben Yamin qui, via un intermédiaire, avait vendu des produits dopants à Robert Sassone, s'est vu infliger à six mois d'emprisonnement avec sursis.

Tous les coureurs poursuivis dans ce dossier ont reconnu avoir pris des produits dopants. Aucun d'entre eux n'était présent à l'audience.

Si le tribunal a retenu la constitution de partie civile des sociétés Cofidis SA et Cofidis Compétition, il a estimé que les débats avaient "démontré la pression subie par les coureurs qui devaient absolument obtenir un résultat sous peine de voir leur contrat non renouvelé, et de
perdre tout espoir dans le cyclisme".

Les magistrats de Nanterre ont considéré que "les incitations financières, s'ajoutant à la recherche de la gloire, ne pouvaient que conduire les coureurs à modifier leurs capacités sportives naturelles par l'utilisation de produits (...) dopants".

En conséquence, les deux sociétés n'ont pas obtenu de dommages et intérêts. La Fédération française de cyclisme, également partie civile, s'est vu allouer 10.000 euros de dommages et intérêts que devront payer solidairement les personnes condamnées.

Le ministère public s'était prononcé contre la constitution de partie civile des sociétés Cofidis SA et Cofidis Compétition. AP
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
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