pour ces sujets sortis du contexte !!!Coupe du monde de Rio
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frankyb
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On se calme les gars, il y a des forums sur le foot pour exprimer vos idéaux !!!!! alors pour ces sujets sortis du contexte !!!
pour ces sujets sortis du contexte !!!Ergonomie cycliste à la maison médicale du sport (Rouen)
http://franky-batelier.onlinetri.com/
http://www.mms-europe-rouen.com/
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Oui, surtout qu'entre OM et PSG, on peut difficilement parler d' "idéaux" !Copste a écrit :C'était pour rire, je connais bien Rear Flat et Pgb51... cela ne se reproduira plus dans des sujets aussi sérieux...frankyb a écrit :On se calme les gars, il y a des forums sur le foot pour exprimer vos idéaux !!!!! alors
Voici donc le papier paru ce lundi dans L'Equipe. Ce mardi, nouveau papier (bien plus court que je ne l'aurais souhaité 
) sur le pourquoi de ces succès à répétition.
Au tour de Deanaz
Cédric Deanaz a signé hier à Rio la troisième victoire française en deux mois. Incroyable !
UN TRIATHLETE français peut toujours en cacher un autre. Après les deux sociétaires de Sartrouville, Frédéric Belaubre à Madrid et Cédric Fleureton à Cancun, Cédric Deanaz (Poissy) a remporté hier une troisième victoire tricolore en Coupe du monde en moins de deux mois. Sous la pluie durant toute la course mais avec une température de 20°C, le Pisciacais, à vingt-huit ans, a réalisé le plus joli coup de sa carrière. Sa troisième place lors de la manche de Coupe du monde de Hambourg en 2002 et ses deux titres de champion du monde militaires en 2002 et 2003, étaient en effet jusqu’à présent ses principaux titres de gloire. « Après la natation, nous étions les trois Français dans la premier groupe (à l’arrivée Fleureton termine 8e et David Hauss, pour sa première sortie sur le circuit, prend une très bonne treizième place), raconte-t-il. On a essayé d’attaquer mais c’était trop compliqué. A deux tours de la fin, on s’est résigné à prendre des petits relais pour assurer le rythme. Et d’un coup c’est parti. Avec l’Estonien Albert, on s’est dit que c’était la bonne. »
En posant le vélo avec 1’40’’ d’avance sur les favoris, Deanaz pouvait alors envisager une belle issue. « Je savais que c’était presque plié et que j’avais de bonnes chances, poursuit Deanaz. Mais vu les résultats des Français ces derniers temps, il fallait absolument que je l’emporte pour ne pas passer inaperçu. La ligne franchie, j’ai ressenti une grande impression de fierté. J’avais pas mal galéré ces derniers mois avec notamment une pubalgie en 2003. J’avais continué à courir et ça m’a brisé. Ici, je venais juste pour finir la saison et faire le point sur mon travail avec Boris Gros pour récolter des informations pour la saison prochaine. » « C’est une grosse satisfaction, commente Boris Gros, digne d’être sacré entraîneur de l’année après les nombreux succès déjà obtenus cette saison par sa protégée Virginie Jouve. Depuis deux ans, Cédric vivait une sorte de traversée du désert. Cette année, il hésitait entre le long et la distance olympique (il a pris la sixième place des Championnats de France sur les deux distances). En juillet, quand nous avons commencé à travailler ensemble, j’ai réussi à le convaincre de rester sur DO avec pourquoi pas Pékin comme objectif. Cédric est un besogneux. Parfois même avec excès. Il a fallu en faire un peu moins en le réorientant vers l’essentiel. »
Ecarté du groupe de Préparation olympique pour Athènes en début de saison, Deanaz devrait bénéficier d’un nouvel élan. « Mon objectif est de conserver mon statut d’athlète de haut niveau pour continuer à exister socialement tout en pouvant m’entraîner, explique-t-il. C’est aussi pour cela que je n’ai pas complètement bifurqué vers le long qui n’est pas valorisé par la politique fédérale. Je bénéficie aujourd’hui d’un poste aménagé à la direction régionale du Languedoc-Roussillon de l’UNSS grâce notamment à la DTN Patricia Costantini et à Claude Meyer qui m’ont donné un coup de main. Mais je ne veux pas m’enflammer. Je ne me suis pas vu trop moche quand ça n’allait pas ce n’est pas pour me voir trop beau maintenant. Je vais continuer à travailler sereinement cet hiver avec Frank Bignet, mon partenaire d’entraînement privilégié. J’ai gagné une Coupe du monde, voilà, c’est une bonne chose de faite. » En attendant la prochaine saison, Deanaz va goûter à quelques jours de vacances bien mérités du côté de Salvador de Bahia. Il y sera rejoint par sa compagne Stéphanie Gros (la sœur de son entraîneur Boris, vice-championne de France 2002) qui lui offrira bientôt un petit garçon. Des vacances que les deux tourtereaux ne s’attendaient sûrement pas à entamer d’une si belle façon.
) sur le pourquoi de ces succès à répétition. Au tour de Deanaz
Cédric Deanaz a signé hier à Rio la troisième victoire française en deux mois. Incroyable !
UN TRIATHLETE français peut toujours en cacher un autre. Après les deux sociétaires de Sartrouville, Frédéric Belaubre à Madrid et Cédric Fleureton à Cancun, Cédric Deanaz (Poissy) a remporté hier une troisième victoire tricolore en Coupe du monde en moins de deux mois. Sous la pluie durant toute la course mais avec une température de 20°C, le Pisciacais, à vingt-huit ans, a réalisé le plus joli coup de sa carrière. Sa troisième place lors de la manche de Coupe du monde de Hambourg en 2002 et ses deux titres de champion du monde militaires en 2002 et 2003, étaient en effet jusqu’à présent ses principaux titres de gloire. « Après la natation, nous étions les trois Français dans la premier groupe (à l’arrivée Fleureton termine 8e et David Hauss, pour sa première sortie sur le circuit, prend une très bonne treizième place), raconte-t-il. On a essayé d’attaquer mais c’était trop compliqué. A deux tours de la fin, on s’est résigné à prendre des petits relais pour assurer le rythme. Et d’un coup c’est parti. Avec l’Estonien Albert, on s’est dit que c’était la bonne. »
En posant le vélo avec 1’40’’ d’avance sur les favoris, Deanaz pouvait alors envisager une belle issue. « Je savais que c’était presque plié et que j’avais de bonnes chances, poursuit Deanaz. Mais vu les résultats des Français ces derniers temps, il fallait absolument que je l’emporte pour ne pas passer inaperçu. La ligne franchie, j’ai ressenti une grande impression de fierté. J’avais pas mal galéré ces derniers mois avec notamment une pubalgie en 2003. J’avais continué à courir et ça m’a brisé. Ici, je venais juste pour finir la saison et faire le point sur mon travail avec Boris Gros pour récolter des informations pour la saison prochaine. » « C’est une grosse satisfaction, commente Boris Gros, digne d’être sacré entraîneur de l’année après les nombreux succès déjà obtenus cette saison par sa protégée Virginie Jouve. Depuis deux ans, Cédric vivait une sorte de traversée du désert. Cette année, il hésitait entre le long et la distance olympique (il a pris la sixième place des Championnats de France sur les deux distances). En juillet, quand nous avons commencé à travailler ensemble, j’ai réussi à le convaincre de rester sur DO avec pourquoi pas Pékin comme objectif. Cédric est un besogneux. Parfois même avec excès. Il a fallu en faire un peu moins en le réorientant vers l’essentiel. »
Ecarté du groupe de Préparation olympique pour Athènes en début de saison, Deanaz devrait bénéficier d’un nouvel élan. « Mon objectif est de conserver mon statut d’athlète de haut niveau pour continuer à exister socialement tout en pouvant m’entraîner, explique-t-il. C’est aussi pour cela que je n’ai pas complètement bifurqué vers le long qui n’est pas valorisé par la politique fédérale. Je bénéficie aujourd’hui d’un poste aménagé à la direction régionale du Languedoc-Roussillon de l’UNSS grâce notamment à la DTN Patricia Costantini et à Claude Meyer qui m’ont donné un coup de main. Mais je ne veux pas m’enflammer. Je ne me suis pas vu trop moche quand ça n’allait pas ce n’est pas pour me voir trop beau maintenant. Je vais continuer à travailler sereinement cet hiver avec Frank Bignet, mon partenaire d’entraînement privilégié. J’ai gagné une Coupe du monde, voilà, c’est une bonne chose de faite. » En attendant la prochaine saison, Deanaz va goûter à quelques jours de vacances bien mérités du côté de Salvador de Bahia. Il y sera rejoint par sa compagne Stéphanie Gros (la sœur de son entraîneur Boris, vice-championne de France 2002) qui lui offrira bientôt un petit garçon. Des vacances que les deux tourtereaux ne s’attendaient sûrement pas à entamer d’une si belle façon.
Et les dernières impressions de Cédric sont désormais sur le site de Poissy à l'adresse suivante :
http://www.poissytriathlon.com
Sportivement
Toma
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