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salut à tous, ma question est la suivante:

comment fait t-on pour s'entrainer par 40° en ce moment en région parisienne et vaut t-il
mieux s'abstenir parfois ou à certaines heures ? (ozone , pollution, déshydratation etc)
pour ma part je suis raide mort , je ne dors pas, je me demande si c'est bien raisonnble
d'aller faire un footing dans ces conditions

Je me pose aussi la même question... et suis pour ma part plutot adepte de piscine et repos en ce moment

C'est clair que le temps est plus à prendre une petite mousse bien fraiche dans un bar climatisé plutot que de fondre sur place en faisant du sport!

S'entrainer sous la chaleur n'est pas toutefois inutile car cela te permet de développer quelques adaptations. Cela sera utile le jour où tu devras faire un triathlon sous un soleil de plomb (par ex. ceux qui vont faire Embrun dans quelques jours).

Quelques trucs de base:
- Privilégier les entrainements tôt le matin, la temperature est nettement plus supportable.
- Diminuer l'intensité de l'entrainement. En effet la régulation de la temperature corporelle pompe pas mal d'energie
- Boire, boire, boire. Avant, pendant et après et pendant l'effort. L'ideal est aussi de surveiller son poid avant et après l'entrainement pour s'assurer que l'on ne s'est pas trop déshydrater.

Bon entrainement,
T.

Vous pouvez aussi vous entrainer le soir ou alors sur un rouleau avec un ventilateur a pleine vitesse juste devant vous!

Par experience cette semaine les temperatures le soir étaient très chaudes même après la tombée de la nuit (+ de 30C à 22h). Seules les matinées offraient de la lumière du jour avec des températures supportables (env. 25C à 9h).

Je suis pas sur que l'entrainement en intérieur avec une telle chaleur soit une bonne idée. L'atmosphère devient vite très humide ce qui rend la chaleur encore plus insupportable.

Bon courage à tous,
T.

Si les conditions sont dures...trouvez de nouvelles motivations :
1) Acheter du Monoi ou de la graisse a traire !
2) Rouler, nager, courir
3) Prendre une douche ! sisi quand meme !
4) Regarder effet produit

Eh oui qu'est ce qu'il a fait chaud dans les shorts première quinzaine d'août ! Bon il est vrai que les températures étaient exceptionnelles et digne du nord du continent africain.

Lors d'une activité physique importante par une telle température et sans système de régulation (transpiration), la température de notre corps atteindrait plus de 50°C !

Les risques en cas d'effort lors de fortes chaleurs sont: les crampes, la fièvre, la syncope ou le "coup de chaleur".

Voici quelques conseils que j'ai glané sur le net et que j'ai résumé:

A l’entraînement et avant une compet :
- Ajuster la vitesse des entraînements selon la température, c'est à dire réduire la vitesse en conservant le même rythme cardiaque lors des périodes chaudes. Une fois qu’on s’est adapté à la chaleur, il est préférable de faire les séances à haute intensité dans l'air frais du matin, et d'effectuer les sorties moins intenses en fin de journée.
- Boire beaucoup d'eau.
- Consommer beaucoup de sel pendant les repas.
- Avant une compet et encore plus que par temps frais, la consommation du glycogène sera augmentée par temps chaud, en consommant, durant les 3 derniers jours, une plus grande quantité d'aliments contenant des glucides: pâtes, riz, pain, céréales, pommes de terre, au détriment des lipides et des protides.

Le jour d’une compet :
- Eviter la chaleur en restant à l'ombre. Favorisez le refroidissement du corps et s’hydrater.
- Environ 2 heures avant le départ, ingérer une solution de glycérol. Le glycérol, ou glycérine, est une substance qui a un pouvoir osmotique élevé, ce qui a pour effet de retenir les molécules d'eau, et donc de diminuer la production d'urine.(On le trouve en vente aux Etats-Unis sous le nom de glycerate, mais une solution, constituée d'1 volume de glycérine (que l'on peut se procurer sans ordonnance en pharmacie), mélangée à 20 volumes d'eau donne les mêmes résultats; il est conseillé d'en avoir testé les effets au préalable, pendant la période d'entraînement).
- Dans les 20 dernières minutes, si les conditions matérielles le permettent, prendre une douche froide et prolongée (jusqu'à frissonner).

Pendant la compet :
- Boire fréquemment une solution contenant au maximum 60g/litre de polymère de glucose pour un effort d'une durée supérieure à 1h30, et moins de 60g/litre (voir de l'eau pure) pour des compétitions d'une durée inférieure. Cette boisson doit être fraîche (5 à 10°C) si possible... Il est préférable de boire de petites quantités à intervalles courts, plutôt que l'inverse, car le taux de vidange gastrique étant limité, le liquide resterait dans l'estomac, pouvant créer un inconfort et un poids inutile.
- Ne pas ingérer pendant l'épreuve des tablettes ou des pastilles de sel, ceci ne pouvant que diminuer votre performance et nuire à votre santé. La concentration des ions Na+, Cl-, ou K+ serait dangereusement augmentée dans votre sang, sous l'effet de la déshydratation.
- S’éponger souvent pour éliminer les dépôts de sel obstruant les pores de votre peau qui bloquent le mécanisme de l'évaporation de la sueur.

Attention la canicule revient pour le week end !

Ludovic

http://www.ludovicpillet.free.fr/

J'ai fouillé dans les entrailles du forum pour trouver des infos sur les relations entre pollution de l'air et entrainement...

Quel est le risque réel pour les sujets sportifs que nous sommes à s'entrainer dans de telles conditions atmosphérique (notamment pollution à l'ozone...) ??

entrainement = ventilation importante = risque d'irritation accru... et ???



si de brillants experts peuvent éclairer mon ignorance...

skargoten lui il voudrait des glaçons dans le cuissard, du coca bien frais dans le bidon, un ventilo tenu par une belle lors de ses sorties vélos, bref monsieur joue petit!
faut aller courir sous 40 sans reflechir et surtout boire le minimun pour sécher au maximun!
c'est là qu'on voit les balaises!!!!!!!!
bises mon poulet

bien boire c'est la clé. le doc ma dis que le sang devient visqeux si on boit pas et c'est l infarctus..il a voulu me faire peur mais bon serieusement c'est le plus important. courir en foret si possible,c'est ombragé et plus frais. a paris ca doit pas etre facile..

j'ai passé mes vacances d'été en Tunisie a Djerba,et je faisais une sortie de 45min a 1 heure selon la séance(endurance ou fractionné),de 18h a 19h,tous les 2 jours.Il faisait encore pas mal chaud mais m'a permis de m'habituer à la chaleur.(j'avais quand même une ceinture avec 2 petits bidons d'eau(chaude au bout de 5min!)
Et quelques jours après le retour,j'ai partcipé au tri cd d"épinal(vosges)sous un soleil de plomb;et j'ai bien mieux supporté la chaleur!(mais moins les 5kg pris pendant le séjour )

Niiveau pollution : aucune idée ... j'ai juste comme l'impression (et c'est con à dire) que l'on finit par s'habituer à ces merdes dans l'air : au début j'avais toujours des gênes, des maux de gorge ... en ce moment meme en allant courir le soir (faut dire que je suis en dehors de Paris) je ne ressens pas autant de gêne qu'auparavant.

Pour la chaleur ... Je prends les précautions d'usage, j'adapte et pour l'instant ça passe.
Je bois minimum 2 litres d'eau en dehors des repas (sans compter l'hydratation lors des repas), en course à pieds c'est toujours casquette, et si possible entrainement à l'ombre. J'ai la chance d'habiter à coté de la foret de Saint-Germain et j'adapte mes séances pour profiter de l'ombre et de la relative fraicheur des sous-bois : course à pied dans la foret avec du fartlek pour travailler quand même la vélocité...
Pour le vélo, en cas extème, cela fait 2 fois que j'opte pour le VTT et pareil : je me réfugie à l'ombre dans les forêts. Je profite du VTT pour travailler de façon plus ludique : côtes, accélérations en danseuse ... Même si ce n'est pas "académique" comme entrainement, je pense que c'est mieux que rien ...

Lundi sur un coup de tête, j'ai voulu aller faire de la piste (chuis con des fois !) ... Il était 19h donc il faisait encore super chaud : résultat, j'ai peiné comme une malheureuse pour boucler des 400 : pas de jambe, aucun tonus ... Résultat, j'ai pris la tengeante et je suis rentrée en footing en choisissant un parcours à l'ombre ...

C'était p'tete pas mon soir, mais je pense surtout que la tempé y était aussi pour qq chose (et c'est pas seulement pour me cherhcer des excuses !)

Rien n'est impossible, je pense juste qu'il faut éviter certaines grosses erreurs de base.
Je pense aussi, sans chercher les bosses qu'il faut s'adapter progressivement aux conditions de course qui elles sont souvent extrêmes ...

batard a écrit : courir en foret si possible,c'est ombragé et plus frais

tout est relatif.

Samedi matin 16km à Vincennes 1h30, 1l d'eau avalé + 1l sur la tête.

Lundi midi dans le bois de Clamart 30min et 1/2 l bu