Je ne répondrais plus sur Vichy précisémment (sauf élément nouveau) car il ne sert à rien de pointer le pauvre Gael dont on comprend, toujours à la lecture de sa lettre, qu'étant seul a décider, il a préféré "sauver les meubles"... Beaucoup lui en sont gré... Et beaucoup aurait fait pareil...
La suite concerne plus que le management d'une orga en situation crise...
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Les écrits ci dessous montre bien à quel point tu (Benj' ou Audrey) ne réponds pas aux questions posées par "tes" arguments et qu'à part ironiser tel un bien pensant plein de morgue drapé dans ses certitudes, tu ne te nourris pas de ce que les autres apportent.
Fayard, effectivement, nous donne son sentiment d'autochtone qui a eu très très chaud avec des arguties.
Mais je répondrais que cette année j'ai assisté à des courses ou il faisait presque "aussi" chaud (ne serait ce qu'Embrun...) et que j'y ais retenu des leçons de bénévoles en action. Et la canicule n'est pas que la seule cause de conditions extrêmes d'organisation.
Outre le vent, la pluie, le froid, il y a aussi les conditions de circulations, la DDE qui vous tue un parcours, la préfecture qui vous pond un arrété inaplicable 3 jours avant ou la gendarmerie qui reçoit un ordre de son directeur et lache une surveillance qui vous oblige à trouver 35 bénévoles avec permis de conduire (sous peine d'annulation) 3 jours avant la course... (Mmmmmm, cela sent le vécu tout cela, arf...

)
Bien entendu, Jean Passe et Demeyeur !
C'est la que la qualité de ton travail en amont sur les bénévoles se voit...
Ils ont beau être diabétique, cardiaque et retraité SNCF, la température pouvait être caniculaire, ces bénévoles préparés et impliqués étaient prêts...
Le stand ravito était ombragé en conséquence avec parasol et tente, la boisson mais aussi l'eau pour s'arroser était là.
Le boulot managérial est de leur faire comprendre leur importance et de les guider dans leur préparation s'ils n'ont pas l'expérience.
Je me répète, les conditions extrêmes permettent toujours de savoir comment se comporte ses équipes et souvent de les souder pour continuer l'aventure ensemble.
Ceci écrit je ne sais toujours pas de quoi il retourne de ton fameux dossier des urgences niçoises...
C'est bien de signaler des actions, c'est bien aussi de les crédibiliser et je serais heureux d'apprendre ce qu'il y a dedans pour le confronter à mes référents et progresser moi aussi grace à ces études...
Pour le reste du texte ci dessous, et le cas de Gael, tu peux enlever les médecins, la préfecture et le staff de Challenge, car c'est Gael seul qui a sauvé sa peau, tous les autres laissait faire la course avec leur gentil épée de damoclès au dessus de la tête du pauvre orga de Vichy. C'était trop...
(du moins c'est ce que je comprends à la lecture de tous les arguments et la lettre de Gael...)
Bonne soirée à Tous...
crosstriathlete06 a écrit :laisse tomber FAYARD ....
je crois qu'on est face à des bornés égoistes qui pensent qu'a leur propre plaisir et les bénévoles peuvent crever....
ils n' avaient qu'a prendre de l'eau et un parasol.....Puis l'organisation aurait du preparer leur bénévoles : "alors 4 jours avant , vous vous mettrez dans un four a 50°C thermostat 8 pendant 2 h chaque jour", puis les bénévoles diabétiques ou cardiaques ou plus de 45 ans , désolé on en veut pas, vous comprenez , pour que les athletes aient leur petit plaisir pour faire leur performance sous la canicule (et oui ils auront tous le sourire au levre, tellement c'est un bonheur de courir sous 45°C, puis attention ils jouent tous la gagne ....dans leur GA ! ) , enfin bref nous devons faire des selections (c'est deja tellement facile de trouver des bénévoles) .
Aussi ils sont plus intelligents que les medecins qui eux trouvent pas normal de recevoir autant de personnes aux urgences et en Réa pour une compétition , un LOISIR ! Plus intelligent que la Préfecture, et le staff du Challenge....
Je me console en me disant que ce sont les mécontents qui font le plus de bruits, et que beaucoup d'athlètes ont peut etre été déçu par ce changement mais reconnu qu'il était dangereux pour la santé de tous de faire une épreuve aussi longue dans ces conditions extrèmes.