Après une vingtaine d'année en cyclisme amateur (plutôt bon grimpeur, cette remarque n'est pas de la vantardise mais importante pour la suite de mon post...), trois ans de pratique assidue de triathlon (sprint, cd, md), j'envisage à présent de devenir "finisher" d'un ironman. Attaché à Embrun et sa région, (j'ai de la famille à Embrun même, je connais bien les routes pour y être venu souvent m'y entraîner, avant de venir en calédonie j'ai été spectateur de cette épreuve pendant plusieurs années, ignorant alors à l'époque que je ferais un jour du triathlon !...) je rêve de venir prendre le départ de l'embrunman (dans l'espérance que Giacono arrive à maintenir cette épreuve au calendrier) et de terminer ! L'an prochain, serait bien...
Je m'adresse aux ironmen du forum qui auraient fait d'Embrun, leur premier ironman et commençé ainsi par un, sinon le plus dur ironman au monde...préparation ?? impressions ?? sensations ?? conclusion !!!
merci d'avance à toutes celles et ceux qui pourront m'apporter le témoignage de leur expérience
Embrun votre premier ironman ???
alors réfléchi bien....-
david vincent
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embrun un jour embrun toujours
salut rené effectivement pour moi embrun fut mon 1er ironman à 27ans.je doit reconnaitre qu'a part la natation j'avais un peu fait n'importe quoi et ce qui deva arrivé arriva j'ai souffert le martyr ma 2eme fois en 2000 j'en ai tiré des enseignements et ma course fut "meilleur" precision la 1ere année je n'ai preparer qu'embrun tandis qu'en 2000 saison normal + 3 mois avant preparation embrun.je nageais 3 x semaine une seance longue vélo par semaine ( 150km toute les semaines et seul pour le moral ) + une fractionné court et une recup une seance longue à pied une fractionnée (des 300,400,500, ) je ne depassais jamais les 17h .precision mes braquets velo 51x13,39x28 max.
-
zefrenchcarotte
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- Localisation : all over ze world...
Hello,
premier IM cette année à Embrun pour moi aussi, autant attaché à la région que toi
. Et puis surtout c'est Embrun qui m'a fait découvrir le tri voir le sport en général, alors je "lui" devaitn bien ça, surtout après sa vraie fausse disparition cette année.
Si tu veux plus d'infos, contact moi par MP René. Pour te donner une idée, je m'entraînais environ 12h par semaine, je n'ai pas fait bcp de grosses sorties vélo ou cap, préférant plusieurs entraînements courts à un long (et souvent chiant). Si tu nages et pédales bien, le reste n'est qu'une formalité, car même si tu dois marcher, tu iras au bout de ton marathon
Je pense faire Nice l'an prochain, et on verra ensuite si mon état de forme et ma ministre du temps libre me permettent de revenir à Embrun...
Bon training 2005
premier IM cette année à Embrun pour moi aussi, autant attaché à la région que toi
. Et puis surtout c'est Embrun qui m'a fait découvrir le tri voir le sport en général, alors je "lui" devaitn bien ça, surtout après sa vraie fausse disparition cette année.Si tu veux plus d'infos, contact moi par MP René. Pour te donner une idée, je m'entraînais environ 12h par semaine, je n'ai pas fait bcp de grosses sorties vélo ou cap, préférant plusieurs entraînements courts à un long (et souvent chiant). Si tu nages et pédales bien, le reste n'est qu'une formalité, car même si tu dois marcher, tu iras au bout de ton marathon
Je pense faire Nice l'an prochain, et on verra ensuite si mon état de forme et ma ministre du temps libre me permettent de revenir à Embrun...
Bon training 2005
vive les gueux, vive le triathlon & chions sur Libération !
pareil pour pour moi.
enbrum premier IM et franchement, il n'y a pas de question à se poser. il faut y aller.
tu finiras bien par voir la ligne d'arrivée...de nuit ou de jour.
pour ce qui est des conseils heu?? pas trop vite le matin et doucement le soir.
l'entrainement? bah! chacun son trip
enbrum premier IM et franchement, il n'y a pas de question à se poser. il faut y aller.
tu finiras bien par voir la ligne d'arrivée...de nuit ou de jour.
pour ce qui est des conseils heu?? pas trop vite le matin et doucement le soir.
l'entrainement? bah! chacun son trip
LAC de CHOUR contre la montre... aller on y va
"quand il aura péché le dernier poisson, coupé le dernier arbre et souillé le dernier ruisseau, l'homme se rendra compte que l'argent n'est pas comestible" (indien maowok)
"quand il aura péché le dernier poisson, coupé le dernier arbre et souillé le dernier ruisseau, l'homme se rendra compte que l'argent n'est pas comestible" (indien maowok)
Tout les amis qui l'ont fait, m'ont dit que le plus dur cé de se décider à s'inscrire, et qu'une fois que tu as mis ton vélo le 14/08 au parc, t'as qu'une envie, être au lendemain pour que le départ soit donné... Ben..... on verra bien René !!!!!! En tout cas si tu viens sur Embrun, et que tu veux rouler ou courir...cé volontiers... Et ZFC pareil...
Vincent...
embrunman n°1
étant donné le résumé de ton parcours triathlétique, il ressort que tu es qq'un d'ordonné qui a su y aller progressivement.
mon opinion :
envisager Embrun t'est donc possible, et tu peux effectivement espérer, si tu respectes les règles, participer et surtout ....finir BIEN.
car pour ce qui me concerne, je n'encourage une personne à se lancer dans l'aventure que si elle est "armée" pour le faire.
les 5 principes de base (ou : les clés du succès de l'aventure) sont :
1° une preparation judicieuse (=réfléchie), sérieuse planifiée et régulière d'octobre à aout.
2° une reconnaissance totale des parcours dans les 3 disciplines
(en organisant par exemple tes vacances à Embrun) :
pour ce, prévoir d'être sur site 3 semaines avant.
3° faire un PLAN de ravitaillement (réfléchir et positionner : ce qu'on emmene avec soi, ce qu'on met au ravito perso du sommet de l'izoard,
ce qu'on va manger aux ravitos organisés) .
4° dans les 10 derniers jours du séjour, faire une cure de REPOS, de vrai REPOS :
de belles nuits longues, de longues journées de farniente, de bons repas diétiétiques, un peu de arbotage dans le lac de serre poncon, décontraction, plaisir, rêve de faire un parcours idéal, génial, sans ambition exceptée cette d'être BIEN tout au long du parcours, mais avant tout RELACHEMENT et DECONTRACTION et elimination de TOUTES LES FATIGUES.
5°) le JOUR J : RESPECTER à la lettre la zone cible du cardio pré-établie depuis 2 mois auparavant (en prenant la FC moyenne lors d'une sortie vélo endurance de 4 heures environ et un +/- 3 pulsations ) et évidemment RESPECTER le plan de ravitaillement que l'on a choisi.
a ta dispo. s tu souhaites en savoir plus.
mon opinion :
envisager Embrun t'est donc possible, et tu peux effectivement espérer, si tu respectes les règles, participer et surtout ....finir BIEN.
car pour ce qui me concerne, je n'encourage une personne à se lancer dans l'aventure que si elle est "armée" pour le faire.
les 5 principes de base (ou : les clés du succès de l'aventure) sont :
1° une preparation judicieuse (=réfléchie), sérieuse planifiée et régulière d'octobre à aout.
2° une reconnaissance totale des parcours dans les 3 disciplines
(en organisant par exemple tes vacances à Embrun) :
pour ce, prévoir d'être sur site 3 semaines avant.
3° faire un PLAN de ravitaillement (réfléchir et positionner : ce qu'on emmene avec soi, ce qu'on met au ravito perso du sommet de l'izoard,
ce qu'on va manger aux ravitos organisés) .
4° dans les 10 derniers jours du séjour, faire une cure de REPOS, de vrai REPOS :
de belles nuits longues, de longues journées de farniente, de bons repas diétiétiques, un peu de arbotage dans le lac de serre poncon, décontraction, plaisir, rêve de faire un parcours idéal, génial, sans ambition exceptée cette d'être BIEN tout au long du parcours, mais avant tout RELACHEMENT et DECONTRACTION et elimination de TOUTES LES FATIGUES.
5°) le JOUR J : RESPECTER à la lettre la zone cible du cardio pré-établie depuis 2 mois auparavant (en prenant la FC moyenne lors d'une sortie vélo endurance de 4 heures environ et un +/- 3 pulsations ) et évidemment RESPECTER le plan de ravitaillement que l'on a choisi.
a ta dispo. s tu souhaites en savoir plus.
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ce que je sais, c'est que je ne sais rien..
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PS.
J'ai suivi ces principes dictés dans tous les bouquins théoriques de triathlon à la lettre, par peur de l'échec, par peur de défaillance que j'ai connu les années précédentes sur des formats plus courts.
et ma seule vraie ambition était de FINIR BIEN.
et bien en allant jusqu'au bout de la logique, j'ai courru en respectant mon cardio AU BIP BIP PRES (cible 155 pour une FC max de 187 soit 82% de la FC MAX, ce qui est le % environ qu'il faut cibler mais tu peux prendre 80 à 85% comme cible )
et j'ai non seulement Fini bien, m'ai j'ai même eu la fierté de porter ma fille sur les épaules à l'arrivée, "FRAIS", et avec le sourire devant mon épouse qui a immortaliser pour moi la scène avec son appareil photo.
en 12h40 et 80ème au classement, édition Embrun 2002.
CQFD !
PS2.
ne suis JAMAIS les furies qui quittent le lac et abordent la première pente comme des sonnés en tapant direct dans la zone dite "rouge" pour les cyclistes, à 90 % de FCmax.
ces furies là, on les rattrapent dans l'izoard au tempo, sans aucun effort de trop : j'ai remonté 50 pèlerins rien que dans l'ascension, et crois moi, les furies....elles ont pas belle mine....
en résumé : faire SA course et ne JAMAIS s'occuper des autres (sauf en natation, rester dans les pieds ca peut servir).
A +
J'ai suivi ces principes dictés dans tous les bouquins théoriques de triathlon à la lettre, par peur de l'échec, par peur de défaillance que j'ai connu les années précédentes sur des formats plus courts.
et ma seule vraie ambition était de FINIR BIEN.
et bien en allant jusqu'au bout de la logique, j'ai courru en respectant mon cardio AU BIP BIP PRES (cible 155 pour une FC max de 187 soit 82% de la FC MAX, ce qui est le % environ qu'il faut cibler mais tu peux prendre 80 à 85% comme cible )
et j'ai non seulement Fini bien, m'ai j'ai même eu la fierté de porter ma fille sur les épaules à l'arrivée, "FRAIS", et avec le sourire devant mon épouse qui a immortaliser pour moi la scène avec son appareil photo.
en 12h40 et 80ème au classement, édition Embrun 2002.
CQFD !
PS2.
ne suis JAMAIS les furies qui quittent le lac et abordent la première pente comme des sonnés en tapant direct dans la zone dite "rouge" pour les cyclistes, à 90 % de FCmax.
ces furies là, on les rattrapent dans l'izoard au tempo, sans aucun effort de trop : j'ai remonté 50 pèlerins rien que dans l'ascension, et crois moi, les furies....elles ont pas belle mine....
en résumé : faire SA course et ne JAMAIS s'occuper des autres (sauf en natation, rester dans les pieds ca peut servir).
A +
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Wanbli
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- Inscription : 04 juil. 2004 09:07
- Localisation : ça change tout le temps
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Bon je ne vais pas parler de ma propre expérience puisqu'elle se limite pour l'instant à des CD mais ..
Voici l'expérience de mon entourage :
J'ai 2 très bon amis qui tous les deux sont venus se frotter pour la première fois à la distance IM à Embrun.
Le premier, c'est y'a 3 ou 4 ans, après environ une dizaine d'année de pratique avec des saisons plutot remplies (il participe a énormément de course dès que la saison "ouvre"). A son actif des tas de CD et de B.
Il finit son premier IM et EM en 14h30 il me semble (donc c'est vachement honorable pour son premier !) Et selon ses dires ça s'est super bien passé.
Le 2e, c'est en 2003 sur sa 2e année de pratique. L'année précédente il s'est testé sur qq CD et s'est vite mis Embrun en tete donc s'est préparé en 1 an 1/2 environ. Bien entendu pour 2003 Embrun fut son seul objectif, il a fait des B pour se préparer etc ... Eh bien ... il a fini aussi, (je me me souviens plus du chrono) il était radieux et je pense qu'il s'en est bien remis par la suite ...
Donc à la lumière de leur éxperience je dirais ...
Fonce ! Tout réside dans le mental et la préparation ....
Voici l'expérience de mon entourage :
J'ai 2 très bon amis qui tous les deux sont venus se frotter pour la première fois à la distance IM à Embrun.
Le premier, c'est y'a 3 ou 4 ans, après environ une dizaine d'année de pratique avec des saisons plutot remplies (il participe a énormément de course dès que la saison "ouvre"). A son actif des tas de CD et de B.
Il finit son premier IM et EM en 14h30 il me semble (donc c'est vachement honorable pour son premier !) Et selon ses dires ça s'est super bien passé.
Le 2e, c'est en 2003 sur sa 2e année de pratique. L'année précédente il s'est testé sur qq CD et s'est vite mis Embrun en tete donc s'est préparé en 1 an 1/2 environ. Bien entendu pour 2003 Embrun fut son seul objectif, il a fait des B pour se préparer etc ... Eh bien ... il a fini aussi, (je me me souviens plus du chrono) il était radieux et je pense qu'il s'en est bien remis par la suite ...
Donc à la lumière de leur éxperience je dirais ...
Fonce ! Tout réside dans le mental et la préparation ....
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Christian Scifo
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- Inscription : 23 sept. 2004 15:53
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- Contact :
salut René
pour faire Embrun, je crois qu'il faut préparer son corps à fonctionner longtemps. Après c'est en fonction des capacités physiques de chacun, soit pour faire un bon temps, soit pour finir.
En ce qui me concerne, j'ai fait tout simplement mon premier triathlon à Embrun en 2003 et je ne le regrette pas du tout.
Ma préparation n'avait pour but que de finir, dans de bonnes conditions. J'ai donc finis en 17h25, mais sans masque à oxygène ni perfusion, et suffisament frais pour reprendre rapidement l'entrainement.
Si je le refais, car je le referais c'est sur, je ferais, comme beaucoup l'ont dit d'ailleurs ici, sûrement moins de quantitatif mais plus de qualitatif.
Et je confirme aussi que le plus dur c'est de s'inscrire, après c'est que du bonheur.
Ne pas oublier aussi dans les moments de galère, parce que tu en auras forcément, que tu es là parce que tu l'as voulu.
J'ai plein de souvenirs de ce jour du 15 août 2003, mais un des plus forts restera à jamais les regards entre triathlètes sur la digue du plan d'eau alors que moi je partais pour ma deuxième boucle et que eux finissaient.
Embrun reste magique, et je te souhaite sincèrement de le faire et de le finir dans de bonnes conditions.
Bonne réflexion et peut être à Embrun 2005.
pour faire Embrun, je crois qu'il faut préparer son corps à fonctionner longtemps. Après c'est en fonction des capacités physiques de chacun, soit pour faire un bon temps, soit pour finir.
En ce qui me concerne, j'ai fait tout simplement mon premier triathlon à Embrun en 2003 et je ne le regrette pas du tout.
Ma préparation n'avait pour but que de finir, dans de bonnes conditions. J'ai donc finis en 17h25, mais sans masque à oxygène ni perfusion, et suffisament frais pour reprendre rapidement l'entrainement.
Si je le refais, car je le referais c'est sur, je ferais, comme beaucoup l'ont dit d'ailleurs ici, sûrement moins de quantitatif mais plus de qualitatif.
Et je confirme aussi que le plus dur c'est de s'inscrire, après c'est que du bonheur.
Ne pas oublier aussi dans les moments de galère, parce que tu en auras forcément, que tu es là parce que tu l'as voulu.
J'ai plein de souvenirs de ce jour du 15 août 2003, mais un des plus forts restera à jamais les regards entre triathlètes sur la digue du plan d'eau alors que moi je partais pour ma deuxième boucle et que eux finissaient.
Embrun reste magique, et je te souhaite sincèrement de le faire et de le finir dans de bonnes conditions.
Bonne réflexion et peut être à Embrun 2005.
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zefrenchcarotte
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Salut Vincent,
Merci pour l'invitation pour rouler. Je connais très bien le coin pour y avoir habité et j'y retourne tous les ans dans un petit appart qu'ont mes parents. Je ne manquerai pas de te faire signe quand je repasserai dans le coin.
Pour ceux que ça intéresse, je peux vous envoyer un tableau excel de mes entraînements depuis septembre 2003, rien que pour vous montrer que faire un IM dans de bonnes conditions ne veut pas dire sacrifier travail, famille & amis et se bouffer des bornes dans l'eau ou sur terre à n'en plus pouvoir.
A++
Merci pour l'invitation pour rouler. Je connais très bien le coin pour y avoir habité et j'y retourne tous les ans dans un petit appart qu'ont mes parents. Je ne manquerai pas de te faire signe quand je repasserai dans le coin.
Pour ceux que ça intéresse, je peux vous envoyer un tableau excel de mes entraînements depuis septembre 2003, rien que pour vous montrer que faire un IM dans de bonnes conditions ne veut pas dire sacrifier travail, famille & amis et se bouffer des bornes dans l'eau ou sur terre à n'en plus pouvoir.
A++
vive les gueux, vive le triathlon & chions sur Libération !
