vma et longue distance
Publié : 02 janv. 2008, 22:44
Bonjour,
J'aimerais savoir quelle part de la performance sur longue distance (IM notamment) peut-on attribuer à la VMA (ou PMA pour le vélo) ?
En clair, est-il vraiment nécessaire de passer de longues heures en endurance à développer lipolyse, capillarisation, etc... pour atteindre une performance donné, si on peut obtenir 98% (par exemple) de cette même performance en travaillant uniquement VMA et seuil.
D'un autre côté, du moins pour le peu que j'en sache, les athlètes (sauf exception) que j'ai vu réaliser de bonnes perfs sur IM ont également des VMA impressionnantes... à l'inverse, les queues de peloton (toujours sauf exception) ont rarement des vma supérieure à 16kmh...
Merci d'avance pour vos retours d'expérience.
(ouai, je sais...c'est encore un type qui demande, du volume ou de l'intensité kikicé ki va gagné...)
J'aimerais savoir quelle part de la performance sur longue distance (IM notamment) peut-on attribuer à la VMA (ou PMA pour le vélo) ?
En clair, est-il vraiment nécessaire de passer de longues heures en endurance à développer lipolyse, capillarisation, etc... pour atteindre une performance donné, si on peut obtenir 98% (par exemple) de cette même performance en travaillant uniquement VMA et seuil.
D'un autre côté, du moins pour le peu que j'en sache, les athlètes (sauf exception) que j'ai vu réaliser de bonnes perfs sur IM ont également des VMA impressionnantes... à l'inverse, les queues de peloton (toujours sauf exception) ont rarement des vma supérieure à 16kmh...
Merci d'avance pour vos retours d'expérience.
(ouai, je sais...c'est encore un type qui demande, du volume ou de l'intensité kikicé ki va gagné...)