enorme OL !
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je suis reconcilié avec le foot
Re: enorme OL !
Pas vu le match, mais bel exploit que de sortir le Real (et ses millions... ). Deux clubs français en Quart ???
Re: enorme OL !
Finalement en France ... y'a une équipe qui mouille le maillot au niveau International ... ça fait plaisir à voir ... bravo
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Re: enorme OL !
Même s'ils ont sorti le Real il ne faut pas trop s'exciter ce n'était que les 8ème de finales.
Re: enorme OL !
On peut tout de même saluer la performance. Il est évident qu'avant de soulever la coupe aux grandes oreilles il faudra encore élevé le niveau. Si le Real est le club le plus riche du monde, ca n'est pas de mon point de vu la meilleure équipe. Des clubs comme Manchester, le Barca, Chelsea ou Arsenal sont plus forts, notamment sur le plan collectif ou athlétique.MARATHONMAN a écrit :Même s'ils ont sorti le Real il ne faut pas trop s'exciter ce n'était que les 8ème de finales.
Récits de courses :
http://jmbomablog.unblog.fr/
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Re: enorme OL !
Madrid sens dessus dessous
La presse espagnole n'est pas tendre avec le Real Madrid
Pour la presse espagnole comme pour tous les Madrilènes, l'ampleur de la désillusion vécue mercredi soir est à la mesure de la confiance affichée avant le match contre Lyon. A savoir terriblement forte. Et destructrice ?
«Fuera». En castillan, cela signifie dehors. Marca n'y va donc pas par quatre chemins pour réclamer la tête de Manuel Pellegrini après ce que le quotidien AS appelle «une catastrophe». Ce jeudi matin, la presse sportive espagnole se lamente tout autant qu'elle accuse. Et condamne même puisque Marca relaie un message sur Twitter de l'attaché de presse de Kaka : «Pellegrini est un lâche qui ne cesse de pointer du doigt un joueur afin de tourner l'attention de sa propre incompétence.» Bref, de l'euphorie née de la victoire renversante sur le FC Séville le week-end dernier (3-2), il ne reste plus rien ou presque. Il faut dire que la perspective de jouer une finale de Ligue des Champions à domicile s'assimilait à un rêve pour les joueurs et pour les supporteurs. Las, l'Olympique Lyonnais sera passé par là, faisant perdre selon Marca une bonne vingtaine de millions d'euros à la Maison Blanche. Mais cela n'est rien comparativement au sentiment «d'humiliation» ressenti par des Madrilènes qui avaient affiché leur confiance, pour ne pas dire leur belle assurance, avant de retrouver le club français. Des commentaires comme ceux de Sergio Ramos, qui affirmait que le Real allait «gagner 3-0», ou de Guti, déclamant que «Lyon n'était pas une grande équipe», ressortent aujourd'hui sous un angle bien différent.
Claude Puel appréciera
Surtout, les hommes de Claude Puel les ont lus et s'en sont servi comme une forme de motivation supplémentaire. Il n'y avait qu'à voir le visage de Cris en zone mixte parler de «respect» pour comprendre à quel point ils furent touchés dans leur orgueil. Mais sur ce facteur, la presse ibérique préfère garder un voile pudique, se contentant de reconnaître, dans les colonnes d'AS, que «si Lyon a souffert en première période, après la pause, c'étaient bien les Français qui furent supérieurs dans tous les domaines.» Et chaque analyste de chercher les raisons de ce changement complet de physionomie car pendant le premier quart d'heure de la rencontre, c'était bien le fantôme du Camp Nou qui planait au-dessus des têtes rhodaniennes. Au bout de 30 secondes de jeu, Hugo Lloris devait s'interposer devant Kaka. Six minutes plus tard, Cristiano Ronaldo le trompait pour remettre les compteurs à zéro et les vagues madrilènes continuaient de déferler. Mais si l'an dernier, l'OL avait sombré après l'ouverture du score adverse pour être mené 4-0 à la demi-heure de jeu, cette fois, il a su resserrer les rangs. Et Marca de louer les changements opérés par Claude Puel à la pause, sans forcément savoir qu'ils furent contraints et forcés par des pépins physiques. Tant pis, l'entraîneur lyonnais a subi suffisamment de critiques depuis son arrivée à Lyon pour apprécier aujourd'hui quelques éloges.
«Pas une équipe»
Maintenant, concernant le Real, se pose la question de l'avenir. Car Sergio Ramos a beau en appeler «à l'unité dans ce moment difficile», il n'est pas certain que celle-ci soit facile à obtenir. En effet, pour Guti, le constat est rude : «Nous devons davantage être une équipe et non pas une addition d'individualités.» Surtout que les stars furent bien décevantes, avec en tête de liste des accusés selon Marca Kaka et Gonzalo Higuain, le premier étant une nouvelle fois bien discret alors que le second tarde à confirmer sur le plan européen les qualités entrevues en Liga. Au petit jeu des notes du côté de AS, seuls Cristiano Ronaldo et Raul Albiol échappent à la vindicte populaire. Cela fait peu, bien peu. Et l'analyse tactique opérée par Marca de la seconde période est sans concession : «Le Real donna l'impression de toujours être en infériorité numérique.» Ce qui revient à dire qu'une fois de plus, Madrid n'est pas parvenu à mettre en place un véritable bloc-équipe. Le tout débouchant sur «le pire échec des 15 dernières années» selon José Vicente Hernaez, éditorialiste pour Marca. Reste à voir si les Merengue pourront s'en relever en championnat, la dernière compétition qu'il leur reste cette saison.
La presse espagnole n'est pas tendre avec le Real Madrid
Pour la presse espagnole comme pour tous les Madrilènes, l'ampleur de la désillusion vécue mercredi soir est à la mesure de la confiance affichée avant le match contre Lyon. A savoir terriblement forte. Et destructrice ?
«Fuera». En castillan, cela signifie dehors. Marca n'y va donc pas par quatre chemins pour réclamer la tête de Manuel Pellegrini après ce que le quotidien AS appelle «une catastrophe». Ce jeudi matin, la presse sportive espagnole se lamente tout autant qu'elle accuse. Et condamne même puisque Marca relaie un message sur Twitter de l'attaché de presse de Kaka : «Pellegrini est un lâche qui ne cesse de pointer du doigt un joueur afin de tourner l'attention de sa propre incompétence.» Bref, de l'euphorie née de la victoire renversante sur le FC Séville le week-end dernier (3-2), il ne reste plus rien ou presque. Il faut dire que la perspective de jouer une finale de Ligue des Champions à domicile s'assimilait à un rêve pour les joueurs et pour les supporteurs. Las, l'Olympique Lyonnais sera passé par là, faisant perdre selon Marca une bonne vingtaine de millions d'euros à la Maison Blanche. Mais cela n'est rien comparativement au sentiment «d'humiliation» ressenti par des Madrilènes qui avaient affiché leur confiance, pour ne pas dire leur belle assurance, avant de retrouver le club français. Des commentaires comme ceux de Sergio Ramos, qui affirmait que le Real allait «gagner 3-0», ou de Guti, déclamant que «Lyon n'était pas une grande équipe», ressortent aujourd'hui sous un angle bien différent.
Claude Puel appréciera
Surtout, les hommes de Claude Puel les ont lus et s'en sont servi comme une forme de motivation supplémentaire. Il n'y avait qu'à voir le visage de Cris en zone mixte parler de «respect» pour comprendre à quel point ils furent touchés dans leur orgueil. Mais sur ce facteur, la presse ibérique préfère garder un voile pudique, se contentant de reconnaître, dans les colonnes d'AS, que «si Lyon a souffert en première période, après la pause, c'étaient bien les Français qui furent supérieurs dans tous les domaines.» Et chaque analyste de chercher les raisons de ce changement complet de physionomie car pendant le premier quart d'heure de la rencontre, c'était bien le fantôme du Camp Nou qui planait au-dessus des têtes rhodaniennes. Au bout de 30 secondes de jeu, Hugo Lloris devait s'interposer devant Kaka. Six minutes plus tard, Cristiano Ronaldo le trompait pour remettre les compteurs à zéro et les vagues madrilènes continuaient de déferler. Mais si l'an dernier, l'OL avait sombré après l'ouverture du score adverse pour être mené 4-0 à la demi-heure de jeu, cette fois, il a su resserrer les rangs. Et Marca de louer les changements opérés par Claude Puel à la pause, sans forcément savoir qu'ils furent contraints et forcés par des pépins physiques. Tant pis, l'entraîneur lyonnais a subi suffisamment de critiques depuis son arrivée à Lyon pour apprécier aujourd'hui quelques éloges.
«Pas une équipe»
Maintenant, concernant le Real, se pose la question de l'avenir. Car Sergio Ramos a beau en appeler «à l'unité dans ce moment difficile», il n'est pas certain que celle-ci soit facile à obtenir. En effet, pour Guti, le constat est rude : «Nous devons davantage être une équipe et non pas une addition d'individualités.» Surtout que les stars furent bien décevantes, avec en tête de liste des accusés selon Marca Kaka et Gonzalo Higuain, le premier étant une nouvelle fois bien discret alors que le second tarde à confirmer sur le plan européen les qualités entrevues en Liga. Au petit jeu des notes du côté de AS, seuls Cristiano Ronaldo et Raul Albiol échappent à la vindicte populaire. Cela fait peu, bien peu. Et l'analyse tactique opérée par Marca de la seconde période est sans concession : «Le Real donna l'impression de toujours être en infériorité numérique.» Ce qui revient à dire qu'une fois de plus, Madrid n'est pas parvenu à mettre en place un véritable bloc-équipe. Le tout débouchant sur «le pire échec des 15 dernières années» selon José Vicente Hernaez, éditorialiste pour Marca. Reste à voir si les Merengue pourront s'en relever en championnat, la dernière compétition qu'il leur reste cette saison.
I don't ride a bike to add days to my life. I ride a bike to add life to my days !!!