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En temps qu’amateur , le temps dont je dispose (8-10 heures d’entraînements hebdomadaires au plus) me contraint à gérer et optimiser aux mieux mes séances, et cela passe forcément par la suppression du travail de certaines allures, ainsi que du travail de musculation non spécifique.
Lors des séances de renforcement,
a) en natation, ne faut il pas mieux travailler la sensation et le touché de l’eau – travail de bras pull / pull-élastique – et retirer les plaquettes
b) en vélo, n’est il pas préférable de travailler le geste spécifique – travail de force en sur braquet 50-60 t/m en côte – et supprimer la presse
c) et en course à pied, ne vaut il pas mieux faire de la pliomètrie lors de sorties nature – foulées bondissantes, sauts en contrebas … – et bannir les altères

Le débat est ouvert.

J’attends vos propositions et vos

tri64, tu poses de bonnes problématiques.

Dans une logique d'amélioration des performances, ma pensée va dans le sens de tes suggestions

En natation c'est très clair les gains sont bien plus importants en corrigeant sa technique de nage qu'en se concentrant sur sa "forme physique".

En vélo et cap, le transfert des gains de force réalisés à la muscu à l'activité physique n'est pas toujours évident (Les mouvements mis en jeux étant différents). Pour le coté prévention des blessures, les "faibles" volumes de travail dans chaque sport ne les justifie peut-être pas.

Si tu lis l'anglais : Time Saving training for multisport athletes est un bouquin qui se concentre sur les athlètes qui ont entre 5 et 9h/semaine pour s'entrainer.

Je précise au début de mon post "dans une logique d'amélioration de performance" car cela me rappel une anecdote lue à propos d'un triathlete pro et qui tenait à faire de la muscu quitte à perdre un peu en cap. Sa logique étant : you can't always run fast, but you can always look good ("Tu ne peux pas toujours courir vite, mais tu peux toujours avoir une belle silhouette!" ).

T.