J'ai mis une réponse iconoclaste dans mon pavé sur l'hydratation.
D'ailleurs lors de mon 41ème marathon (hors IM) j'ai pu le vérifié en courant sans "sucres"(pas de boisson énergétique sur ce marathon

) et sans rencontrer un mur violent, mais un lent ralentissement au fait de n'avoir fait que 4 sorties de CAP le mois précédent. Ceci ne vaut pas généralité, mais après un coup de bambou violent au 15èmekm, j'ai pris une bouteille d'eau pour boire régulièrement entre chaque ravito une gorgée tous les 400m, à partir du 25èmekm, j'ai ramassé les cadavres... Ceci sans prendre les gels transportés (mais avec Cachet de sporténine, 2 pour les 2 premières heures)
A l'époque ou pour faire mes records, j'étais accompagné par un cycliste, toutes les 10', 2 bonnes gorgées et le mur était repoussé vers le 37/39 ème km, voire jamais présent et fin au sprint...(Si j'étais passé, comme en trail, à une gorgée tous les 200/400 m, j'aurais fait un meilleur record marathon)
Comme je travaille actuellement sur l'absorption sublinguale, est ce elle qui m'a fait éviter le mur ?
Je ne saurais dire... Mais c'est une hypothèse.
Ceci écrit, les généralités c'est quand j'ai des dizaines voire centaines de retour similaires...
Revoici mon lien hydratation ou j'ai mis un chapitre sur le mur hydrique
En vélo c'est légèrement différent car beaucoup plus calorivore.
En effet, lorsque l'on rencontre le mur glycogénique, que l'on a une bonne hypoglycémie, c'est la fameuse fringale chere au vélo.
Du coup, même si on s'hydrate bien, les réserves glycogéniques s'épuisent très vite et donc il faut s'alimenter, souvent, même si on s'hydrate bien. Surtout si la sortie n'est QUE vélo et qu'il n'y a pas de CAP après... Sinon il faut prendre les phénomènes d'osmose en paramètre pour le passage à T2...
Pour conclure, je rappelle que ce qui différencie une hypoglycémie d'une déshydratation est que dans le premier cas, vous avez une faim de loup pour refaire le stock, comme la fringale en vélo !!!
L'Papy_froid