Le triathlon d'après
Le triathlon d'après
Bonjour à tous,
Je suis très heureux de rejoindre le forum. Je pratique en tant qu'amateur le triathlon depuis quelques temps déjà. La période est extraordinaire et l'on parle du monde d'après. Je suis tombé sur deux articles qui m'ont fait m'interroger sur le triathlon de demain, et je voudrais partager ma réflexion avec vous.
le premier article concerne Charlène Clavel championne du monde de 70.3 après trois courses seulement. Je lui souhaite un avenir à la Chrissie Wellington.
Le voici :https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/s ... 8/#refresh
Le second concerne un autre triathlète qui a choisi de se faire interviewer en indiquant comme nom son pseudo instagram
https://www.lesportaufeminin.fr/2020/05 ... s-limites/
Le contraste est saisissant, d'un côté une championne qui envisage de devenir pro, de l'autre un amateur qui se comporte comme un pro.
J'ai pensé que le sport et le triathlon véhiculent pour chacun des valeurs que chacun adapte selon son niveau : performance, dépassement de soi, humilité. Je suis un peu attristé que le "moi je", la recherche du post et de la story à tout prix se trouvent désormais banalisés dans le monde du triathlon,
J'ai l'impression que de plus en plus de participants se servent du triathlon comme d'un prétexte pour se mettre en scène, faire leur auto-promotion sur les réseaux sociaux et ainsi obtenir des avantages (matériel, nutrition, etc..) qui reviennent traditionnellement aux pros et triathlètes de haut niveau.
Alors, le triathlon de demain va-t-il s'assainir ? va-t-on valoriser le mérite ou les followers ? Va t'on encourager le réel ou la mise en scène ? La performance ou le post ?
Je suis très heureux de rejoindre le forum. Je pratique en tant qu'amateur le triathlon depuis quelques temps déjà. La période est extraordinaire et l'on parle du monde d'après. Je suis tombé sur deux articles qui m'ont fait m'interroger sur le triathlon de demain, et je voudrais partager ma réflexion avec vous.
le premier article concerne Charlène Clavel championne du monde de 70.3 après trois courses seulement. Je lui souhaite un avenir à la Chrissie Wellington.
Le voici :https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/s ... 8/#refresh
Le second concerne un autre triathlète qui a choisi de se faire interviewer en indiquant comme nom son pseudo instagram
https://www.lesportaufeminin.fr/2020/05 ... s-limites/
Le contraste est saisissant, d'un côté une championne qui envisage de devenir pro, de l'autre un amateur qui se comporte comme un pro.
J'ai pensé que le sport et le triathlon véhiculent pour chacun des valeurs que chacun adapte selon son niveau : performance, dépassement de soi, humilité. Je suis un peu attristé que le "moi je", la recherche du post et de la story à tout prix se trouvent désormais banalisés dans le monde du triathlon,
J'ai l'impression que de plus en plus de participants se servent du triathlon comme d'un prétexte pour se mettre en scène, faire leur auto-promotion sur les réseaux sociaux et ainsi obtenir des avantages (matériel, nutrition, etc..) qui reviennent traditionnellement aux pros et triathlètes de haut niveau.
Alors, le triathlon de demain va-t-il s'assainir ? va-t-on valoriser le mérite ou les followers ? Va t'on encourager le réel ou la mise en scène ? La performance ou le post ?
Re: Le triathlon d'après
salut sacre sujet !! depuis quelque temps je ne me retrouve plus dans l'ambiance de courses de triathlon , je regarde des videos des années 80/90 ou plus récentes sur le ultra triathlon , le dépassement de soi, l'humilité , la performance, l'entraide restent des valeurs que on bien perdu dans le parc a vélo maintenant .
je me suis envole sur l'ultra triathlon ou ultra man ou on retrouve les valeurs que je soutien .
je me suis envole sur l'ultra triathlon ou ultra man ou on retrouve les valeurs que je soutien .
Re: Le triathlon d'après
Salut Gus,
Enchanté. je me faisais la même réflexion que toi. je regardais des vidéos des années 2000 et 2010. Comme tu le dis si bien l'humilité était une valeur.
Lorsqu'ils parlaient en public les amateurs avaient un message percutant à faire passer, une histoire inspirante. Attention, il y en a toujours mais les vrais héros sont malheureusement éclipsés aujourd'hui par les réseaux sociaux.
j'ai le souvenir d'un ironman à Nice, l'un des participants avait perdu une jambe et pédalait d'une jambe sur son vélo. Ca m'a ému et motivé.
Aujourd'hui c'est ce type de triathlète que je veux entendre et pas des discours creux, des banalités venant de juliette irondoll qui prétend parler au nom de nous tous. Bref, plus de Charlène Clavel et moins de juliette irondoll
Enchanté. je me faisais la même réflexion que toi. je regardais des vidéos des années 2000 et 2010. Comme tu le dis si bien l'humilité était une valeur.
Lorsqu'ils parlaient en public les amateurs avaient un message percutant à faire passer, une histoire inspirante. Attention, il y en a toujours mais les vrais héros sont malheureusement éclipsés aujourd'hui par les réseaux sociaux.
j'ai le souvenir d'un ironman à Nice, l'un des participants avait perdu une jambe et pédalait d'une jambe sur son vélo. Ca m'a ému et motivé.
Aujourd'hui c'est ce type de triathlète que je veux entendre et pas des discours creux, des banalités venant de juliette irondoll qui prétend parler au nom de nous tous. Bref, plus de Charlène Clavel et moins de juliette irondoll
Re: Le triathlon d'après
La championne du monde 70.3 s’appelle Daniela Ryf. Elle a bouclé la course en 4h23. Charlène Clavel a terminé à la 36eme place femme en 4h57 (et accessoirement 1ère des F25).brackman a écrit : 17 mai 2020, 10:51 le premier article concerne Charlène Clavel championne du monde de 70.3 après trois courses seulement. Je lui souhaite un avenir à la Chrissie Wellington.
Le voici :https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/s ... 8/#refresh
J'ai pensé que le sport et le triathlon véhiculent pour chacun des valeurs que chacun adapte selon son niveau : performance, dépassement de soi, humilité. Je suis un peu attristé que le "moi je", la recherche du post et de la story à tout prix se trouvent désormais banalisés dans le monde du triathlon,
J'ai l'impression que de plus en plus de participants se servent du triathlon comme d'un prétexte pour se mettre en scène, faire leur auto-promotion sur les réseaux sociaux et ainsi obtenir des avantages (matériel, nutrition, etc..) qui reviennent traditionnellement aux pros et triathlètes de haut niveau.
Alors, le triathlon de demain va-t-il s'assainir ? va-t-on valoriser le mérite ou les followers ? Va t'on encourager le réel ou la mise en scène ? La performance ou le post ?
Donc tu as raison, attention à la réalité des performances, à la mise en scène des titres de « champion du monde » à tout bout de champ. Des 2 articles que tu présentes c’est le 1er qui me gêne le plus...
Re: Le triathlon d'après
Salut Yoyo,
Merci pour ton message. Oui tu as raison, elle a gagné son groupe d'âge. Charlène n'est pas pro. c'est d'ailleurs pour cela que je lui souhaite une trajectoire similaire à Chrissi wellington, qui a commencé sa saison de triathlon en gagnant son groupe d'âge dans les mondiaux en distance olympique et est passé pro ensuite.
Après là où je fais la différence, c'est dans le cas de Charlène l'article, certes l’encense, mais c'est mérité et le titre est le choix du journaliste.
Dans le second cas, il n'y a aucune performance, aucun mérite et le titre montre une volonté de faire un coup de pub et de l'auto-promotion pour une page instagram. C'est du publi rédactionnel. Et là çà me mets franchement mal à l'aise.
Mais effectivement, je te rejoins soyons précis.
Merci pour ton message. Oui tu as raison, elle a gagné son groupe d'âge. Charlène n'est pas pro. c'est d'ailleurs pour cela que je lui souhaite une trajectoire similaire à Chrissi wellington, qui a commencé sa saison de triathlon en gagnant son groupe d'âge dans les mondiaux en distance olympique et est passé pro ensuite.
Après là où je fais la différence, c'est dans le cas de Charlène l'article, certes l’encense, mais c'est mérité et le titre est le choix du journaliste.
Dans le second cas, il n'y a aucune performance, aucun mérite et le titre montre une volonté de faire un coup de pub et de l'auto-promotion pour une page instagram. C'est du publi rédactionnel. Et là çà me mets franchement mal à l'aise.
Mais effectivement, je te rejoins soyons précis.
Re: Le triathlon d'après
pour la deuxieme, je la connais un peu...
tout dans l'image de soi
eh c'est bien moins glorieux dans la réalité que dans l'article...
et je n'en dis pas plus, nous sommes sur un forum public...
tout dans l'image de soi
eh c'est bien moins glorieux dans la réalité que dans l'article...




et je n'en dis pas plus, nous sommes sur un forum public...
Re: Le triathlon d'après
Par son image de sport d’endurance extrême, le triathlon a toujours attiré des personnes qui se servent cette image pour essayer de satisfaire leur besoin de reconnaissance, aujourd'hui comme il y a 10 ans.
Il lui est également arrivé sur l'Embrunman de se faire déposer sur la route aux endroits où il y avait beaucoup de public, peu de temps après le passage des premiers, laissant penser à tout le monde qu'il faisait la course, pour se faire acclamer (avec des spectateurs admiratifs qu'ils soit aussi près des premiers, et considérant donc les suivants comme des brêles qui allaient moins vite qu'un gars avec une seule jambe...)
Donc peut-être qu'il t'a fait rêver, mais c'est pourtant l'exemple type de l'usurpateur.
Dans le monde du longue distance que je connais un peu, je trouve que les très bons triathlètes sont humbles, discrets et accessibles. Les vantards qui se mettent en avant sur les réseaux sociaux sont des athlètes de 2e, 3e voire 4e zone.
Je rejoins yoyo73, le fait que tu puisses considérer la gagnante d'un groupe d'âge comme une championne du monde, participe à cette mise en scène. IRONMAN sait d'ailleurs bien utiliser ce créneau pour attirer tous ceux qui aiment les paillettes.
Si tu veux un exemple de mise en scène, regarde "l'interview" d'une athlète dans le dernier Trimax
Tu crois avoir affaire à une future championne du monde, je te laisse vérifier par toi même la réalité de ses "performances".
brackman, je ne sais pas si tu évoques Etienne Caprin dans cette anecdote, si c'est le cas sache que ce Monsieur faisait croire dans les reportages qu'il finissait l'Embrunman en pédalant sur une jambe, alors qu'en réalité il montait dans une voiture pour effectuer les ascensions...brackman a écrit : 17 mai 2020, 12:34j'ai le souvenir d'un ironman à Nice, l'un des participants avait perdu une jambe et pédalait d'une jambe sur son vélo. Ca m'a ému et motivé.

Il lui est également arrivé sur l'Embrunman de se faire déposer sur la route aux endroits où il y avait beaucoup de public, peu de temps après le passage des premiers, laissant penser à tout le monde qu'il faisait la course, pour se faire acclamer (avec des spectateurs admiratifs qu'ils soit aussi près des premiers, et considérant donc les suivants comme des brêles qui allaient moins vite qu'un gars avec une seule jambe...)
Donc peut-être qu'il t'a fait rêver, mais c'est pourtant l'exemple type de l'usurpateur.
Dans le monde du longue distance que je connais un peu, je trouve que les très bons triathlètes sont humbles, discrets et accessibles. Les vantards qui se mettent en avant sur les réseaux sociaux sont des athlètes de 2e, 3e voire 4e zone.
Je rejoins yoyo73, le fait que tu puisses considérer la gagnante d'un groupe d'âge comme une championne du monde, participe à cette mise en scène. IRONMAN sait d'ailleurs bien utiliser ce créneau pour attirer tous ceux qui aiment les paillettes.
Sache que la plupart des articles qui sont publiés dans les revues de triathlon ne sont pas écrits par des journalistes, mais par l'athlète lui-même (de source sûre, même quand il s'agit de triathlètes de tout premier plan).brackman a écrit : 17 mai 2020, 13:24Après là où je fais la différence, c'est dans le cas de Charlène l'article, certes l’encense, mais c'est mérité et le titre est le choix du journaliste.
Dans le second cas, il n'y a aucune performance, aucun mérite et le titre montre une volonté de faire un coup de pub et de l'auto-promotion pour une page instagram. C'est du publi rédactionnel. Et là çà me mets franchement mal à l'aise
Si tu veux un exemple de mise en scène, regarde "l'interview" d'une athlète dans le dernier Trimax

Re: Le triathlon d'après
Dans le monde du longue distance que je connais un peu, je trouve que les très bons triathlètes sont humbles, discrets et accessibles. Les vantards qui se mettent en avant sur les réseaux sociaux sont des athlètes de 2e, 3e voire 4e zone.
celui la sont ceux que font du mal au triathlon , la génération que si les courses ne terminent pas par "MAN" ne participent pas .
celui la sont ceux que font du mal au triathlon , la génération que si les courses ne terminent pas par "MAN" ne participent pas .
Re: Le triathlon d'après
Ouais et aux foulées vichyssoise, elle a bouclé le 10km en 39minutes et 19 s, à la 54 eme place au scratch, on est loin des performances d’une pro. Elle a déjà 28 ans, ça va pas être simple de sortir du lot.yoyo73 a écrit : 17 mai 2020, 13:10La championne du monde 70.3 s’appelle Daniela Ryf. Elle a bouclé la course en 4h23. Charlène Clavel a terminé à la 36eme place femme en 4h57 (et accessoirement 1ère des F25).brackman a écrit : 17 mai 2020, 10:51 le premier article concerne Charlène Clavel championne du monde de 70.3 après trois courses seulement. Je lui souhaite un avenir à la Chrissie Wellington.
Le voici :https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/s ... 8/#refresh
J'ai pensé que le sport et le triathlon véhiculent pour chacun des valeurs que chacun adapte selon son niveau : performance, dépassement de soi, humilité. Je suis un peu attristé que le "moi je", la recherche du post et de la story à tout prix se trouvent désormais banalisés dans le monde du triathlon,
J'ai l'impression que de plus en plus de participants se servent du triathlon comme d'un prétexte pour se mettre en scène, faire leur auto-promotion sur les réseaux sociaux et ainsi obtenir des avantages (matériel, nutrition, etc..) qui reviennent traditionnellement aux pros et triathlètes de haut niveau.
Alors, le triathlon de demain va-t-il s'assainir ? va-t-on valoriser le mérite ou les followers ? Va t'on encourager le réel ou la mise en scène ? La performance ou le post ?
Donc tu as raison, attention à la réalité des performances, à la mise en scène des titres de « champion du monde » à tout bout de champ. Des 2 articles que tu présentes c’est le 1er qui me gêne le plus...
“Les réseaux sociaux vous ont tous mis trop à l’aise avec le fait de manquer de respect aux gens, sans vous faire casser la gueule”. Mike Tyson 

Re: Le triathlon d'après
Bonjour Dyson,
Je partage ton point de vue. C'est une illustration du "moi-je" et pour avoir regardé sa page insta c'est presque caricatural tellement c'est exagéré. Ce qui me gêne c'est la place importante qu'occupent aujourd'hui. cette catégorie de "triathlète". Mais comme tu le dis, j'espère que la réalité prendra le dessus.
.pour la deuxieme, je la connais un peu...
tout dans l'image de soi
Je partage ton point de vue. C'est une illustration du "moi-je" et pour avoir regardé sa page insta c'est presque caricatural tellement c'est exagéré. Ce qui me gêne c'est la place importante qu'occupent aujourd'hui. cette catégorie de "triathlète". Mais comme tu le dis, j'espère que la réalité prendra le dessus.
Je peux pas dire mieux.par gus30 » 17 mai 2020 16:39
Dans le monde du longue distance que je connais un peu, je trouve que les très bons triathlètes sont humbles, discrets et accessibles. Les vantards qui se mettent en avant sur les réseaux sociaux sont des athlètes de 2e, 3e voire 4e zone.
celui la sont ceux que font du mal au triathlon , la génération que si les courses ne terminent pas par "MAN" ne participent pas
Re: Le triathlon d'après
je connais pas son nom, je l'ai juste vu. Il était amputé d'une jambe jusqu'au genou et pédalait sur une jambe. je l'ai doublé dans une montée. Est ce que la description correspond à Etienne Carpin ?par orscand » 17 mai 2020 16:25
je ne sais pas si tu évoques Etienne Caprin dans cette anecdote, si c'est le cas sache que ce Monsieur faisait croire dans les reportages qu'il finissait l'Embrunman en pédalant sur une jambe, alors qu'en réalité il montait dans une voiture pour effectuer les ascensions...
Il lui est également arrivé sur l'Embrunman de se faire déposer sur la route aux endroits où il y avait beaucoup de public, peu de temps après le passage des premiers, laissant penser à tout le monde qu'il faisait la course, pour se faire acclamer (avec des spectateurs admiratifs qu'ils soit aussi près des premiers, et considérant donc les suivants comme des brêles qui allaient moins vite qu'un gars avec une seule jambe...)
Donc peut-être qu'il t'a fait rêver, mais c'est pourtant l'exemple type de l'usurpateur
Entièrement d'accord, très juste !!!!Dans le monde du longue distance que je connais un peu, je trouve que les très bons triathlètes sont humbles, discrets et accessibles. Les vantards qui se mettent en avant sur les réseaux sociaux sont des athlètes de 2e, 3e voire 4e zone
Faudrait quand même que les journalistes fassent leur boulot !!! Au moins pour juliette irondoll, ils ont pas fait dans la dentelle, plus c'est gros plus ça passe !!!!Sache que la plupart des articles qui sont publiés dans les revues de triathlon ne sont pas écrits par des journalistes, mais par l'athlète lui-même (de source sûre, même quand il s'agit de triathlètes de tout premier plan).
Si tu veux un exemple de mise en scène, regarde "l'interview" d'une athlète dans le dernier TrimaxTu crois avoir affaire à une future championne du monde, je te laisse vérifier par toi même la réalité de ses "performances"
Je vais lire l'article trimax.
Re: Le triathlon d'après
Alors ce n'est pas lui, Etienne Caprin n'est pas amputé, mais immobilisé d'une jambebrackman a écrit : 17 mai 2020, 16:38je connais pas son nom, je l'ai juste vu. Il était amputé d'une jambe jusqu'au genou et pédalait sur une jambe. je l'ai doublé dans une montée. Est ce que la description correspond à Etienne Carpin ?

Re: Le triathlon d'après
j'ai aussi croisé un autre triathlète unijambiste cette année au 70.3 de cascais. C'était dans une montée où le vent était si fort qu'il déplaçait le vélo sur le côté, je dis bien dans la montée. Après on faisait demi-tour pour aborder la descente côté ravin avec les mêmes bourrasques. j'ai croisé ce gars au virage, il a demandé à des volontaire de l'aider à faire le demi-tour avant de s'élancer sur une jambe dans la descente. Chapeau bas l'artiste.Alors ce n'est pas lui, Etienne Caprin n'est pas amputé, mais immobilisé d'une jambe
Re: Le triathlon d'après
Pour la 2eme, j'la connais pas (
), mais trouvé su'l'net :
- Nice juin 2019 faux full (3,8; 150; 30) : 11h05, 19eme de son GA;
- Half Nice septembre 2019 Woooooorldchaaaaaampionship m'sieurs dames ! : 6h22, 201eme du GA
Ferait effectivement mieux de s'entraîner au lieu de monter ses blogs et pages culdchevre.
Enfin bon, moi c'que j'en dis....
Mais c'est vrai que c'est pénible à la longue .......!


- Nice juin 2019 faux full (3,8; 150; 30) : 11h05, 19eme de son GA;
- Half Nice septembre 2019 Woooooorldchaaaaaampionship m'sieurs dames ! : 6h22, 201eme du GA
Ferait effectivement mieux de s'entraîner au lieu de monter ses blogs et pages culdchevre.
Enfin bon, moi c'que j'en dis....
Mais c'est vrai que c'est pénible à la longue .......!

Post ERICD ? https://www.youtube.com/watch?v=p4JO2w5uGfE !!!
(quand Eric ch'veux long et pouss'tache !)
Et touyour...."décontrasté" :https://youtu.be/JVIzWPKvE0Y !
Ah j'oubliais : Neymar, y'en a marre !
Et....merci Gérald !
(quand Eric ch'veux long et pouss'tache !)
Et touyour...."décontrasté" :https://youtu.be/JVIzWPKvE0Y !
Ah j'oubliais : Neymar, y'en a marre !
Et....merci Gérald !
Re: Le triathlon d'après
Alors faut peut-être juste préciser que le premier lien est un article d’un vrai journal, le second un blog.. Donc à prendre avec un peu de recul dans le 2e cas. Tu n’aurais pas partagé le lien, moi comme beaucoup d’autres ici n’auraient absolument jamais entendu parler d’elle.
Ceci étant dit, ce genre de « personnage » Représente tout ce qui me gonfle dans notre sport.
Ceci étant dit, ce genre de « personnage » Représente tout ce qui me gonfle dans notre sport.