Distinguer fatigue mentale et physique
Publié : 22 août 2013, 10:32
Bonjour,
Je poste dans cette section mais cela aurait pu aussi aller dans la section Santé.
Je me demande comment distinguer la fatigue mentale en course et en entrainement de la fatigue physique.
La fatigue physique pourrait entraîner des blessures alors que la fatigue mentale pourrait se vaincre sans risque pour l'organisme.
Je n'ai rien trouvé sur le net de précis à ce sujet.
La seule corrélation semble être liée au taux de sérotonine qui augmente quand on fait du sport et quand on absorbe des sucres.
Ainsi, j'ai lu que le seul goût sucré peut améliorer les performances sportives lors d'une épreuve, le cerveau se mettant à sécréter plus de sérotonine.
L'apport de glucide et de sucre n'aurait pas qu'un intérêt en terme de muscle mais aussi au niveau mental.
Personnellement, j'ai déjà eu de gros coups de barre en course qui disparaissaient quelques minutes seulement après ingestion de sucre et je n'ose pas croire que le problème venait des muscles mais plutôt d'un problème mental.
Difficile donc de savoir quand on est à bout lors d'une épreuve si on est en danger ou si le cerveau n'arrive tout simplement plus à fournir sa dose de sérotonine.
Donc comment faire pour se préparer (alimentation, etc..) au coup de pompe mental lors d'une épreuve et comment distinguer fatigue mentale et physique lorsqu'on pousse la machine à fond?
Si vous avez des pistes, ça m'intéresse.
Je poste dans cette section mais cela aurait pu aussi aller dans la section Santé.
Je me demande comment distinguer la fatigue mentale en course et en entrainement de la fatigue physique.
La fatigue physique pourrait entraîner des blessures alors que la fatigue mentale pourrait se vaincre sans risque pour l'organisme.
Je n'ai rien trouvé sur le net de précis à ce sujet.
La seule corrélation semble être liée au taux de sérotonine qui augmente quand on fait du sport et quand on absorbe des sucres.
Ainsi, j'ai lu que le seul goût sucré peut améliorer les performances sportives lors d'une épreuve, le cerveau se mettant à sécréter plus de sérotonine.
L'apport de glucide et de sucre n'aurait pas qu'un intérêt en terme de muscle mais aussi au niveau mental.
Personnellement, j'ai déjà eu de gros coups de barre en course qui disparaissaient quelques minutes seulement après ingestion de sucre et je n'ose pas croire que le problème venait des muscles mais plutôt d'un problème mental.
Difficile donc de savoir quand on est à bout lors d'une épreuve si on est en danger ou si le cerveau n'arrive tout simplement plus à fournir sa dose de sérotonine.
Donc comment faire pour se préparer (alimentation, etc..) au coup de pompe mental lors d'une épreuve et comment distinguer fatigue mentale et physique lorsqu'on pousse la machine à fond?
Si vous avez des pistes, ça m'intéresse.