Halte à la connerie des journalistes illettrés...
Publié : 23 août 2007, 12:40
Je laisse une trace d'une réponse faite à la " Dépèche du Midi " qui, dans un article paru le 21 Août quant à la contre performance des Triathlètes Toulousains à l'EmbrunMan 2007, nous avait été indirectement attaqué verbalement :
Haute-Garonne > Sports 31
Article paru le 21/08/2007
TRIATHLON. SEULES LES FILLES SE SONT DISTINGUÉES LORS DE L'ÉPREUVE D'EMBRUN.
Les Toulousains en demi-teinte
Le triathlon d'Embrun (Hautes-Alpes), le plus dur au monde de par ses distances impressionnantes, a livré son verdict, le 15 août, en réservant quelques surprises que l'on n'attendait pas, autant chez les professionnels que chez les amateurs. Après une formidable partie cycliste le champion du monde en titre, Julien Le Loy, a cédé à la transition cyclisme-course à pied tout comme François Chabaud et Xavier Le Floch, et il a abandonné un peu plus loin dans le début du marathon.C'est finalement Patrick Bringer, de Montluçon triathlon, et Sébastien Berlier, le Drômois, licencié aux Sables Vendée Triathlon, qui venaient bousculer la hiérarchie sur le marathon après être sortis dans les premiers dans la partie natation longue de 3 km 800. Ils ont géré à merveille la partie cycliste, avec comme plat de résistance le fameux col de l'Izoard culminant à 2300 mètres. Hervé Faure, du Triatl'Aix, doublait la mise en réalisant un nouveau record de 9 h 48 min 58 s 81 centièmes sur la distance.
OH LES FILLES
Alors que le club Toulouse Triathlon était venu nombreux avec pas moins de quatorze triathlètes et avait une belle carte à abattre dans les Hautes-Alpes, seuls Jean-Charles Godet, Laurent Pichon (vétéran 1), Thomas Stablon et Xavier Deveaux parviendront à boucler leur « Iron Man » en moins de 15 heures. Les trois autres, Alain Cullet, Gérémy Bachelart, Pierre Trotin, termineront à plus de quinze heures, mais dans les temps pour se voir récompenser du fameux tee-shirt Finischer.Marie-Christine Lartigue, une pensionnaire du TOAC, s'est illustrée en terminant sur la troisième marche du podium dans la catégorie vétéran ; Magali Prevost (Toulouse Triathlon) finit sur le podium, elle aussi, dans la catégorie senior 3. Une excellente performance pour ces deux triathlètes.
Franck Blay
Le classement des Toulousains : 127e, Jean-Charles Godet en 13 h 22 min 34 s (Toulouse Triathlon) ; 167e Laurent Pichon V1 en 13 h 50 min 18 s (Toulouse Triathlon) ; 240e Thomas Stablon en 14 h 28 min 53 s (Toulouse Triathlon) ; 287e Xavier Deveaux en 14 h 54 min 32 s (Toulouse Triathlon) ; 312e Magali Prévost, 3e senior 3, en 15 h 04 min 40 s (Toulouse Triathlon) ; 413e Alain Cullet en 15 h 51 min 13 s (Toulouse Triathlon) ; 467e Jérémie Bachelart en 16 h 20 min 45 s (Toulouse Triathlon) ; 474e Pierre Trontin en 16 h 23 min 48 s (Toulouse Triathlon), 512e Marie-Christine Lartigue, 3e vétéran en 16 h 48 min 38 s (Toulouse Aerospatiale).
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Réponse au service des SPORTS :
Bonjour Responsables du service SPORT de la « Dépêche du Midi »,
Le club du Toulouse Triathlon a été fortement étonné de l’article paru dans SPORT de votre journal datant du 21 Août 2007 rédigé par Franck Blay ayant pour intitulé « Les Toulousains en demi-teinte » quant à l’épreuve reine, l’EmbrunMan, s’étant déroulée le 15 Août dernier dans les Hautes Alpes.
Certaines affirmations pour le peu d’informations fournies à vos chers lecteurs s’avèrent peu crédibles voire inexactes.
En effet, le Toulouse Triathlon a accueilli quinze participants à l’EmbrunMan et non quatorze. Certes, un petit détail pour vous, mais il s’agissait tout bonnement du deuxième club le plus représenté sur cette épreuve derrière celui d’Angers Triathlon comptant seize représentants. Pour un club qui se déplaçait hors de ses terres de prédilection, il aurait été pourtant fort judicieux de votre part d’en faire part afin d’indiquer à vos lecteurs que le sport en Midi-Pyrénées s’exporte.
Aussi surprenant qu’il puisse paraître, vous citez à juste titre, nos triathlètes arrivés avec brio dans des délais inférieurs à quinze heure ainsi que ceux au delà, comme si ces derniers avaient le démérite d’avoir franchi la ligne après cette limite que vous vous êtes fixé.
Vous omettez également d’énumérer deux finishers du club qui ont rallié l’arrivée sous les 12h35 et ce, pour leur première participation, en la personne de Charles LEBOEUF en 12h31’ (auteur du 19ème temps sur le Marathon, excusez moi du peu) et Michaël CHARTON en 12h15’.
Que vous ayez oublié de citer les deux derniers arrivant du club, nous pouvons le comprendre si vous aviez des « obligations » personnelles quant à l’heure tardive qui approchait, mais oublié ce « détail » alors que vous êtes le premier a privilégié le résultat final plutôt que les efforts entrepris sur de longs mois par chacun d’entre nous, c’est à n’y rien comprendre dans votre logique.
D’autant plus qu’un temps ne veut pas dire grand chose en lui même sur une telle épreuve. Vous êtes vous posé la question des facteurs intrinsèques liés à la course pouvant expliqué ces temps finaux ? Pour vous mettre sur la voie et étayer votre réflexion, je vous donnerai comme exemple la chute à vélo malencontreuse au 170ème km de l’une de ces « personnes à plus de quinze heure » et qui a eu le mérite de continuer avec une cuisse et un tibia bien amochés et ensanglantés avec la souffrance que cela procure sur plusieurs heures de course dans cet état. Un autre a subi les caprices de la mécanique de sa bicyclette à mi-parcours et a été contraint de boucler les 188kms sans pouvoir passer de vitesse. Dans votre logique rédactionnelle, il aurait fallu tenir compte de ces « paramètres » de course et de ce fait, nous interviewez si vous vouliez avoir un article crédible. Vous auriez ainsi compris que finir, avant ou après quinze heure de course , dans ces conditions relève d’un exploit et demande en plus un grand mental.
Vous oubliez également d’énumérer dans cette article tout le travail qu’il faut pour « juste » tenter de boucler ces 3.8kms de Natation, ce parcours de vélo digne d’une étape du Tour de France et ce Marathon de 42.195 kms étant l’un des plus durs sur le circuit.
Pour tous ces participants amateurs sans exception, tous héros d’un jour, qu’ils soient finishers ou pas, ont un métier à côté pour vivre en plus de leur vie personnelle et n’ont pas hésité après 35 ou 45h de dur labeur hebdomadaire d’enfiler baskets ou maillot de bain, d’enfourcher leur vélo pour s’entraîner dans ce but ultime. Les sacrifices pour y arriver sur près de neuf mois de préparation pour la plupart sont tout aussi remarquables que le résultat en lui même le 15 Août au soir. Outre cela, vous oubliez de dire que bons nombres (plus de la moitié de ces quinze toulousains) entamaient leur premier distance IronMan, sans expériences notables donc et qu’un seul d’entre eux, âgé de 22ans, faisait parti de l’un des plus jeunes à prendre le départ de cette course mythique.
Les efforts fournis sur plusieurs mois ainsi que le mérite d’avoir participé auraient pu être soulignés « simplement et gentiment » dans votre article plutôt que d’utiliser un style qui semble mettre de l’avant la médiocrité voire l’absence de volonté des toulousains engagés.
Dans cette course et dans l’esprit de notre club que beaucoup d’équipes nous envie au cours de nos excursions nationales (IronMan de Nice 2007, …) voire internationales (IronMan de Roth 2007, …), ce n’est pas le résultat en lui même qui compte mais la joie et le plaisir d’accomplir et d’arpenter les difficultés « ensemble ». Cet esprit, qui nous anime et nous nourrit au plus profond de nous, nous attriste aussi surprenant soit-il quand l’un des nôtres ne franchit pas la ligne. Tout bonnement parce que nous sommes une famille qui partageons et progressons ensemble au cours des entraînements et que nous savons au plus profond de nous l’effort que ce dernier a procuré pour en être arrivé là, autant que celui qui a gravé son nom sur la liste des finishers.
Sans vous offenser, vous comprendrez donc qu’ouvrir le journal et lire un tel article avec ce ton employé et non justifié proche de la critique ou du blasphème nous soulève et nous touche sincèrement. Avant donc de rédiger un article sur tel ou tel club toulousain ou de la région, apprenez à connaître l’esprit d’équipe qui y règne et vous apprendrez qu’au delà du temps mis pour accomplir une épreuve, ce qui prime, c’est la joie d’avoir participé « en groupe » en revenant ou non avec le Sésame tant convoité.
Toutefois, votre article souligne les classements remarquables de deux toulousaines qui ont su porter très haut les couleurs de la région Midi-Pyrénées, et pour cela, nous vous en remercions humblement. Le sport féminin est souvent laissé de côté dans les articles sportifs, vous avez su « corriger le tir » à sa juste valeur.
Sincèrement,
Le Toulouse Triathlon
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Je fais part de cette réponse non pas pour se la péter mais pour laisser une trace sur Onlinetri afin que des articles comme ceux là ne défigurent pas l'esprit d'un club qui participe à ces grandes courses pour le plaisir et non pour la perf'. La critique gratuite n'a pas lieu d'être quand un club souhaite participer pour outrepasser ses limites sans aucune prétention ni même pression.
Quand on pense que ce journaliste qui se prétend être " homme de Lettre " a parcouru plus de 500 kms pour pondre une merde comme çà bourrée de fautes d'orthographe grossières, il aurait plus voulu que ce dernier reste au chaud chez lui à écrire des " faits divers " de voisinage. Il n'a même pas pris la peine de lire la " Star liste " et de recopier correctement les Noms et Prénoms des personnes citées...
Haute-Garonne > Sports 31
Article paru le 21/08/2007
TRIATHLON. SEULES LES FILLES SE SONT DISTINGUÉES LORS DE L'ÉPREUVE D'EMBRUN.
Les Toulousains en demi-teinte
Le triathlon d'Embrun (Hautes-Alpes), le plus dur au monde de par ses distances impressionnantes, a livré son verdict, le 15 août, en réservant quelques surprises que l'on n'attendait pas, autant chez les professionnels que chez les amateurs. Après une formidable partie cycliste le champion du monde en titre, Julien Le Loy, a cédé à la transition cyclisme-course à pied tout comme François Chabaud et Xavier Le Floch, et il a abandonné un peu plus loin dans le début du marathon.C'est finalement Patrick Bringer, de Montluçon triathlon, et Sébastien Berlier, le Drômois, licencié aux Sables Vendée Triathlon, qui venaient bousculer la hiérarchie sur le marathon après être sortis dans les premiers dans la partie natation longue de 3 km 800. Ils ont géré à merveille la partie cycliste, avec comme plat de résistance le fameux col de l'Izoard culminant à 2300 mètres. Hervé Faure, du Triatl'Aix, doublait la mise en réalisant un nouveau record de 9 h 48 min 58 s 81 centièmes sur la distance.
OH LES FILLES
Alors que le club Toulouse Triathlon était venu nombreux avec pas moins de quatorze triathlètes et avait une belle carte à abattre dans les Hautes-Alpes, seuls Jean-Charles Godet, Laurent Pichon (vétéran 1), Thomas Stablon et Xavier Deveaux parviendront à boucler leur « Iron Man » en moins de 15 heures. Les trois autres, Alain Cullet, Gérémy Bachelart, Pierre Trotin, termineront à plus de quinze heures, mais dans les temps pour se voir récompenser du fameux tee-shirt Finischer.Marie-Christine Lartigue, une pensionnaire du TOAC, s'est illustrée en terminant sur la troisième marche du podium dans la catégorie vétéran ; Magali Prevost (Toulouse Triathlon) finit sur le podium, elle aussi, dans la catégorie senior 3. Une excellente performance pour ces deux triathlètes.
Franck Blay
Le classement des Toulousains : 127e, Jean-Charles Godet en 13 h 22 min 34 s (Toulouse Triathlon) ; 167e Laurent Pichon V1 en 13 h 50 min 18 s (Toulouse Triathlon) ; 240e Thomas Stablon en 14 h 28 min 53 s (Toulouse Triathlon) ; 287e Xavier Deveaux en 14 h 54 min 32 s (Toulouse Triathlon) ; 312e Magali Prévost, 3e senior 3, en 15 h 04 min 40 s (Toulouse Triathlon) ; 413e Alain Cullet en 15 h 51 min 13 s (Toulouse Triathlon) ; 467e Jérémie Bachelart en 16 h 20 min 45 s (Toulouse Triathlon) ; 474e Pierre Trontin en 16 h 23 min 48 s (Toulouse Triathlon), 512e Marie-Christine Lartigue, 3e vétéran en 16 h 48 min 38 s (Toulouse Aerospatiale).
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Réponse au service des SPORTS :
Bonjour Responsables du service SPORT de la « Dépêche du Midi »,
Le club du Toulouse Triathlon a été fortement étonné de l’article paru dans SPORT de votre journal datant du 21 Août 2007 rédigé par Franck Blay ayant pour intitulé « Les Toulousains en demi-teinte » quant à l’épreuve reine, l’EmbrunMan, s’étant déroulée le 15 Août dernier dans les Hautes Alpes.
Certaines affirmations pour le peu d’informations fournies à vos chers lecteurs s’avèrent peu crédibles voire inexactes.
En effet, le Toulouse Triathlon a accueilli quinze participants à l’EmbrunMan et non quatorze. Certes, un petit détail pour vous, mais il s’agissait tout bonnement du deuxième club le plus représenté sur cette épreuve derrière celui d’Angers Triathlon comptant seize représentants. Pour un club qui se déplaçait hors de ses terres de prédilection, il aurait été pourtant fort judicieux de votre part d’en faire part afin d’indiquer à vos lecteurs que le sport en Midi-Pyrénées s’exporte.
Aussi surprenant qu’il puisse paraître, vous citez à juste titre, nos triathlètes arrivés avec brio dans des délais inférieurs à quinze heure ainsi que ceux au delà, comme si ces derniers avaient le démérite d’avoir franchi la ligne après cette limite que vous vous êtes fixé.
Vous omettez également d’énumérer deux finishers du club qui ont rallié l’arrivée sous les 12h35 et ce, pour leur première participation, en la personne de Charles LEBOEUF en 12h31’ (auteur du 19ème temps sur le Marathon, excusez moi du peu) et Michaël CHARTON en 12h15’.
Que vous ayez oublié de citer les deux derniers arrivant du club, nous pouvons le comprendre si vous aviez des « obligations » personnelles quant à l’heure tardive qui approchait, mais oublié ce « détail » alors que vous êtes le premier a privilégié le résultat final plutôt que les efforts entrepris sur de longs mois par chacun d’entre nous, c’est à n’y rien comprendre dans votre logique.
D’autant plus qu’un temps ne veut pas dire grand chose en lui même sur une telle épreuve. Vous êtes vous posé la question des facteurs intrinsèques liés à la course pouvant expliqué ces temps finaux ? Pour vous mettre sur la voie et étayer votre réflexion, je vous donnerai comme exemple la chute à vélo malencontreuse au 170ème km de l’une de ces « personnes à plus de quinze heure » et qui a eu le mérite de continuer avec une cuisse et un tibia bien amochés et ensanglantés avec la souffrance que cela procure sur plusieurs heures de course dans cet état. Un autre a subi les caprices de la mécanique de sa bicyclette à mi-parcours et a été contraint de boucler les 188kms sans pouvoir passer de vitesse. Dans votre logique rédactionnelle, il aurait fallu tenir compte de ces « paramètres » de course et de ce fait, nous interviewez si vous vouliez avoir un article crédible. Vous auriez ainsi compris que finir, avant ou après quinze heure de course , dans ces conditions relève d’un exploit et demande en plus un grand mental.
Vous oubliez également d’énumérer dans cette article tout le travail qu’il faut pour « juste » tenter de boucler ces 3.8kms de Natation, ce parcours de vélo digne d’une étape du Tour de France et ce Marathon de 42.195 kms étant l’un des plus durs sur le circuit.
Pour tous ces participants amateurs sans exception, tous héros d’un jour, qu’ils soient finishers ou pas, ont un métier à côté pour vivre en plus de leur vie personnelle et n’ont pas hésité après 35 ou 45h de dur labeur hebdomadaire d’enfiler baskets ou maillot de bain, d’enfourcher leur vélo pour s’entraîner dans ce but ultime. Les sacrifices pour y arriver sur près de neuf mois de préparation pour la plupart sont tout aussi remarquables que le résultat en lui même le 15 Août au soir. Outre cela, vous oubliez de dire que bons nombres (plus de la moitié de ces quinze toulousains) entamaient leur premier distance IronMan, sans expériences notables donc et qu’un seul d’entre eux, âgé de 22ans, faisait parti de l’un des plus jeunes à prendre le départ de cette course mythique.
Les efforts fournis sur plusieurs mois ainsi que le mérite d’avoir participé auraient pu être soulignés « simplement et gentiment » dans votre article plutôt que d’utiliser un style qui semble mettre de l’avant la médiocrité voire l’absence de volonté des toulousains engagés.
Dans cette course et dans l’esprit de notre club que beaucoup d’équipes nous envie au cours de nos excursions nationales (IronMan de Nice 2007, …) voire internationales (IronMan de Roth 2007, …), ce n’est pas le résultat en lui même qui compte mais la joie et le plaisir d’accomplir et d’arpenter les difficultés « ensemble ». Cet esprit, qui nous anime et nous nourrit au plus profond de nous, nous attriste aussi surprenant soit-il quand l’un des nôtres ne franchit pas la ligne. Tout bonnement parce que nous sommes une famille qui partageons et progressons ensemble au cours des entraînements et que nous savons au plus profond de nous l’effort que ce dernier a procuré pour en être arrivé là, autant que celui qui a gravé son nom sur la liste des finishers.
Sans vous offenser, vous comprendrez donc qu’ouvrir le journal et lire un tel article avec ce ton employé et non justifié proche de la critique ou du blasphème nous soulève et nous touche sincèrement. Avant donc de rédiger un article sur tel ou tel club toulousain ou de la région, apprenez à connaître l’esprit d’équipe qui y règne et vous apprendrez qu’au delà du temps mis pour accomplir une épreuve, ce qui prime, c’est la joie d’avoir participé « en groupe » en revenant ou non avec le Sésame tant convoité.
Toutefois, votre article souligne les classements remarquables de deux toulousaines qui ont su porter très haut les couleurs de la région Midi-Pyrénées, et pour cela, nous vous en remercions humblement. Le sport féminin est souvent laissé de côté dans les articles sportifs, vous avez su « corriger le tir » à sa juste valeur.
Sincèrement,
Le Toulouse Triathlon
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Je fais part de cette réponse non pas pour se la péter mais pour laisser une trace sur Onlinetri afin que des articles comme ceux là ne défigurent pas l'esprit d'un club qui participe à ces grandes courses pour le plaisir et non pour la perf'. La critique gratuite n'a pas lieu d'être quand un club souhaite participer pour outrepasser ses limites sans aucune prétention ni même pression.
Quand on pense que ce journaliste qui se prétend être " homme de Lettre " a parcouru plus de 500 kms pour pondre une merde comme çà bourrée de fautes d'orthographe grossières, il aurait plus voulu que ce dernier reste au chaud chez lui à écrire des " faits divers " de voisinage. Il n'a même pas pris la peine de lire la " Star liste " et de recopier correctement les Noms et Prénoms des personnes citées...