Je ne me contredis pas, simplement les post sont trop courts pour donner des explications détaillées. il faudrait en faire un bouquin, d'ou les malentendus. il faudrait préciser pas mal de critères, comme par exemple le profil de l'athlète etc etc : ici je rappelle qu'on a un athlète débutant. Ensuite certains ont parlés des pro, et d'autres d'athlète confirmés etc. on est pas du tout dans les mêmes entraînements et les mêmes axes de progression.
En ce sens cela mène a des malentendus et a rechopper une phrase dans un post et la coller avec une phrase d'un autre post qui n'est pas destiné au même public.
Une sortie "foncière" pour un athlète entraîné sera déjà difficile pour un débutant, et donc n'aura pas les mêmes buts. Et en ce sens je pense que le mot foncier n'est pas adapté pour un débutant, mais il est parlant pour un débutant il se fait une image, il visualise assez bien le type de sortie, mais qui sera en réalité contraignante musculairement, et morphologiquement,( adaptation diverses, mal au cul et mal au cou

) Je le vois plus comme un adaptabilité du corps qu'un axe de progression physiologique, même si cela y participe quand on débute, le moindre effort fera progresser quand on part de 0 ou presque.
Pour un athlète entraîné, cela a bcp moins d'utilité que de faire une séance de spécifique si cette séance à pour but la progression, cela sera du maintien, et donc il n'y aura pas de progrès.
il n'y aucune contraction entre dire "Le foncier ne sert pas à grand chose" et "si le nombre de km ça compte" . Tu peux faire des km en spécifique.
Et oui j'ai forcé le trait exprès, pour créer une réaction et ça fonctionne, et tant mieux

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on sait tous qu'il n'y a pas de vérité absolu dans l'entrainement, il y a des grandes lignes, mais il n'y pas de recettes magiques et de plus chacun a ses propres spécifiées, il faut se connaitre, et ça prends des années avant de savoir ce qui nous convient, et faire beaucoup d'erreurs pour avancer.
Maintenant il y a beaucoup de croyances qui ont la dent dure DANS LE VELO, suffit de regarder autour de soi, dans un club ou beaucoup s’entraînent vraiment mal malgré beaucoup d'heures.
Avec tout ça on peut rajouter le coté psychologique et social des entraînements, une sortie "de fond" peut apporter du plaisir et du bien être, d'être avec ses potes etc, et ça aussi ça influe sur "la performance" même si j'aime pas trop ce mot. Et on peut aller plus loin en revenant paradoxalement à la motivation première : se faire plaisir avant tout, même la compet nous le fait souvent perdre de vue.