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ouai c est bon on connais tous mais je prefere quand meme partire du cadre et le regarder se monter dans mon salon et finir par une bonne paire de roue,que de regarder des roues avec rien autour de toute facon la construction d un velo leger et un tout 1 cadre de 2kg avec des roues de 1300gr ou un cadre de 980gr avec des roues de 2100gr sa le fait pas des masses
C'est clair que ça le fait pas mais si j'avais le choix obligatoire en entre les 2 je prendrais celui ac des roues de 1300 gr, parce que c'est sur les parties tournantes que le gain de poids est le plus utile et où on le ressent le plus (force d'inertie oblige )
stevan11 a écrit :oui c est quand meme vrais il faut au minimun partire d un cadre leger
Faux !
Mieux vaut gagner du poids sur une paire de roue. 1 gr gagné sur une roue = à 5 gr sur un cadre.
Principe de physique expérimentale (Galilée, ça date du 17e siècle) sur le gain de poids d'un élement tournant.
J'ai rien inventé, demande dont à Armel André ou à d'autres ergonomes du cycle.
d'accord avec toi mais je crois savoir que 1 g en moins sur les éléments statiques équivaut à 2g en moins sur les éléments tournants : en gros si tu gagnes 200 g sur tes roues c'est comme si tu en gagnais 400 sur tes éléments fixes ( potence, tige de selle, cadre etc. Quoique je ne sois pas sûr que le cadre soit si "fixe" que ça....)
stevan11 a écrit :oui c est quand meme vrais il faut au minimun partire d un cadre leger
Faux !
Mieux vaut gagner du poids sur une paire de roue. 1 gr gagné sur une roue = à 5 gr sur un cadre.
Principe de physique expérimentale (Galilée, ça date du 17e siècle) sur le gain de poids d'un élement tournant.
J'ai rien inventé, demande dont à Armel André ou à d'autres ergonomes du cycle.
d'accord avec toi mais je crois savoir que 1 g en moins sur les éléments statiques équivaut à 2g en moins sur les éléments tournants : en gros si tu gagnes 200 g sur tes roues c'est comme si tu en gagnais 400 sur tes éléments fixes ( potence, tige de selle, cadre etc. Quoique je ne sois pas sûr que le cadre soit si "fixe" que ça....)
Il me semble que c'est valable lorsqu'il y a accélération, mais à vitesse stabilisée, c'est sûrement moins évident ... non
Pour démontrer l’intérêt d’alléger plutôt les roues que le reste, nous allons nous intéresser à l’énergie cinétique du vélo. C’est à dire l’énergie « associée au mouvement », celle que l’on doit fournir pour rouler à une certaine vitesse. Donc pour un vélo, si l'on néglige l’inertie de la chaîne et du pédalier, on a :
E = Ec translation + Ec rotation
E = ½ m v² + ½ I w²
Or v = w R, donc
E = ½ v² ( m + I/R² )
Où v est la vitesse du vélo, R le rayon de la roue, m la masse totale du vélo et w la vitesse de rotation des roues.
Donc ce qui est intéressant, c’est de voir la valeur de I/R² par rapport à m, puisqu’ils sont tous les deux exprimés en grammes. Ces deux termes étant indépendants de la vitesse, que l’on soit entrain de relancer ou à vitesse constante, le rapport entre les deux termes est toujours le même.
Boulegan a écrit :
Faux !
Mieux vaut gagner du poids sur une paire de roue. 1 gr gagné sur une roue = à 5 gr sur un cadre.
Principe de physique expérimentale (Galilée, ça date du 17e siècle) sur le gain de poids d'un élement tournant.
J'ai rien inventé, demande dont à Armel André ou à d'autres ergonomes du cycle.
d'accord avec toi mais je crois savoir que 1 g en moins sur les éléments statiques équivaut à 2g en moins sur les éléments tournants : en gros si tu gagnes 200 g sur tes roues c'est comme si tu en gagnais 400 sur tes éléments fixes ( potence, tige de selle, cadre etc. Quoique je ne sois pas sûr que le cadre soit si "fixe" que ça....)
Il me semble que c'est valable lorsqu'il y a accélération, mais à vitesse stabilisée, c'est sûrement moins évident ... non
Tout à fait, lorsque la vitesse se stabilise, c'est beaucoup moins évident (en pratique).
Dernière modification par el_pirata le 25 févr. 2005 13:09, modifié 1 fois.
stevan11 a écrit :Pour démontrer l’intérêt d’alléger plutôt les roues que le reste, nous allons nous intéresser à l’énergie cinétique du vélo. C’est à dire l’énergie « associée au mouvement », celle que l’on doit fournir pour rouler à une certaine vitesse. Donc pour un vélo, si l'on néglige l’inertie de la chaîne et du pédalier, on a :
E = Ec translation + Ec rotation
E = ½ m v² + ½ I w²
Or v = w R, donc
E = ½ v² ( m + I/R² )
Où v est la vitesse du vélo, R le rayon de la roue, m la masse totale du vélo et w la vitesse de rotation des roues.
Donc ce qui est intéressant, c’est de voir la valeur de I/R² par rapport à m, puisqu’ils sont tous les deux exprimés en grammes. Ces deux termes étant indépendants de la vitesse, que l’on soit entrain de relancer ou à vitesse constante, le rapport entre les deux termes est toujours le même.
Avec une tel demonstation mathematique plus personne ne peut le contredire !!
stevan11 a écrit :Pour démontrer l’intérêt d’alléger plutôt les roues que le reste, nous allons nous intéresser à l’énergie cinétique du vélo. C’est à dire l’énergie « associée au mouvement », celle que l’on doit fournir pour rouler à une certaine vitesse. Donc pour un vélo, si l'on néglige l’inertie de la chaîne et du pédalier, on a :
E = Ec translation + Ec rotation
E = ½ m v² + ½ I w²
Or v = w R, donc
E = ½ v² ( m + I/R² )
Où v est la vitesse du vélo, R le rayon de la roue, m la masse totale du vélo et w la vitesse de rotation des roues.
Donc ce qui est intéressant, c’est de voir la valeur de I/R² par rapport à m, puisqu’ils sont tous les deux exprimés en grammes. Ces deux termes étant indépendants de la vitesse, que l’on soit entrain de relancer ou à vitesse constante, le rapport entre les deux termes est toujours le même.
Avec une tel demonstation mathematique plus personne ne peut le contredire !!
je suis ok pour les calculs mais les données prises en compte dans la formule ne sont que représentatives... A vérifier sur la route...
stevan11 a écrit :Pour démontrer l’intérêt d’alléger plutôt les roues que le reste, nous allons nous intéresser à l’énergie cinétique du vélo. C’est à dire l’énergie « associée au mouvement », celle que l’on doit fournir pour rouler à une certaine vitesse. Donc pour un vélo, si l'on néglige l’inertie de la chaîne et du pédalier, on a :
E = Ec translation + Ec rotation
E = ½ m v² + ½ I w²
Or v = w R, donc
E = ½ v² ( m + I/R² )
Où v est la vitesse du vélo, R le rayon de la roue, m la masse totale du vélo et w la vitesse de rotation des roues.
Donc ce qui est intéressant, c’est de voir la valeur de I/R² par rapport à m, puisqu’ils sont tous les deux exprimés en grammes. Ces deux termes étant indépendants de la vitesse, que l’on soit entrain de relancer ou à vitesse constante, le rapport entre les deux termes est toujours le même.
Juste un détail, qui n'en est pas un d'ailleurs : cette équation suppose que tu n'as pas de frottements ... et sur un vélo, c'est principalement la résistance de l'air qui génère ces frottements, or la puissance (ou l'énergie selon le point de vue que tu prends) utilisée pour contrecarrer la résistance de l'air représente 70 à 95% de la puissance totale, la résistance au roulement 5 à 15% et l'énergie utilisée pour faire tourner les roues environ 1% ... donc or accélération, peu d'importance ... je n'ai pas cité la puissance utilisée pour les ascensions, pour l'augmentation d'energie potentielle en sorte car l'hypothèse était sur la plat
euh...... j'ai eu trois en maths au bac (mais je l'ai eu c que je dois pas etre trop trop con, un peu quand meme mais chut ! ! ! ) si quelqu'un veut bien prendre la peine de m'expliquer un peu ce que veulent dire toutes ces équations ! ! ! !
Il vous en remerki ! ! !
1er 10km sec 42 min 20 ! ! ! Pour moi c très bien vivement le prochain ! ! ! !
Si ton labeur est dur et tes résultats son minces, rappelles-toi qu'un jour le grand chêne a été un gland comme toi .... ! ! ! ? ? ! !